Florent Pagny raconte les ennuis que lui a apporté sa "liberté de penser"

En 2003, Florent Pagny balançait toute sa rancœur contre le fisc dans "Ma Liberté de Penser". Une chanson qui l'a parfois desservi. Il y a plus de dix ans, Florent Pagny a vu ses biens être saisis par des huissiers et remis à la vente. S'il a finalement gagné son procès contre le fisc, il s'est déchargé dans la fameuse chanson "Ma Liberté de Penser", qui est l'un des tubes de l'artiste.

Mais "si cette chanson a plu", Florent Pagny la regrette: "Elle m'a ensuite créé pas mal d'em­merdes", a-t-il en effet expliqué à Paris Match. Cette chanson a terni son image: "Je suis devenu le type qui ne payait pas ses impôts. C'était n'im­porte quoi! Les gens ont fait une fixette là-dessus, dans la rue, on me lançait : 'Va payer tes impôts!'", raconte-t-il.

S'il se retenait, il aurait rêver de rétorquer: "Payes-en comme j'en paye, on en repar­lera coco", comme il le confie. Il a d'ailleurs confié au Parisien qu'il payait bien ses impôts, "au moins un millien d'euros (...) par an". "Quand tout marche en même temps, ça peut être deux millions en France, en Argen­tine et à Miami en tant que résident", a-t-il précisé. Florent Pagny l'assure, il est "un bon contri­buable".