Ce 25 juillet 2025, dans une atmosphère mêlant fierté et humilité, le Premier ministre Ousmane Sonko a lancé une initiative inédite qui pourrait bien reconfigurer les rapports entre jeunesse, territoire et nation. Mille jeunes volontaires agricoles ont été officiellement investis de leur mission?qui consiste à soutenir les communautés rurales, revitaliser l’agriculture de proximité et semer les graines d’une citoyenneté active et enracinée.
Ils sont issus de toutes les régions du Sénégal, choisis parmi plus de 3?000 candidats, porteurs d’enthousiasme, de compétences, parfois de simples convictions. Pendant plusieurs mois, ils sillonneront les zones rurales, non comme techniciens parachutés, mais comme partenaires à l’écoute. Leur tâche?consiste à accompagner les coopératives, animer les dynamiques collectives, vulgariser les bonnes pratiques agricoles et insuffler une culture de responsabilité, là où l’engagement civique est souvent bridé par l’isolement et la précarité.
Mais cette opération va bien au-delà d’un programme classique de développement. Elle est pensée comme un projet de société. Dans un pays où l’exode rural continue d’appauvrir les campagnes et de congestionner les villes, cette démarche réaffirme une vérité trop souvent reléguée?; l’avenir du Sénégal se joue aussi dans les champs, dans les vallées, dans les terres arides rendues fertiles par la solidarité et la science partagée.
La particularité du programme réside aussi dans son ouverture à la diaspora. Pour la première fois, un dispositif de volontariat à distance permettra à des Sénégalais de l’étranger, étudiants, ingénieurs, agronomes, de contribuer à l’effort national par des conseils, des formations, ou des projets numériques. Une manière de reconnecter les fils dispersés d’un peuple en mouvement, et de faire circuler savoirs et expériences dans les deux sens de l’océan.
Derrière cette stratégie, une vision plus large émerge?, celle d’un État qui ne délègue plus l’avenir rural aux seules ONG ou aux marchés, mais qui place la jeunesse au centre du changement. Le volontariat agricole devient ici un outil de transformation des territoires, mais aussi de soi. Car s’engager dans le rural, c’est apprendre à composer avec les lenteurs, les résistances, les besoins profonds. C’est retrouver le lien avec la terre, avec les autres, avec une forme de patience active qui manque tant à nos sociétés pressées.
Dans un contexte marqué par l’urgence climatique, la volatilité alimentaire et la nécessité de reconstruire des circuits courts, cette armée pacifique de volontaires trace une ligne d’avenir. Ni nostalgique ni naïve. Résolument ancrée. Résolument tournée vers demain.
le développement ne peut se baser suun volontariat comme programme c'est donc créer de nouveaux pauvres
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il y a 1 mois
Une autre farce d'Ousmane Sweet Beauté !
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il y a 1 mois
Une autre farce d'Ousmane Sweet Beauté !
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il y a 1 mois
Ne leurrer pas le peuple on a vendu l'emploi aux jeunes. Donc il faut créer l'emploi. Le développement et l'économie c'est lié à l'emploi. Arrêter le yoyo politique avec des termes bidons. Si on parle de développement avec du volontariat, don de soi, donc pas de salaire, il faut arrêter d'encaisser des impôt pour vous nourrir avec la caisse noire.
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SeNeGal. il y a 1 mois
Il faut qu'il intègre son fils et les fils des ministres pour l'exemple. Ou bien ce machin est réservé aux enfants des gorgorlous?
Répondre à SeNeGal.
il y a 1 mois
La solution aux développement de l'afrique, c'est le don de soi pour la patrie. volontariat. on peut faire des milliers de choses. des routes, des ponts, des ecoles, des hopitaux des hangars.
Du ciment, du fer et du béton. On en a à gogo ou on peut le produire localement à 100%
reply_authoril y a 1 mois
il faut d'abord que les dirigeants montrent l'exemple. Ils ont de belles voitures, des maisons, des caisses noires. Pourquoi ils ne diminuent pas le train de vie de l'état? Il y'a des priorités sur la santé, l'agriculture, et l'éducation, qu'est-ce que l'état attend pour augmenter le budget opérationnel de ces ministères.
reply_authoril y a 1 mois
Ne leurrer pas le peuple on a vendu l'emploi aux jeunes. Donc il faut créer l'emploi. Le développement et l'économie c'est lié à l'emploi. Arrêter le yoyo politique avec des termes bidons. Si on parle de développement avec du volontariat, don de soi, donc pas de salaire, il faut arrêter d'encaisser des impôt pour vous nourrir avec la caisse noire.
Commentaires (6)
le développement ne peut se baser suun volontariat comme programme c'est donc créer de nouveaux pauvres
Une autre farce d'Ousmane Sweet Beauté !
Une autre farce d'Ousmane Sweet Beauté !
Ne leurrer pas le peuple on a vendu l'emploi aux jeunes. Donc il faut créer l'emploi. Le développement et l'économie c'est lié à l'emploi. Arrêter le yoyo politique avec des termes bidons. Si on parle de développement avec du volontariat, don de soi, donc pas de salaire, il faut arrêter d'encaisser des impôt pour vous nourrir avec la caisse noire.
Il faut qu'il intègre son fils et les fils des ministres pour l'exemple. Ou bien ce machin est réservé aux enfants des gorgorlous?
La solution aux développement de l'afrique, c'est le don de soi pour la patrie. volontariat. on peut faire des milliers de choses. des routes, des ponts, des ecoles, des hopitaux des hangars.
Du ciment, du fer et du béton. On en a à gogo ou on peut le produire localement à 100%
il faut d'abord que les dirigeants montrent l'exemple. Ils ont de belles voitures, des maisons, des caisses noires. Pourquoi ils ne diminuent pas le train de vie de l'état? Il y'a des priorités sur la santé, l'agriculture, et l'éducation, qu'est-ce que l'état attend pour augmenter le budget opérationnel de ces ministères.
Ne leurrer pas le peuple on a vendu l'emploi aux jeunes. Donc il faut créer l'emploi. Le développement et l'économie c'est lié à l'emploi. Arrêter le yoyo politique avec des termes bidons. Si on parle de développement avec du volontariat, don de soi, donc pas de salaire, il faut arrêter d'encaisser des impôt pour vous nourrir avec la caisse noire.
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