Le nouveau protocole de pêche signé entre le Sénégal et la Mauritanie semble ne pas convenir aux pêcheurs de Saint-Louis. Le coordonnateur du Conseil local de pêche artisanale de Saint-Louis (Clpas), Baye Diallo, juge « insuffisant » le nombre de licences de pêche et le quota qui leur sont octroyés dans nouveau protocole signé lundi dernier.
« Non, cela ne nous suffit pas parce qu’on a l’habitude de dire 400 licences mais c’est 200 embarcations, dit-il, interrogé par Sud fm. Parce que, dans la coutume des sennes tournantes plus particulièrement, on compile deux embarcations. L’une, c’est une embarcation de poursuite, l’autre, une embarcation porte l’engin de pêche, la senne tournante.
C’est là où nous devons travailler pour une meilleure rationalisation de la gestion de la ressource en quelque sorte. » C’est mieux que rien, ajoute-t-il, toutefois : « Des pêcheurs qui sont restés deux ans sans accord. Cela nous convient pas parce que là où il n’y avait rien, quand on a mis quelque chose, il faut le reconnaître. Quand on n’a pas ce que l’on veut, il faut se contenter de ce que l’on a ».
3 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Juillet, 2018 (22:06 PM)Rien ne peut les séparer, même les fusillades à balles réelles, et les réglementations restrictives.
Ils finiront toujours par se retrouver, pour filer le parfait amour, ndeysane.
Anonyme
En Juillet, 2018 (23:11 PM)L'EDUCATION EST LA VOIE INCONTOURNABLE DE L'EMERGENCE.
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