Dans une interview, lundi, au quotidien britannique The Guardian, l'acteur américain impute l'apparition de son cancer de la gorge il y a trois ans à sa vie sexuelle.
C'est ce qu'on appelle une interview vérité. Michael Douglas, atteint d'un cancer de la gorge il y a trois ans, impute l'apparition de sa maladie à sa vie sexuelle, dans une interview publiée lundi par le quotidien britannique The Guardian.
Michael Douglas, 68 ans, qui tient le rôle d'un pianiste virtuose, 100% gay et roi du bling-bling, dans le dernier film de Steven Soderbergh "Behind The Candelabra" (Ma vie avec Liberace), a déclaré que son cancer n'était pas le résultat d'excès de boisson ou d'une forte consommation de tabac, mais avait été provoqué par une maladie sexuellement transmissible.
"Sans entrer dans le détail, ce cancer très spécifique est causé par le virus du papillome humain (VPH) et provient (de la pratique) du cunnilingus", explique-t-il.
"Je m'inquiétais pour savoir si les soucis causés par l'incarcération de mon fils n'auraient pas contribué à déclencher le cancer, mais non, en fait c'est dû à une maladie sexuellement transmissible", affirme-t-il.
"Et si vous l'attrapez (le cancer), le cunnilingus est aussi le meilleur moyen de le soigner", a ajouté l'acteur dont le fils, Cameron purge une peine de 10 ans de prison pour possession de drogue et trafic.
Michael Douglas, oscarisé à deux reprises, avait révélé en 2010 qu'il se battait contre un cancer avec des chimiothérapies et des radiothérapies.
"Tout est normal depuis deux ans"
"Je dois faire des contrôles réguliers, actuellement tous les six mois, mais tout est normal depuis deux ans", a-t-il dit ajoutant que "ce type de cancer ne récidive pas dans 95% des cas".
Selon les recherches menées par la faculté d'odontologie de Malmö (Suède) et le journal médical The New England Journal of Medicine, il y a effectivement un lien de cause à effet entre les pratiques sexuelles orales et le cancer de la gorge.
Le VPH est également à l'origine de 99% des cas des cancers de l'utérus, selon une étude du système de santé britannique (NHS).
L'épouse de Michael Douglas, Catherine Zeta-Jones, a reçu plusieurs traitements pour soigner en avril des troubles bipolaires. L'actrice galloise âgée de 43 ans, titulaire d'un oscar et d'un Academy Award en 2003 pour son rôle dans "Chicago" de Rob Marshall, est également à l'affiche de films de Steven Soderbergh comme "Traffic" (2001) ou "Ocean's Twelve" (2004).
28 Commentaires
Laye
En Juin, 2013 (20:42 PM)Mais aka nekh !
Je kifffff moi !!!
Poulo
En Juin, 2013 (20:43 PM)Dodo
En Juin, 2013 (20:47 PM)Deug
En Juin, 2013 (20:53 PM)Zembla
En Juin, 2013 (21:01 PM)Tabrou
En Juin, 2013 (21:12 PM)AS BOUDALAINE ? KAO TEUF
Tabrou
En Juin, 2013 (21:23 PM)Jokko
En Juin, 2013 (21:28 PM)Thiam Mbay
En Juin, 2013 (21:29 PM)Goor
En Juin, 2013 (21:37 PM)Deerak
En Juin, 2013 (21:38 PM)Urgent
En Juin, 2013 (21:42 PM)La juge Silvia Fernández de Gurmendi de la CPI
La Cpi vient de renvoyer la décision sur la confirmation des charges contre le président Gbagbo. Dans un communiqué la Cour pénale internationale affirme en substance qu’au vu des preuves en possession des juges, il n’est pas possible de confirmer les charges contre le président Gbagbo, et les juges accordent au procureur un peu de temps afin d’apporter plus de preuves.
Cette dernière décision des juges a été contestée par la juge Silvia Fernández de Gurmendi qui arguant du fait que la majorté des juges soient d’accord sur le fait que les preuves soient insuffisantes, a demandé à la cour de prononcer simplement et purement une décision. Prononcer une décision dans ce cas aurait voulu dire relaxer purement et simplement le président Gbagbo.
Dans une longue lettre de 20 pages adressée aux autres membres de la cour, la juge Silvia Fernández de Gurmendi donne les raisons de son désaccord avec la décision d’ajourner l’audience qui aurait purement et simplement fait relaxer le président Gbagbo.
Nous reviendrons plus en détails sur cette décision historique qui prouve que le président Gbagbo se trouve à la CPI pour des raisons politiques, et que la majorité des juges fait le jeu de la France et de son pouvoir vassal d’Abidjan, en le maintenant loin de son pays
Boom
En Juin, 2013 (21:55 PM)@thiambay
En Juin, 2013 (21:57 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (21:59 PM)Zak
En Juin, 2013 (22:09 PM)C bonnnn !!!
Sexe Oral
En Juin, 2013 (22:16 PM)Didi
En Juin, 2013 (22:19 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:20 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:31 PM)'Notre bataille à nous sera de continuer à PUBLIER la vérité et aider l’équipe d’avocats du Président Gbagbo lorsque celle-ci nous sollicitera de nouveau.'
Le plus dure arrive et ne devons garder le poing levé
Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:41 PM)[ La décision sur la confirmation des charges contre Gbagbo ajournée. Le texte en FRANCAIS. ]
#Gbagbo devant la #CPI: Ce qu’il faut retenir - LES JUGES REFUSENT DE CONFIRMER LES CHARGES ET LA CPI VEUT PLUS DE PREUVES AVANT UN EVENTUEL PROCES CONTRE GBAGBO. Notre bataille à nous sera de continuer à PUBLIER la verite et aider l’équipe d’avocats du Président Gbagbo lorsque celle-ci nous sollicitera de nouveau.
[ La décision sur la confirmation des charges contre Gbagbo ajournée. Le texte en FRANCAIS. ]
Aujourd'hui, la chambre Preliminaire I de la cour criminelle internationale (ICC), à majorité, le juge Fernández de Gurmendi , a levé l'audition sur la confirmation des faits et a invité le procureur à considérer fournir davantage d'évidence ou conduire davantage de recherche en ce qui concerne les frais présentés contre LaurentGbagbo conformément à l'article 61 (7) (c) (I) du statut. La chambre a considéré que l'évidence du procureur, vue dans l'ensemble, bien qu'apparent insuffisant, n'a pas semblé manquer ainsi en pertinence et valeur probante et il à laisse la chambre sans le choix mais refuser de confirmer les faits.
Sans compter qu'expliquer son approche à l'évidence, la chambre a également proposé six questions sur lesquelles le procureur peut considérer fournir d'autres informations ou l'autre recherche de conduite, comme, entre autres, les activités de tous les groupes armés opposées aux « pro-Gbagbo forces » dans et autour d'Abidjan entre les novembre 2010 et mai 2011, la structure d'organisation des « pro-Gbagbo forces » et de leur évolution pendant la période de temps appropriée, et les cas allégations de laviolence sexuelle. En décidant si de lever l'audition, la chambre a considéré l'effet de cette décision du droit de Laurent Gbagbo « d'être juge sans retard ». La chambre était d'avis que, tenant compte des particularités de ce cas et du procédé prévu dans le statut, permettant au procureur de fournir plus de recherche d'évidence ou de conduite plus loin pendant une période limitée ne viole pas à l'excès ce droit.
En conclusion, la chambre a adopté un nouveau calendrier pour la conduite suivante des démarches, y compris la révélation de l'évidence et des soumissions du procureur, de la défense et des victimes participant dans ce cas-ci. Le procureur doit révéler toute autre évidence qu'elle veut employer pour les buts de la confirmation des faits et présenter un nouveau document contenant les faits par pas plus tard que le 15 novembre 2013. La défense a le droit de soumettre ses observations sur l'évidence du procureur et à l'évidence additionnelle ou actuelle par pas plus tard que le 16 décembre 2013. Plus tard, les participants ont l'occasion de classer des soumissions écrites finales.
Juge Fernández de Gurmendi a différé d'opinion de la décision levant la confirmation d'entendre de faits. Le juge Fernández de Gurmendi considère que l'adjournement comme fourmuled présuppose une interprétation du rôle de la chambre pre-trial, la norme probatoire applicable exigée pour la confirmation des faits et la de la loi applicable de procédure et de substantif qu'elle ne partage pas en conséquence, elle n'est pas d'accord non plus avec les limites spécifiques de la demande du procureur.
Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:54 PM)#CPI: 'Le procureur à jusqu'au 15 novembre 2013 pour apporter des preuves supplémentaires sur l'affaire Gbagbo.'
C'est vraiment Drôle... avec tous ce qu’ils ont sortis comme inepties, mensonges et mises en scènes, s’ils ne sont pas arrivés à obtenir un procès contre le Président LAURENT GBAGBO ce jour, sans crier victoire, en attendant cette nouvelle date, nous devons nous dire que la montagne de mensonges s’effrite… et que la vérité peut triompher si nous ne lâchons rien.
~ Soyons PRÊTS à une autre riposte médiatique face aux affabulations à venir.
#TENONS comme il nous l’a demandé le 18 Juin 2012… et #Ovajab
Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (23:04 PM)Les juges de la CPI viennent de demander un procureur de fournir des preuves supplémentaires avant de confirmer ou infirmer d'éventuelles charges contre le président Laurent GBAGBO. Nous demandons aux juges de la CPI de faire preuve de courage en libérant purement et simplement SEM Laurent GBAGBO, président de la république de Côte-d'Ivoire. Un report de 6 mois pour avoir des preuves peut changer quoi alors que depuis 2 ans les procureurs de la CPI ont multiplié les voyages en Côte-d'Ivoire, rencontrer des pseudo victimes et disaient détenir un dossier en béton? Vous comprenez pourquoi lors des audiences, les avocats du président ont qualifié de ''brouillon'' l'acte d'accusation de fatou bensouda. Résistants du monde entier, défenseurs de la justice, femmes, enfants, jeunes, vieux; retroussons les manches et continuons le travail de mobilisation en faveur du président Laurent GBAGBO et contre le CPI. Comme il le disait lui même en s'adressant à la cour: ''C'est parce que j'ai respecté les lois de mon pays qu'on m'a envoyé ici''. C'est la politique qui a envoyé SEM Laurent GBAGBO en prison, c'est la politique qui va le faire sortir.
Famille
En Juin, 2013 (03:07 AM)Bon Exemple
En Juin, 2013 (09:57 AM)Huffington Post
En Juin, 2013 (13:54 PM)Sdf
En Juin, 2013 (17:12 PM)Teuss
En Juin, 2013 (22:46 PM)Participer à la Discussion