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Politique

Deux nouveaux membres à la Cena

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Deux nouveaux membres à la Cena

Deux nouveaux membres viennent d’intégrer la Commission électorale (Cena), structure chargée de la supervision du processus électoral et des élections. Il s’agit de Mbayang Leity Ndiaye et de Mame Yacine Camara. Comme en dispose l’article L.17 du Code électoral, ils devront se présenter devant le Conseil Constitutionnel qui doit recueillir leur serment.

C’est ainsi qu’une cérémonie solennelle sera organisée le mercredi 26 octobre 2011, dans la salle d’audience de la Cour Suprême à partir de 12 heures. Ce n’est qu’à partir de ce moment qu’ils prendront officiellement fonction.


9 Commentaires

  1. Auteur

    Changement De Profil

    En Octobre, 2011 (14:38 PM)
    S'est normal car y'a deux sages qui vont être remplacés car ne voulant pas participer à cette comédie ou mascarade concernant la candidature de Wade. Wait and see
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  2. Auteur

    Opa

    En Octobre, 2011 (15:00 PM)
    Toi au moins tu lis.Mais la majeur partie des senegalais peuvent lire sans comprendre.Ils sont comme des moutons.Ils comprennent rien et se font toujours manipuler par les politiciens et les journalistes.
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    Auteur

    3lampes

    En Octobre, 2011 (15:46 PM)
    doff ton gars vrai couillon, on parle de niit lui réfléchi com mbamm
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    Auteur

    Nico

    En Octobre, 2011 (16:35 PM)
    Rien à cirer c'est pas une information ça sinon donner de l'importance a ces deux membres
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    Auteur

    Paps

    En Octobre, 2011 (19:03 PM)
    À M. Cheikh Tidiane DIAKHATE 

    Pdt du Conseil Constitutionnel 

    Réf : 11/CS/SG/MNS/003 

    Objet : Doléance du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel



    Nous sommes venus vous rappeler aujourd’hui, le serment tacite que vous avez fait au peuple sénégalais en acceptant votre statut de membre du Conseil constitutionnel. Vous avez juré de fidèlement remplir vos fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes, de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. Il nous semble aujourd’hui que vous avez manqué à vos engagements et à votre parole, et que vos séminaires, vos rassemblements, ne sont que les signes avant-coureurs d’une forfaiture annoncée. 

    Or la candidature de Wade aujourd’hui ne relève pas uniquement de considérations juridiques ou constitutionnelles, elle est tout simplement immorale. La presse et l’opposition s’empressent de dénoncer une troisième candidature du chef de l’Etat, en vertu des engagements qu’il aurait pris de ne jamais se représenter et des modifications qu’il aurait lui-même apportées à la Constitution, nous la refusons au nom de la dignité nationale. 



    Nous tenons à vous rappeler que les fonctions du chef de l’Etat exigent une intégrité sans faille destinée à garantir la dignité sénégalaise. Parce que nous aspirons à vivre dignement, nous voulons mettre un terme au fatalisme du peuple sénégalais qui par résignation a fini par accepter les abus de l’Etat, l’assistanat, et l’opprobre. Ce que nous exigeons, c’est la restauration des valeurs républicaines dont Wade lui-même, dans son double langage, se réclame lorsqu’il réaffirmait : « … avec force son attachement à l’observation stricte des règles de transparence et d’éthique dans la gestion des affaires publiques». 



    Nous vous invitons à le prendre au mot et à revisiter les dix ans de malversations financières que nous venons de traverser. Les contradictions multiples du chef de l’Etat, ses revirements, ses manquements à la parole donnée, le détournement manifeste des deniers publics par les membres de son entourage et de sa famille, sa tentative de corruption d’un membre du Fmi et son implication directe dans l’assassinat de Maître Babacar Sèye lui interdisent de briguer pour une troisième fois la magistrature suprême. 



    - On n’organise pas de festival dans un pays sans électricité et sans feux rouges. 

    - On ne construit pas de statue de la «renaissance» dans un pays sans hôpitaux. 

    - On n’engage pas le salaire des retraités dans des escroqueries financières. 



    Wade doit tomber, l’honneur du Sénégal l’exige ! Nous sommes venus chez vous manifester nos ressentiments et vous désigner comme les responsables de nos souffrances quotidiennes. Wade peut aujourd’hui violer l’éthique républicaine sans en souffrir les conséquences, à cause d’hommes comme vous. Demain, lorsque la parole sera à la rue, nous reviendrons plus nombreux afin que vous nous rendiez des comptes. «Vivre coûte beaucoup, mourir également. Faire front exige de la dignité». Il ne sera pas dit que nous ne vous avons pas offert la possibilité de faire front avec nous. 



    Le Secrétaire Général 

    Malick Noël SECK 

    Ampliation : Membres du Conseil Constitutionnel 

    Malick Noël SECK 





     

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    Auteur

    Bibs

    En Octobre, 2011 (19:04 PM)
    À M. Cheikh Tidiane DIAKHATE 

    Pdt du Conseil Constitutionnel 

    Réf : 11/CS/SG/MNS/003 

    Objet : Doléance du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel



    Nous sommes venus vous rappeler aujourd’hui, le serment tacite que vous avez fait au peuple sénégalais en acceptant votre statut de membre du Conseil constitutionnel. Vous avez juré de fidèlement remplir vos fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes, de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. Il nous semble aujourd’hui que vous avez manqué à vos engagements et à votre parole, et que vos séminaires, vos rassemblements, ne sont que les signes avant-coureurs d’une forfaiture annoncée. 

    Or la candidature de Wade aujourd’hui ne relève pas uniquement de considérations juridiques ou constitutionnelles, elle est tout simplement immorale. La presse et l’opposition s’empressent de dénoncer une troisième candidature du chef de l’Etat, en vertu des engagements qu’il aurait pris de ne jamais se représenter et des modifications qu’il aurait lui-même apportées à la Constitution, nous la refusons au nom de la dignité nationale. 



    Nous tenons à vous rappeler que les fonctions du chef de l’Etat exigent une intégrité sans faille destinée à garantir la dignité sénégalaise. Parce que nous aspirons à vivre dignement, nous voulons mettre un terme au fatalisme du peuple sénégalais qui par résignation a fini par accepter les abus de l’Etat, l’assistanat, et l’opprobre. Ce que nous exigeons, c’est la restauration des valeurs républicaines dont Wade lui-même, dans son double langage, se réclame lorsqu’il réaffirmait : « … avec force son attachement à l’observation stricte des règles de transparence et d’éthique dans la gestion des affaires publiques». 



    Nous vous invitons à le prendre au mot et à revisiter les dix ans de malversations financières que nous venons de traverser. Les contradictions multiples du chef de l’Etat, ses revirements, ses manquements à la parole donnée, le détournement manifeste des deniers publics par les membres de son entourage et de sa famille, sa tentative de corruption d’un membre du Fmi et son implication directe dans l’assassinat de Maître Babacar Sèye lui interdisent de briguer pour une troisième fois la magistrature suprême. 



    - On n’organise pas de festival dans un pays sans électricité et sans feux rouges. 

    - On ne construit pas de statue de la «renaissance» dans un pays sans hôpitaux. 

    - On n’engage pas le salaire des retraités dans des escroqueries financières. 



    Wade doit tomber, l’honneur du Sénégal l’exige ! Nous sommes venus chez vous manifester nos ressentiments et vous désigner comme les responsables de nos souffrances quotidiennes. Wade peut aujourd’hui violer l’éthique républicaine sans en souffrir les conséquences, à cause d’hommes comme vous. Demain, lorsque la parole sera à la rue, nous reviendrons plus nombreux afin que vous nous rendiez des comptes. «Vivre coûte beaucoup, mourir également. Faire front exige de la dignité». Il ne sera pas dit que nous ne vous avons pas offert la possibilité de faire front avec nous. 



    Le Secrétaire Général 

    Malick Noël SECK 

    Ampliation : Membres du Conseil Constitutionnel 

    Malick Noël SECK 





     

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    Auteur

    Noel Seck

    En Octobre, 2011 (19:05 PM)
    À M. Cheikh Tidiane DIAKHATE 

    Pdt du Conseil Constitutionnel 

    Réf : 11/CS/SG/MNS/003 

    Objet : Doléance du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel



    Nous sommes venus vous rappeler aujourd’hui, le serment tacite que vous avez fait au peuple sénégalais en acceptant votre statut de membre du Conseil constitutionnel. Vous avez juré de fidèlement remplir vos fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes, de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. Il nous semble aujourd’hui que vous avez manqué à vos engagements et à votre parole, et que vos séminaires, vos rassemblements, ne sont que les signes avant-coureurs d’une forfaiture annoncée. 

    Or la candidature de Wade aujourd’hui ne relève pas uniquement de considérations juridiques ou constitutionnelles, elle est tout simplement immorale. La presse et l’opposition s’empressent de dénoncer une troisième candidature du chef de l’Etat, en vertu des engagements qu’il aurait pris de ne jamais se représenter et des modifications qu’il aurait lui-même apportées à la Constitution, nous la refusons au nom de la dignité nationale. 



    Nous tenons à vous rappeler que les fonctions du chef de l’Etat exigent une intégrité sans faille destinée à garantir la dignité sénégalaise. Parce que nous aspirons à vivre dignement, nous voulons mettre un terme au fatalisme du peuple sénégalais qui par résignation a fini par accepter les abus de l’Etat, l’assistanat, et l’opprobre. Ce que nous exigeons, c’est la restauration des valeurs républicaines dont Wade lui-même, dans son double langage, se réclame lorsqu’il réaffirmait : « … avec force son attachement à l’observation stricte des règles de transparence et d’éthique dans la gestion des affaires publiques». 



    Nous vous invitons à le prendre au mot et à revisiter les dix ans de malversations financières que nous venons de traverser. Les contradictions multiples du chef de l’Etat, ses revirements, ses manquements à la parole donnée, le détournement manifeste des deniers publics par les membres de son entourage et de sa famille, sa tentative de corruption d’un membre du Fmi et son implication directe dans l’assassinat de Maître Babacar Sèye lui interdisent de briguer pour une troisième fois la magistrature suprême. 



    - On n’organise pas de festival dans un pays sans électricité et sans feux rouges. 

    - On ne construit pas de statue de la «renaissance» dans un pays sans hôpitaux. 

    - On n’engage pas le salaire des retraités dans des escroqueries financières. 



    Wade doit tomber, l’honneur du Sénégal l’exige ! Nous sommes venus chez vous manifester nos ressentiments et vous désigner comme les responsables de nos souffrances quotidiennes. Wade peut aujourd’hui violer l’éthique républicaine sans en souffrir les conséquences, à cause d’hommes comme vous. Demain, lorsque la parole sera à la rue, nous reviendrons plus nombreux afin que vous nous rendiez des comptes. «Vivre coûte beaucoup, mourir également. Faire front exige de la dignité». Il ne sera pas dit que nous ne vous avons pas offert la possibilité de faire front avec nous. 



    Le Secrétaire Général 

    Malick Noël SECK 

    Ampliation : Membres du Conseil Constitutionnel 

    Malick Noël SECK 





     

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    Auteur

    Boy Pinetown

    En Octobre, 2011 (07:01 AM)
    Ces deux là ne font k perdre leur temps parcek d'ici moins de 5 mois Wade va passer a l'enfer.le sènat è la comèdie de la politik senegaléz.
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    Auteur

    Propère

    En Octobre, 2011 (09:57 AM)
    les membres de la CENA et surtout les contrôleurs doivent être intégrer pour une réduction du taux de chômage.

    la plupart sont des diplôme et sans emplois
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