« Soudain fut annoncé ce qu’on prévoyait ». C’est par ces propos repris par Les Échos que l’islamologue et prédicateur suisse, Tariq Ramadan, aborde le report de l’élection présidentielle jusqu’au 15 décembre prochain.
« J’en avais parlé il y a quatre mois », dit-il. Dans ce sillage, il soutient mordicus qu’il y avait « les naïfs et les manipulés, ceux qui ont cru que la transition se ferait sans heurt, et ceux qui complotaient. »
Il poursuit : « Les scénarii sont assez prévisibles, et il ne faut pas minimiser les alliances du pouvoir avec ses alliés internationaux. »
Le petit-fils du fondateur des Frères musulmans, Hassan el-Banna, qui souligne que « les décisions ne se prennent pas qu’à Dakar », souffle qu’il s’agissait, d’abord, de « revoir la liste des candidats et réintégrer Karim Wade. »
Ensuite, il fallait permettre « un retour aux affaires du Président Macky Sall pour des raisons de sécurité » et, enfin « repousser l’élection pour une longue période afin de poursuivre la neutralisation du pluralisme politique », détaille-t-il.
« Trois options et toutes signent la confirmation que les principes démocratiques sont floués et que, de surcroît, les décisions ne se prennent pas seulement à Dakar. Triste évolution », tranche Tariq Ramadan. Qui invite cependant à ne « rien lâcher et continuer à exiger le droit, la liberté, la justice et le respect des choix du peuple ».
« J’en avais parlé il y a quatre mois », dit-il. Dans ce sillage, il soutient mordicus qu’il y avait « les naïfs et les manipulés, ceux qui ont cru que la transition se ferait sans heurt, et ceux qui complotaient. »
Il poursuit : « Les scénarii sont assez prévisibles, et il ne faut pas minimiser les alliances du pouvoir avec ses alliés internationaux. »
Le petit-fils du fondateur des Frères musulmans, Hassan el-Banna, qui souligne que « les décisions ne se prennent pas qu’à Dakar », souffle qu’il s’agissait, d’abord, de « revoir la liste des candidats et réintégrer Karim Wade. »
Ensuite, il fallait permettre « un retour aux affaires du Président Macky Sall pour des raisons de sécurité » et, enfin « repousser l’élection pour une longue période afin de poursuivre la neutralisation du pluralisme politique », détaille-t-il.
« Trois options et toutes signent la confirmation que les principes démocratiques sont floués et que, de surcroît, les décisions ne se prennent pas seulement à Dakar. Triste évolution », tranche Tariq Ramadan. Qui invite cependant à ne « rien lâcher et continuer à exiger le droit, la liberté, la justice et le respect des choix du peuple ».
7 Commentaires
Hypocrite
En Février, 2024 (12:06 PM)Reply_author
En Février, 2024 (13:07 PM)-Le conflit entre le Hamas, l'organisation proche des frères musulmans(vomis par la plus part des pays arabo-musulmans) et israël
- Le général putshiste El Sissi qui gouverne l'egypte et qui emprisonne les membes des frères musulmans dont Tariq Ramandant est le petit fils du fondateur.
En vérité le sénégal fait parti de leur plan pour s'établir en afrique occidental et avoir un débouché maritime, aidé en cela par le pastef (le dahwa de Ngagne Demba Touré) n'est pas encore mort.
Reply_author
En Février, 2024 (13:09 PM)Reply_author
En Février, 2024 (14:08 PM)Ass
En Février, 2024 (12:08 PM)Ibra
En Février, 2024 (12:19 PM)Reply_author
En Février, 2024 (13:57 PM)Mags Maguette
En Février, 2024 (12:55 PM)J'invite tout le monde à se concentrer sur le réglement définitif de son cas avant de passer à tout autre chose !
Beutou Senegalais Yi
En Février, 2024 (13:33 PM)Participer à la Discussion