Encore président du Sénégal il y a moins de 7 mois, Macky Sall est revenu dans l'arène politique. Tête de liste de la coalition "Takku Wallu", l'ancien chef d'Etat va se battre pour un poste de député. Et pour Cheikh Oumar Sy, ancien parlementaire et membre de la coalition Jamm ak Njarin, ce retour prématuré est "un aveu d'échec".
Invité de l'émission "Salam Sénégal" sur la Radio Sénégal international (RSI), Cheikh Oumar Sy a également expliqué que ce retour de Macky Sall dans l'arène politique pour les premières joutes depuis la présidentielle renferme un autre échec de sa part. « Le fait que Macky Sall revienne aussi tôt montre qu’il n’a pas réussi à préparer de dauphin politique, un héritier de son pouvoir, comme il aurait dû le faire depuis des années (...) Le président de la République, par décence, doit prendre de la hauteur pendant au moins une ou deux années, laisser ceux qui sont au pouvoir dérouler, et revenir plus tard s’il le souhaite », a-t-il fait savoir.
Cheikhou Oumar Sy voit aussi d'un mauvais œil la "réconciliation" entre Macky Sall et certains acteurs politiques qu'il avait "empêché" de participer à des élections présidentielles, comme Karim Wade et Khalifa Sall.
26 Commentaires
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En Octobre, 2024 (10:50 AM)Reply_author
En Octobre, 2024 (11:21 AM)Reply_author
En Octobre, 2024 (11:26 AM)Si vous votez pour l’AntiSystème, voici 6 choses que la nouvelle Assemblée nationale devra faire en priorité dès son installation.
PREMIERE CHOSE : Mettre en place la Haute Cour de justice chargée de juger l’ex-dictateur et ses ministres.
DEUXIÈME CHOSE : Abroger la loi d’amnistie pour poursuivre ceux qui ont tué des dizaines de Sénégalais et deux gendarmes, ainsi que ceux qui ont emprisonné arbitrairement des milliers de détenus politiques.
TROISIÈME CHOSE : Criminaliser le détournement de fonds publics et la falsification des statistiques économiques du pays (30 de réclusion criminelle au moins pour les auteurs de tels faits).
QUATRIÈME CHOSE : Criminaliser la fraude fiscale. Pendant que le Sénégal connaît d’énormes difficultés économiques, il y a des criminels fiscaux qui refusent de payer des impôts et qui pensent que c’est normal.
CINQUIÈME CHOSE : Voter une loi protégeant les lanceurs d’alerte qui dénoncent ceux qui détournent des deniers publics ou se livrent à des actes de fraude fiscale,
SIXIÈME CHOSE : Supprimer toutes les institutions inutiles (HCCT, CESE etc.)
Ensuite, l’Assemblée devra voter toutes les lois permettant de redresser le pays.
Le 17 novembre prochain sortez MASSIVEMENT pour arbitrer entre l’Antisystème et le Système coalisé.
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En Octobre, 2024 (12:38 PM)Azele
En Octobre, 2024 (14:17 PM)Après 24 ans passés au cœur du pouvoir, où il a occupé les postes les plus prestigieux du Sénégal – de Directeur général de Petrosen à Premier ministre, en passant par ministre des Mines, de l’Intérieur, et président de l’Assemblée nationale – Macky Sall a, durant les 12 dernières années, occupé le poste ultime : celui de président de la République. Pourtant, moins de cinq mois après avoir quitté cette fonction, le voilà qui revient, non pas pour briguer un nouveau mandat présidentiel, mais pour un poste de simple député.
Ce retour suscite l'étonnement, voire l'incompréhension. Comment expliquer qu’un homme ayant régné si longtemps sur l’appareil d’État, après avoir quitté le pouvoir avec tous les privilèges réservés aux anciens présidents, cherche à revenir à un poste aussi modeste ? Et ce qui intrigue encore plus, c'est l'alliance surprenante qu'il a forgée avec des figures qu'il a autrefois combattu avec acharnement. Macky Sall s'allie désormais avec Karim Wade, qu'il a fait emprisonner pendant plusieurs années avant de l’exiler au Qatar, ainsi qu’avec Khalifa Sall, qu'il avait également incarcéré, non sans humiliation publique.
La Tradition Brisée
Cette démarche brise une tradition bien établie au Sénégal, celle de la neutralité des anciens présidents vis-à-vis de leurs successeurs. Léopold Sédar Senghor a respecté cette tradition vis-à-vis d’Abdou Diouf, qui a lui-même fait preuve de réserve envers Abdoulaye Wade. Même ce dernier, malgré les frictions avec Macky Sall et l'emprisonnement de son fils, a observé une certaine distance politique après son départ. Ce comportement de Macky Sall rompt ainsi avec une pratique qui, jusque-là, avait permis une continuité institutionnelle pacifique au sommet de l’État.
Un Bilan Sombre
Le règne de Macky Sall a été marqué par des événements tragiques et des choix politiques controversés. Sous sa présidence, le Sénégal a été le théâtre de violences qui ont coûté la vie à des centaines de jeunes. Des milliers de personnes ont été emprisonnées, notamment lors des périodes de contestation. En parallèle, son mandat a été entaché par des accusations de corruption massive et de pillage des ressources publiques. Des contrats miniers opaques, l’octroi suspect de licences de pêche et d'autres accords économiques douteux ont créé un sentiment de spoliation des ressources nationales.
Un tel bilan fait naître une interrogation : pourquoi Macky Sall, après avoir exercé tant de pouvoir, cherche-t-il à revenir au premier plan sous la forme d'une députation, un poste bien en deçà de ses anciens privilèges ?
Hypothèses sur ce Retour
Plusieurs hypothèses peuvent être avancées pour expliquer ce retour inattendu. La première, et probablement la plus plausible, est liée à la question de la reddition des comptes. Le nouveau pouvoir en place semble décidé à faire la lumière sur les actes posés par l’administration Sall, notamment en matière de gestion des finances publiques et de droits de l'homme. Or, une telle entreprise nécessite une majorité absolue au sein de l’Assemblée nationale pour mettre en place une cour de justice apte à juger les anciens présidents et ministres.
En se portant candidat à la députation, Macky Sall pourrait tenter de peser sur le vote, notamment en mobilisant le vote ethnique, afin d'empêcher l'obtention de cette majorité absolue. Il s'agirait d'une manœuvre visant à bloquer toute tentative de poursuite judiciaire à son encontre.
En outre, il faut également prendre en compte le fait que Macky Sall a été cité à la Cour Pénale Internationale (CPI) pour des crimes commis sous son règne, notamment les atrocités survenues lors des périodes de répression politique. En se faisant élire député, il pourrait chercher à se prémunir contre de potentielles poursuites internationales, en exploitant les immunités ou les protections que son nouveau statut pourrait lui conférer.
Une Stratégie Condamnée à l’Échec
Cependant, la population sénégalaise ne semble pas disposée à se laisser berner par cette nouvelle volte-face de Macky Sall. La lassitude générale vis-à-vis de ses manœuvres politiques et le désir d’un renouveau démocratique sont palpables. Ce retour, perçu par beaucoup comme une tentative de se protéger de la justice, risque de se heurter à une forte opposition populaire.
Le PASTEF, sous la direction d’Ousmane Sonko, a déjà montré sa capacité à mobiliser les foules et à expliquer clairement les enjeux politiques. Sonko et ses partisans sauront sans doute mettre en lumière ce retour comme une fuite en avant de Macky Sall, une tentative désespérée d’échapper à ses responsabilités devant la justice sénégalaise et internationale. Durant la prochaine campagne législative, il est certain que PASTEF expliquera cette stratégie comme une trahison de plus envers le peuple sénégalais et un moyen de bloquer le processus de transparence que beaucoup attendent.
Les Conséquences d’une Telle Manœuvre
En tentant d'échapper à la justice, Macky Sall envoie un signal dangereux. Ce comportement peut être interprété comme un aveu implicite de culpabilité. En refusant de se soumettre à l’examen des institutions judiciaires, il renforce l’idée qu’il cherche à cacher des malversations graves, ce qui pourrait entacher encore davantage son image auprès de la population.
Historiquement, d'autres anciens présidents ont tenté de fuir leurs responsabilités après avoir quitté le pouvoir. L’exemple de Charles Taylor du Libéria, qui a cherché à éviter son jugement pour crimes contre l'humanité, est éloquent. Finalement arrêté et jugé, il a été condamné à 50 ans de prison. D'autres leaders africains, comme Hissène Habré du Tchad, ont également tenté de se soustraire à la justice internationale, mais leur échec n’a fait qu’accélérer leur chute.
Si Macky Sall persiste dans cette voie, il risque de s’isoler davantage sur la scène nationale et internationale, et de laisser un héritage marqué par la défiance et l’opprobre. Le Sénégal, qui a longtemps été considéré comme une référence démocratique en Afrique, pourrait voir son image ternie par un tel comportement, alors que le peuple, lui, aspire à un avenir fondé sur la transparence, la justice et la responsabilité
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En Octobre, 2024 (14:34 PM)Va le dire a Trump lu a Obama
Compléxé va
@ 11:05 Am
En Octobre, 2024 (11:43 AM)Ces voyous économiques ne doivent même pas gérer un gérer un village. Ils pillent tout ce qu’ils touchent.
Il vient les reprendre!
Je fais partie de ces 35%
Barou
En Octobre, 2024 (14:14 PM)En 7 mois nous sommes revenus aux ères des délestages de 2012, des emplois CDI sont rompus sans foi ni loi
Du favoritisme pastefien dans l administration senegalaise
Et aucune persperctive pour les jeunes
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En Octobre, 2024 (11:46 AM)Reply_author
En Octobre, 2024 (12:14 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (14:36 PM)Paco
En Octobre, 2024 (10:45 AM)Et hollande aujourd'hui est devenu député. Pourquoi les africains sont complexés et demande à leur ancien président de sortir du pays . Du n'importe quoi
Encore Dans L'illusion
En Octobre, 2024 (10:56 AM)Sa fin politique serait fatale comme l'avait prédit Cheikh ANTA DIOP
bref les temps sont durs et les gens apparemment perdus.
comparez l'africain de province et le kaw kaw sénégalais :
l'africain s'exprimera en francais, sera correcte, recpectera certaines codes de civilité, sera cultivé et ne sera pas fanatique de quoi que ce soit.
le kaw kaw sénégalais sera lui, bavard, prétentieux, incorrecte, envahissant, ne parlera pas francais langue officielle du pays et s'en glorifiera, à part son marabout, ne respectera presque personne.
le probleme sénégalais, c'est le kaw kawisme qui domine le pays et que personne n'ose dénoncer.
le kaw kawisme a transformé les villes en dépotoirs.
Le retour de Macky est logique car il n'a pas encore pris sa retraite politique. Wade est oplus âgé que lui et il est toujours actif en politique. Tel maître tel élève. Macky sera encore là dans 20 ans inchalah. Que cela déplaise à certains !
Trump ancien président est en trin de compétir à nouveau. La vie politique c'est une succession de victoires et de défaites.
C'est à l'honneur de Macky Sall et du Sénégal qu'il accepte de compétir pour un poste de député. C'est aussi un insigne honneur à tous ces novices en politique qui diront un jour avec fierté qu'ils ont compétit avec Macky Sall.
Il faut arrêter ces campagnes de diabolisation dans ce pays. Macky SALL est un digne fils du Sénégal et chacun doit le reconnaître quelques oit le bord politique où on se situe. Attendons de voir quelle fin sera réservée à Sonko ou Diomaye. ou un autre leader actuel. J'espère qu'ils viendront étoffer notre musée de légendes. C'est tout le mal que je leur souhaite. Sachons célébrer nos héros au lieu de les salir que oir des raisons politiciennes.
C'est à nous et seulement à nous de nous fixer des limites et de nous donner des codes de conduite que nous allons léguer aux générations futures.
Dans ce pays, on insulte tout le monde : les chefs religieux, les anciens rois, les présidents et anciens présidents, les méritants. On insulte tout le monde.
L'Etat doit agir et ne pas se limiter seulement à l'offense au chef de l'Etat. En France, quand le président de la Fédération de football avait manqué de respect à Zinedine Zidane, c'est le Ministre des Sports qui a pris les choses en main et depuis ce lugubre monsieur a été contraint de démissionner et la vie continue.
Il faut protéger notre élite. Ce matin, j'ai entendu l'intervew de la femme qui agressé verbalement lMacky Sall et sa femme dans l'avion. Et d'aucuns ont essayé de faire de cette femme une héroïne. N'importe quoi. Le procureur doit sévir. C'est un précédent dangereurx et les anciens présidents ont droit une sécurité. Ousmane Sonko himself doit condamner cet acte d'un autre âge commis pas un de ses militants.
Numéro 9
En Octobre, 2024 (11:13 AM)Nabil
En Octobre, 2024 (11:42 AM)Reply_author
En Octobre, 2024 (12:14 PM)Ange
En Octobre, 2024 (11:53 AM)Le Sénégal En Danger
En Octobre, 2024 (11:57 AM)Asse
En Octobre, 2024 (11:59 AM)Fier D'être Peulh
En Octobre, 2024 (12:31 PM)Que vous aimiez les peuls ou pas, ce sont les meilleurs et plus aptes à diriger ce pays.
Faites un choix de raison avant que le pays ne sombre pour de bon.
Qu'il revienne chez je ne vois aucun mal en cela. S'il est aussi sal qu'on le décrit qu'attendent alots les tenants du pouvoir pour rendre justice à moins que ce soit qu'un simple lynchage médiatique.
Douche Froide
En Octobre, 2024 (13:44 PM)Toute cette bande de corrompus a peur de la reddition des comptes et cherche de l'immunité parlementaire pour échapper à la justice.
Viens vite nous sauver
Ou est le mal de vouloir revenir en politique, tout en passant par la porte normale, aussi etroite ou petite qu elle soit??
Combien de d'anciens presidents a t on vu redescendre dans l arene politique, pour reprendre le pouvoir???
C est honteux d 'etre si ridicule
Ce type n'a rien compris.
Ou est le mal de vouloir revenir en politique, tout en passant par la porte normale, aussi etroite ou petite qu elle soit??
Combien de d'anciens presidents a t on vu redescendre dans l arene politique, pour reprendre le pouvoir???
C est honteux d 'etre si ridicule
Ce type n'a rien compris.
Ou est le mal de vouloir revenir en politique, tout en passant par la porte normale, aussi etroite ou petite qu elle soit??
Combien de d'anciens presidents a t on vu redescendre dans l arene politique, pour reprendre le pouvoir???
C est honteux d 'etre si ridicule
Ce type n'a rien compris.
Ou est le mal de vouloir revenir en politique, tout en passant par la porte normale, aussi etroite ou petite qu elle soit??
Combien de d'anciens presidents a t on vu redescendre dans l arene politique, pour reprendre le pouvoir???
C est honteux d 'etre si ridicule
Macky revient pour reprendre en main son parti.
Wade était revenu pour les législatives après sa défaite en,2012. Vous rappelez. S'il n'était pas revenu, on ne parlerait plus de PDS car les politiciens opportunistes vont transhumer ou créer leurs propres partis.
Macky les a écartés de la liste. Beaucoup de responsables BBY avaient boycotté la présidentielle. Diomaye a été élu avec 54% de la moitié des électeurs inscrits.
Macky Sall revient pour remobiliser les troupes à cause des divergences entre les responsables.
C'est le PDS et l'abstention des responsables BBY qui ont offert le pouvoir à Diomaye nullard .
Le PDS est le faiseur du roi. Par conséquent la coalition Takku-Wallu va être redoutable pendant ces législatives. Le Pasteef a déjà perdu beaucoup de jeunes électeurs dans les embarcations clandestines, beaucoup ont quitté le pays, c'est pourquoi ils jouent sur les chiffres pour gagner du crédit. IEn plus de leur échec sur les six premiers mois dans tous les domaines ls sont mal barrés, ils le savent mais continuent à croire qu'ils sont toujours dans l'opposition.
Ils vont lire l'heure le 17 Novembre. C'est inéluctable !!!
Macky revient pour reprendre en main son parti.
Wade était revenu pour les législatives après sa défaite en,2012. Vous rappelez. S'il n'était pas revenu, on ne parlerait plus de PDS car les politiciens opportunistes vont transhumer ou créer leurs propres partis.
Macky les a écartés de la liste. Beaucoup de responsables BBY avaient boycotté la présidentielle. Diomaye a été élu avec 54% de la moitié des électeurs inscrits.
Macky Sall revient pour remobiliser les troupes à cause des divergences entre les responsables.
C'est le PDS et l'abstention des responsables BBY qui ont offert le pouvoir à Diomaye nullard .
Le PDS est le faiseur du roi. Par conséquent la coalition Takku-Wallu va être redoutable pendant ces législatives. Le Pasteef a déjà perdu beaucoup de jeunes électeurs dans les embarcations clandestines, beaucoup ont quitté le pays, c'est pourquoi ils jouent sur les chiffres pour gagner du crédit. IEn plus de leur échec sur les six premiers mois dans tous les domaines ls sont mal barrés, ils le savent mais continuent à croire qu'ils sont toujours dans l'opposition.
Ils vont lire l'heure le 17 Novembre. C'est inéluctable !!!
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