"Un pays ne peut pas se développer sans des institutions fortes et le premier échec d'une démocratie c'est quand, au sortir d'une élection, les perdants ne reconnaissent pas la victoire du vainqueur". Telle est l'intime conviction d'Alioune Tine.
Fondateur d'Africa Jom Center, l'ancien patron de la Raddho et d'Amnesty Afrique avait réuni, à Saly Portudal, rapporte le quotidien Libération, un parterre composé de la société civile, de politiques et de privés pour se pencher sur l'avenir du Sénégal.
9 Commentaires
Diamono Wade la soumi thiayam sanni
Weur di fenn aka bolé ayy nitt dou abb leuguey. Nell mottou delou deukk ba bayi. D'ailleurs on est en avril, Roudji diotna.
Auteur
En Avril, 2019 (09:10 AM)Il nous faut des institutions fortes une justice irréprochable avec des règles claires pour le financement des campagnes électorales.
Pour la corruption il faut un bon fonctionnement de la justice et nous devons copier le système de lanceur d'alerte des pays développés. Ce système permet aux personnes qui détiennent des informations sur les malversations d informer le public ou la justice. Ces lanceurs d alerte sont hyper protégés et peuvent même être rémunérés aux États-Unis.
Au Sénégal on peut faire tout ce que l on veut sans être inquiété quelques soient tes responsabilités.
Auteur
En Avril, 2019 (11:12 AM)Vous passez tout votre temps à parler de la démacrotie du respect etc... mais respectez vous sabord.
Wwww
En Avril, 2019 (12:39 PM)tes remarques les gens n'ont pas ton temps ni le Président ni les Sénégalais
n'ont pas le temps de faire faire alors tu peux aller te faire faire en
Mauritanie d'ou viennent tes parents mais pas au Sénégal que tu veux te faire faire.
Participer à la Discussion