Plus tard, s’en suivra le décès de sa meilleure amie, une de ses sœurs, cadre supérieure et promue à une belle carrière. Quelques temps plus tard, ce sera au tour de sa mère de rejoindre l’Eternel. Des événements tragiques qui ont fortement bouleversé sa vie. Mais Dionne n’est pas connu pour une être une chochotte. Fils d’un commissaire de police, il traîne la réputation d'un dur à cuire. « Rien ne peut le perturber et il ne tient pas trop aux choses de ce bas monde.
A la limite, il s’en f… », confie un de ses proches. « Que peut-il perdre encore ? S’il vole, il le donnera à qui ? Il n’a pas d’héritier. Son seul héritier, c’est sans doute ce que l’histoire retiendra de lui. Il a été obligé de donner un de ses reins à un de ses proches , gravement malade », confesse un intime au journal Libération. »
Politique
Déclaration de politique générale : Le visage vrai de Mohammed Dionne
A quelques heures de la déclaration de politique tant attendue de Mouhammed Boun Abdallah Dionne, Libération consacre un portrait au Premier ministre. Si son profil professionnel est bien connu des Sénégalais : passage à l’Ibm, à la Bceao, à l’Onudi, à l’ambassade du Sénégal à Paris, ministre en charge du Boss avant d’être nommé Premier ministre, on connait moins l’homme côté cour. Derrière ce visage impassible, se cache un homme meurtri par la perte d’êtres chers. Sa belle-mère, sa tante, sa sœur ont péri dans un terrible accident alors qu’il était au volant.
18 Commentaires
Matam
En Novembre, 2014 (16:48 PM)Du Ouf
En Novembre, 2014 (16:49 PM)Terrible
En Novembre, 2014 (16:57 PM)Mounos
En Novembre, 2014 (17:02 PM)La Chine et la Turquie fournissent au Sénégal, l'essentiel de l'ail que consomme sa population, a déclaré à Xinhua le directeur général de "Agroseed", une d' entreprise spécialisée en agriculture, Moctar Fall.
"Au Sénégal, on consomme 10.000 tonnes d'ail par an, selon des chiffres officiels. On les importe parce qu'on n'en produit pas. Le Sénégal importe de l'ail de la Chine et de la Turquie", a-t-il indiqué en marge d'une cérémonie de lancement à Dakar du rapport 2013 de l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) dont la Direction générale est basée aux Etats-Unis.
"Le Sénégal peut produire de l'ail pour sa consommation et en exporter vers le reste de la sous-région et même vers l'Europe qui consomme beaucoup d'ail et qui ne produit pas tout l'ail qu'il consomme. Il y a de grosses opportunités pour produire l'ail", a-t- il souligné.
Au cours de la rencontre, M. Fall a expliqué au ministre sénégalais de l'Agriculture et de l'Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, la nécessité actuellement de voir comment faire pour reprendre la production de l'ail au Sénégal puisque, selon lui, "l'enjeu est important au plan économique mais aussi au plan agricole".
"Il faut au Sénégal, 2.000 hectares pour produire à suffisance les besoins de ce pays. On a ces 2.000 hectares, il faut trouver les bonnes variétés. On est en train de travailler là-dessus", a expliqué le chef d'entreprise sénégalais qui pense que le Sénégal peut s'auto-suffire en ail à l'horizon 2017.
Source : Radio Chine Internationale
1passant
En Novembre, 2014 (17:03 PM)Pragmatique
En Novembre, 2014 (17:09 PM)J'ai bien aimé votre discours lors des journées de la mise à niveau. Comme vous disiez, nous ne pouvons pas être producteurs de phosphates, et importer de l'engrais. C'est un NON SENS manifeste. Nous devons relancer notre agriculture et notre industrie, secteurs fortement créateurs d'emplois et de richesses pour notre cher pays qui se paupérise chaque année. Nous devons produire pour relancer notre économie et non importer et transformer cette capitale en un souk terrible inondé de vendeurs à tous les coins de rue.
Je vous demande juste de bien considérer l'énergie car pour moi c'est LA CLE! Tant que nous n'aurons pas réglé ce problème d'accès à une énergie (primaire, et électricité) disponible et à un coût compétitif, nous ne pourrons JAMAIS nous développer. Pour cela il faut des stratégies à long-terme 5 à 10 ans au moins et plus jamais des plans de court-terme qui coûtent chers et fragilisent encore plus nos finances et surtout le SENELEC.
L'Etat du Sénégal doit revoir son mode de fonctionnement et permettre aux entreprises de créer les conditions d'une croissance durable, au lieu de favoriser leur fermeture par une politique fiscale plus que contraignante. Ce sont les entreprises qui créent la croissance et l'emploi et non l'Etat du Sénégal donc de grâce laissez nous travailler...nous n'avons pas besoin de beaucoup de ministres dans notre pays si pauvre. L'investisseur est découragé quand il vient au Sénégal et qu'il voit tout ce désordre, des coûts de facteurs de production prohibitifs, une main d'œuvre non qualifié, et cette zone industrielle dont les routes ne sont même pas praticables. Que dire de nos régions? La situation est catastrophique et je pèse mes mots.
A ce rythme nous ne pourrons jamais nous développer et la Corée du Sud qui d'après les experts avait le même niveau de développement que le Sénégal en 1960 continuera son développement harmonieux et nous vendra ses Kia, Hyundai et autres produits manufacturés à forte valeur ajoutée.
Je vous souhaite bon courage Monsieur le premier Ministre.
Niakhar
En Novembre, 2014 (17:12 PM)Colytinguela
En Novembre, 2014 (17:27 PM)Miss
En Novembre, 2014 (17:30 PM)Tourem
En Novembre, 2014 (17:55 PM)Dionnah
En Novembre, 2014 (18:14 PM)Titen
En Novembre, 2014 (20:48 PM)Moi
En Novembre, 2014 (21:26 PM)Pourquoi j'ai l'impression que c'est Me Adama Sall qui parle. C'est son style, sa facon d'etre cynique, vil, mechant t bas. Amoul ndiarine
Fans
En Novembre, 2014 (21:53 PM)Sx
En Novembre, 2014 (22:16 PM)Mais c'est toujours la volonté de DIEU.
Si on s'en remet au tout puissant, il allège toutes nos peines et souffrances.
C'est dur de perdre des proches au même moment.
ALLAH est GRAND. ALHAMDOULILAH !
Enseignants
En Novembre, 2014 (22:36 PM)Zen
En Novembre, 2014 (09:36 AM)???
En Novembre, 2014 (10:46 AM)Participer à la Discussion