Le congrès du Parti socialiste (Ps) prévu dans le 1er trimestre de l’année 2013 sera reporté obligatoirement. Même si les socialistes tentent de sauver ce qui peut l’être encore, la réalité est toute autre. Minés qu’ils sont par les guerres de positionnement dans leurs rangs. Les socialistes qui n’ont pas encore démarré la 2e tranche de l’opération de vente de carte, ne pourront disposer du temps nécessaire pour renouveler toutes leurs structures. A moins qu’ils ne violent les dispositions de leurs statuts et règlements intérieurs.
Le congrès du Parti socialiste (Ps), annoncé en grande pompe pour le premier trimestre de l’année 2013, sera reporté inéluctablement. Les responsables socialistes en général, et en particulier les mouvements de jeunes qui sont à pied d’œuvre depuis des mois, risquent de déchanter. Ce congrès qui devait se tenir au plus tard 31 mars, n’aura pas lieu à date échue. En effet, du côté des socialistes, même si pour l’heure, l’on se défend en soutenant que « le Bureau politique avait pris cette date à titre indicatif », tout laisse croire qu’ils ne sont pas encore prêts pour le moment à renouveler leurs instances. Le Comité central, l’instance habilitée à fixer la date du congrès, ne s’est pas encore prononcée sur la question. Ainsi, selon des sources généralement bien informées, « le Ps fait actuellement face à des préalables qu’il doit obligatoirement régler avant de convoquer cette instance (le Congrès) ». « La vente des cartes n’a pas encore débuté, les instances de base et de direction ne sont pas renouvelées. Le Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng, n’a pas encore signé la circulaire autorisant le démarrage officiel de la vente des cartes », nous révèle un responsable socialiste, pour qui « le congrès sera obligatoirement reporté d’autant que la deuxième tranche des opérations de vente démarrée depuis 2009, n’est pas encore reprise. Donc, matériellement notre parti est tenu de repousser la date ». Pour mieux étayer son argumentaire, notre interlocuteur révèle, qu’après le placement des cartes, il faut d’abord renouveler les comités, puis les sous-sections, les sections, les coordinations et enfin les unions régionales. Et, à chaque étape, le Comité central entérine les décisions avant la convocation du Congrès. Cette instance élit à son tour, les membres du Comité central qui en font autant pour les membres du Bureau politique. Le « jeu » d’Otd C’est une lapalissade de le dire : matériellement, le Ps ne pourra pas respecter l’échéance qu’il s’était fixé pour la tenue de son congrès dans le 1er trimestre de l’année 2013. A moins, que les socialistes ne tripatouillent les dispositions statutaires et réglementaires régissant leur formation. Selon, quelques indiscrétions, « ce retard apporté dans la tenue du congrès est imputable au premier Secrétaire général, grisé par son poste de ministre conseiller ». « Tanor n’a plus le temps de s’occuper du Ps, il a placé ses hommes et maintenant, il joue au dilatoire pour empêcher la tenue du congrès, car sachant qu’il perdra son strapontin », accuse un responsable socialiste. « Faux », rétorque, ce jeune proche de M. Dieng ! « C’est un mauvais procès qu’on lui fait, il ne peut ni empêcher ni exiger la tenue du congrès. Les textes du parti sont clairs », clame t-il encore.
6 Commentaires
Sounna
En Janvier, 2013 (21:16 PM)ABOU AYYOUB AL ANSAAR
Il est Khâlid ibn Zayd ibn Kulayb des Banû An-Najjâr. Il eut l’honneur de recevoir le Prophète chez lui, après que celui-ci ait rejoint Médine, émigrant de La Mecque.
Tout Ansâr espérait recevoir le Prophète chez lui. Ils interrompirent à plusieurs reprises le cours de sa monture. Et le Prophète leur répondait en ces termes : " Laissez-la, elle est ordonnée ".
La chamelle poursuivit ainsi son chemin jusqu'à s'arrêter dans une cours devant la maison de Abû Ayyûb .
Abû Ayyûb s'en réjouit à l'extrême. Il se précipita à accueillir le Prophète , emporta ses effets personnels comme s'il portait les trésors de la terre et il se lança vers sa maison.
Celle si se composait de deux étages, le Prophète en choisit le plus bas pour être accessible à ses Compagnons. Mais Abû Ayyûb ne put supporter d'être au-dessus du Prophète et lui fit part de son souci. Après plusieurs épisodes qui montrent à quel point celui-ci respectait le Prophète et l'aimait, il parvint à le convaincre de monter au premier étage. Le Prophète resta chez Abû Ayyûb pour quelque mois jusqu'à ce que furent bâties sa mosquée et les chambres alentours.
Abû Ayyûb était d'un cœur tendre qui aimait le Prophète . Il était aussi généreux, propriétaire des dattiers qu'il cultivait, il partageait sa récolte avec les autres. Il était également un héros de guerre. Il ne renonçait à aucune bataille du temps du Prophète ni au temps des conquêtes islamiques jusqu'au règne de Mu'âwiya.
Mu'âwiya prépara une armée pour la conquête de Constantinople sous le commandement de son fils Yazîd. Abû Ayyûb, qui était alors âgé, sortit pour la bataille et tomba malade. Il demanda au commandant de l'armée de porter sa dépouille et de l'enterrer aux murs de Constantinople. En effet, il mourut dans cet état.
Les musulmans attaquèrent l'ennemi plusieurs fois jusqu'à ce qu'ils atteignirent les murs de Constantinople, en portant Abû Ayyûb. Là-bas, ils creusèrent une tombe et l'enterrèrent.
Qu’Allah l'agrée et lui accorde une vaste place en Son Paradis.
Recrutement
En Janvier, 2013 (21:28 PM)Retard Du Sénégal
En Janvier, 2013 (00:53 AM)Wane
En Janvier, 2013 (02:13 AM)Rat
En Janvier, 2013 (09:30 AM)Alwar
En Janvier, 2013 (09:34 AM)Participer à la Discussion