Serigne Bassirou Diatta, porte-parole de l'Ujtl a déclaré que « des passeports ont été arrachés à des marabouts et redistribués à des homosexuels. (...) ». Avant d'ajouter : « quitte à ce qu'ils nous f... tous au gnouf».
Poursuivant dans la même lancée, il menace. « S'ils n'arrêtent pas, nous allons mettre ce pays dans une situation cataclysmique ».
Par ailleurs, Toussaint Manga (Secrétaire général du Mouvement des élèves et étudiants libéraux - Meel-) a soutenu, lors de leur réunion à la permanence du Pds ce samedi, qu'il réitérait toutes les déclarations faites par ses camarades Bara Gaye et Mamadou Lamine Massaly. Les jeunes libéraux, par sa voix nous dit-on, se sont également demandés où sont passés les O.N.G. qui disaient défendre les droits de l'homme.
Il interpelle ainsi les nommés Alioune Tine, Latif Coulibaly, Penda Mbow : « Dès qu'on leur a donné leur part du gâteau, on ne les entend plus», clame-t-il. À cet effet, Toussaint Manga marque son indignation sur la proposition de loi pour interdire toute éligibilité aux personnes inculpées pour détournement et malversations.
Il affirme ainsi que c'est un schéma bien mûri, qui ne vise qu'à empêcher des citoyens comme Karim Wade de se présenter à l'élection présidentielle de 2017.
« Ce schéma ne passera pas », tonne-t-il. Puis il prévient : « nous allons faire un sit-in à l'Assemblée nationale », nous apprend le quotidien L'Office, dans sa livraison du jour, lue par Seneweb News.
14 Commentaires
Xeme
En Avril, 2013 (11:17 AM)Benawaay
En Avril, 2013 (11:31 AM)DES PASSEPORTS POUR RACKETTER LES EMMIGRÈS AUSSI FAUT REVOIR.
Yatt
En Avril, 2013 (11:40 AM)Les débris de ce qui a été le PDS pensent pouvoir s'accrocher aux "serignaillons" pour échapper à leur destin de gibiers de potence qu'ils se sont choisi eux-mêmes.
Serigne Bass
En Avril, 2013 (12:19 PM)Imam$
En Mars, 2024 (13:55 PM)Reply_author
En Mars, 2024 (14:52 PM)Varez
En Avril, 2013 (12:38 PM)Avis Ndiaye
En Avril, 2013 (15:07 PM)Je m'en veux d'ailleurs d'avoir perdu mon temps sur cet article qui n'a d'autre but que d'embraser le Sénégal. Je me demande d'ailleurs si l'auteur de cet article sait ce que veut dire "embraser". C'est "Tâle deuk bi" De grâce arrêtez vos conneries. Cela ne prendra pas.
Clc Wakhinane
En Avril, 2013 (17:53 PM)Karamo
En Avril, 2013 (20:16 PM)Atypico
En Avril, 2013 (21:50 PM)Baye
En Avril, 2013 (04:34 AM)Sama
En Avril, 2013 (06:49 AM)Asd
En Avril, 2013 (07:45 AM)Bugz
En Avril, 2013 (07:57 AM)On est dans quel pays là ?!!!!
Ugb
En Avril, 2013 (08:18 AM)« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »
Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.
« Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti. »
Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)
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