Depuis sa création, sous la houlette du fils de l’ancien président de la République Abdoulaye Wade, la Génération de concret (Gc) a nourri les fantasmes les plus saugrenus. Survivra-t-elle loin de pouvoir et lestée de son patron ?
Que va-t-il rester de la Génération du concret (GC) après la défaite du Pds du 25 mars dernier ? Difficile de répondre à cette question tant la structure créée par le fils du président Wade a intrigué dans les cercles du pouvoir et en dehors. Présentée comme une stratégie de contournement de la toute puissance des numéros deux successifs du Pds depuis 2000 et de proposition d’une force supplétive de la formation libérale, la GC a été au centre de moult supputations depuis sa création.
Dans le Pds, les prises de position ont été souvent murmurées, rarement assumées. Seul le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait osé s’en démarquer publiquement dans un entretien à Week-End magazine. « Je ne serai jamais derrière ce gosse de Karim Wade », avait-il alors confié. Dans la presse, les nominations au gouvernement étaient systématiquement passées au révélateur de l’appartenance ou non à la coterie des amis de Wade fils. Les sanctions, positives ou négatives avaient une seule origine : Karim Wade et la GC. Au point de nourrir le fantasme national de la dévolution monarchique du pouvoir.
La GC survivra-t-elle loin des allées lambrissées du pouvoir ? Mourra-t-elle de sa belle mort à l’amorce d’un nouveau régime qui s’est justement nourri à la source de la phobie entretenue de la transmission du pouvoir à Karim Wade ? Les premiers signes ne sont guère rassurants. Le maire de Ziguinchor qui passait pour le numéro 2 du mouvement a pris ses distances avec le Pds, préférant hisser son propre pavillon politique.
Le patron du mouvement lui-même, l’ancien ministre d’Etat, ministre des Transports aériens, des Infrastructures, de la Coopération internationale et de l’Energie, Karim Wade, a confié à une source digne de foi, son intention d’observer un repos sabbatique d’un an. Ce qui, de facto, exclut sa participation aux législatives du 1er juillet, contrairement à une rumeur qui le plaçait en tête d’une liste de la GC.
Avec ce retrait de la scène politique, c’est l’avenir de la GC qui est fortement compromis, d’autant plus que le mouvement est quasiment en veilleuse depuis les élections locales de 2009. Et, dans un contexte de recomposition politique où le Pds lui-même n’est pas épargné par les soubresauts, tout indique que la GC, si elle a les moyens de survivre sans son mentor, aura très peu de cartes en sa disposition pour peser sur le jeu politique. Sans le pouvoir et sans Karim Wade, on risque d’assister à une sortie de scène d’une structure à qui il ne sera même pas offert l’occasion, lors des joutes de juillet 2012, d’entonner le dernier chant merveilleux du cygne avant sa mort.
18 Commentaires
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En Avril, 2012 (20:58 PM)Domou Golo
En Avril, 2012 (21:04 PM)"Domou golo daal niawoul"
"Le petit singe n'est pas moche, il a de qui le tenir"
Tia
En Avril, 2012 (21:11 PM)Babacar Mouskade
En Avril, 2012 (21:12 PM)Le retrait de la Loi instituant le ticket présidentiel et du vice président, a été axé sur son attachement à placer au cœur de son action la paix, fondée sur la justice, l’éthique, la réconciliation nationale, la bonne gouvernance au service d’un État démocratique et l’ancrage d’un Sénégal émergent dans la dynamique vers une construction des États Unis d’Afrique.
En dépit de l’accent mis sur la situation sécuritaire qui demeure pour l’heure plus qu’une priorité, Le président de la république à souligné avec force et solennité la mise en chantier des grands travaux en vue d’un démarrage durable de l’activité économique afin que le Sénégal recouvre son rôle de locomotive dans la sous-région. En cela, vous êtes gratifié d’une feuille de route bien consistante pour le Ministre d’ État que vous êtes à mettre en application, après l’avoir marquée de votre empreinte au moyen d’une lettre de cadrage qui fixera pour tous, une obligation de résultat.
Monsieur le Ministre d’ État, avant d’ouvrir le chapitre qui a trait aux suggestions faisant l’objet principal de cette lettre ouverte, permettez- moi de témoigner de la grande admiration que j’aie pour votre personne. Reconnaitrons que pour vos dispositions intellectuelles, vos compétences professionnelles, votre portefeuille relationnel, votre capacité à gérer efficacement les hommes, votre constance dans ses engagements, mais également votre charisme, la qualité de vos rapports avec les autres, votre capacité à pardonner, nous paraissait le leader le mieux indiqué pour prendre le destine du Sénégal. Vous êtes d’une probité qui ne souffre d’aucune critique et le don de soi doublé du sérieux dans la rigueur, sont des vertus qui vous caractérisent le mieux ; voila pourquoi personne n’est dubitatif avec vous, le Président et les Sénégalais sont sûrs que le bateau du Sénégal (SUNUGAAL) sera mené à bon port. Mieux avec vous, l’Afrique inaugure l’avènement d’une nouvelle race d’homme politique, un nouveau leadership qui m’inspire cet adage de Corneille, je cite : « Aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années ».
A présent, place aux mobiles qui ont motivé en partie l’adresse de cette lettre à votre illustre personne. De quoi s’agit-il ? Il est question à juste titre, de vous soumettre un plaidoyer sur la Jeunesse :
Un pays se développe par sa jeunesse, la jeunesse étant l’avenir de la nation.
J’estime qu’il est temps de se parler quand on entend une jeunesse dire y’en a marre ou Barca wala Barsax.
Ceci est un cri d’abandon d’une jeunesse qui a démissionne de ses responsabilités de construire un pays qui est le sien.
Une jeunesse qui n’a pas compris qu’elle est actrice de son propre destin. Cette prise conscience qui est un effet de mode ou un écart de langage d’un artiste ou d’un people au Sénégal devient tout d’un coup une révolution.
Où est ce qu’on a vu un pays se développer par la musique ou le sport ? Le développement d’abord pour supporter ces activités de divertissements. Quel modèle de développement économique est basé sur ces paramètres.
Il a fallu à l’Etat de poursuivre les lutteurs pour qu’ils paient leurs impôts. Pourquoi n’ont-ils pas la conscience que ces par leurs impôts que la Sénégal pourra fournir de l’électricité et luttera contre le chômage ?
Combien de vendeurs ambulants occupent la voie publique tous des jeunes et qui ne paient aucune taxe et réclament des routes et des chaussés.
Combien de ceux qui manifestaient le 19 mars paient régulièrement leurs impôts ?
Combien d’étudiants cassent des bus et détruisent les infrastructures à l’UCAD, déchirent les pages des livres de la bibliothèque. Combien rendent leurs bouquins après leurs études. Combien montent des micros entreprises pour s’en sortir tout seul.
Cette jeunesse qui s’identifie à l’Amérique par le langage et le vestimentaire, le culturel sans prendre conscience que l’Afrique est le berceau de l’humanité.
Pour être respecté au Sénégal, il ne faut pas être un jeune éleveur du Waalo, ou un jeune cultivateur du Baol. Comme si être rappeur ou Lutteur était plus valorisant.
Ne savez vous pas que Barcelone est un lopin de terre comme le Baol ou le Walo le Cayor le Fouladou le Pakao que des hommes et femmes comme nous ont fait par la force du travail et de la foi ?
Comment ce slogan peut il être populaire dans un pays ?
Qu’est ce qu’il ya à Barcelone qui n’a pas été fait par des hommes et femmes comme nous.
Nos frères, neveux, cousins, petits fils bravent l’Océan Atlantique ; les paysans (jadis, l’épine dorsale de l’économie) sont abandonnés à eux-mêmes, les usines ferment ; le mauvais comportement des jeunes "kriss kross", l’enseignement n’a plus son lustre d’antan par ces soit disant mouvements syndicaux ; notre économie croule.
Jeunesse du Sénégal ! Le Changement que nous attendons c’est nous
Dieu Bénit la jeunesse de mon pays.
Nous voulons que vous entrepreniez toutes les actions possibles et nécessaires, au pays ou à l'étranger, afin de CRÉER UN PARTI POLITIQUE NATIONAL pour contre-carrer ces politiciens qui ne visent qu'à leurs intérêts
qui ne veulent pas le développement du Sénégal qui est le plus grand héritage que nous ayons reçu de nos parents et que nous léguerons nous même a notre descendance. Cette fois, c'est plus grave que d'habitude car notre AVENIR et celle des générations futures sont directement mis en cause.
Je pense qu'il est temps où ne jamais de vous titulariser contre ces dérives pour être quitte avec votre conscience devant le tribunal de l'histoire.
Monsieur Karim WADE une partie de cette jeunesse vous sollicite d’être CANDIDAT aux prochaines élections présidentielles.
Ainsi, nous devons assumer toutes nos responsabilités face à cette situation d'extrême injustice dont le peuple est victime et nous dresser en bouclier.
C’est pourquoi, Excellence, Monsieur le Ministre d’ État, j’ai souhaité vous soumettre ce plaidoyer avec suggestion, qu’au nombre de défis à relever comme NTC "Nouveau Type de Citoyen". Croyez-moi vous ne manquerez pas de remarquer de visu que les sceptiques vous rejoindront pour avoir été séduits par votre esprit de justice.
En espérant, que vous vous attarderez sur le contenu de ce courrier, Je vous prie Excellence Monsieur le Ministre d’ État, d’agréer l’expression de ma très haute considération avec l’espérance de recevoir en retour un petit commentaire.
Mr
En Avril, 2012 (21:13 PM)Nelennko diakk
ta bouko kend piss
Derna Deh
En Avril, 2012 (21:17 PM)Mr 5thpresident du Senegal
Léo
En Avril, 2012 (21:18 PM)Mouskade
En Avril, 2012 (21:25 PM)Le retrait de la Loi instituant le ticket présidentiel et du vice président, a été axé sur son attachement à placer au cœur de son action la paix, fondée sur la justice, l’éthique, la réconciliation nationale, la bonne gouvernance au service d’un Etat démocratique et l’ancrage d’un Sénégal émergent dans la dynamique vers une construction des Etats Unis d’Afrique.
En dépit de l’accent mis sur la situation sécuritaire qui demeure pour l’heure plus qu’une priorité, Le président de la république à souligné avec force et solennité la mise en chantier des grands travaux en vue d’un démarrage durable de l’activité économique afin que le Sénégal recouvre son rôle de locomotive dans la sous-région. En cela, vous êtes gratifié d’une feuille de route bien consistante pour le Ministre d’Etat que vous êtes à mettre en application, après l’avoir marquée de votre empreinte au moyen d’une lettre de cadrage qui fixera pour tous, une obligation de résultat.
Monsieur le Ministre d’Etat, avant d’ouvrir le chapitre qui a trait aux suggestions faisant l’objet principal de cette lettre ouverte, permettez- moi de témoigner de la grande admiration que j’aie pour votre personne. Reconnaitrons que pour vos dispositions intellectuelles, vos compétences professionnelles, votre portefeuille relationnel, votre capacité à gérer efficacement les hommes, votre constance dans ses engagements, mais également votre charisme, la qualité de vos rapports avec les autres, votre capacité à pardonner, nous paraissait le leader le mieux indiqué pour prendre le destine du Sénégal. Vous êtes d’une probité qui ne souffre d’aucune critique et le don de soi doublé du sérieux dans la rigueur, sont des vertus qui vous caractérisent le mieux ; voila pourquoi personne n’est dubitatif avec vous, le Président et les Sénégalais sont sûrs que le bateau du Sénégal (SUNUGAAL) sera mené à bon port. Mieux avec vous, l’Afrique inaugure l’avènement d’une nouvelle race d’homme politique, un nouveau leadership qui m’inspire cet adage de Corneille, je cite : « Aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années ».
A présent, place aux mobiles qui ont motivé en partie l’adresse de cette lettre à votre illustre personne. De quoi s’agit-il ? Il est question à juste titre, de vous soumettre un plaidoyer sur la Jeunesse :
Un pays se développe par sa jeunesse, la jeunesse étant l’avenir de la nation.
J’estime qu’il est temps de se parler quand on entend une jeunesse dire y’en a marre ou Barca wala Barsax.
Ceci est un cri d’abandon d’une jeunesse qui a démissionne de ses responsabilités de construire un pays qui est le sien.
Une jeunesse qui n’a pas compris qu’elle est actrice de son propre destin. Cette prise conscience qui est un effet de mode ou un écart de langage d’un artiste ou d’un people au Sénégal devient tout d’un coup une révolution.
Où est ce qu’on a vu un pays se développer par la musique ou le sport ? Le développement d’abord pour supporter ces activités de divertissements. Quel modèle de développement économique est basé sur ces paramètres.
Il a fallu à l’Etat de poursuivre les lutteurs pour qu’ils paient leurs impôts. Pourquoi n’ont-ils pas la conscience que ces par leurs impôts que la Sénégal pourra fournir de l’électricité et luttera contre le chômage ?
Combien de vendeurs ambulants occupent la voie publique tous des jeunes et qui ne paient aucune taxe et réclament des routes et des chaussés.
Combien de ceux qui manifestaient le 19 mars paient régulièrement leurs impôts ?
Combien d’étudiants cassent des bus et détruisent les infrastructures à l’UCAD, déchirent les pages des livres de la bibliothèque. Combien rendent leurs bouquins après leurs études. Combien montent des micros entreprises pour s’en sortir tout seul.
Cette jeunesse qui s’identifie à l’Amérique par le langage et le vestimentaire, le culturel sans prendre conscience que l’Afrique est le berceau de l’humanité.
Pour être respecté au Sénégal, il ne faut pas être un jeune éleveur du Waalo, ou un jeune cultivateur du Baol. Comme si être rappeur ou Lutteur était plus valorisant.
Ne savez vous pas que Barcelone est un lopin de terre comme le Baol ou le Walo le Cayor le Fouladou le Pakao que des hommes et femmes comme nous ont fait par la force du travail et de la foi ?
Comment ce slogan peut il être populaire dans un pays ?
Qu’est ce qu’il ya à Barcelone qui n’a pas été fait par des hommes et femmes comme nous.
Nos frères, neveux, cousins, petits fils bravent l’Océan Atlantique ; les paysans (jadis, l’épine dorsale de l’économie) sont abandonnés à eux-mêmes, les usines ferment ; le mauvais comportement des jeunes "kriss kross", l’enseignement n’a plus son lustre d’antan par ces soit disant mouvements syndicaux ; notre économie croule.
Jeunesse du Sénégal ! Le Changement que nous attendons c’est nous
Dieu Bénit la jeunesse de mon pays.
Nous voulons que vous entrepreniez toutes les actions possibles et nécessaires, au pays ou à l'étranger, afin de CRÉER UN PARTI POLITIQUE NATIONAL pour contre-carrer ces politiciens qui ne visent qu'à leurs intérêts
qui ne veulent pas le développement du Sénégal qui est le plus grand héritage que nous ayons reçu de nos parents et que nous léguerons nous même a notre descendance. Cette fois, c'est plus grave que d'habitude car notre AVENIR et celle des générations futures sont directement mis en cause.
Je pense qu'il est temps où ne jamais de vous titulariser contre ces dérives pour être quitte avec votre conscience devant le tribunal de l'histoire.
Monsieur Karim WADE une partie de cette jeunesse vous sollicite d’être CANDIDAT aux prochaines élections présidentielles.
Ainsi, nous devons assumer toutes nos responsabilités face à cette situation d'extrême injustice dont le peuple est victime et nous dresser en bouclier.
C’est pourquoi, Excellence, Monsieur le Ministre d’Etat, j’ai souhaité vous soumettre ce plaidoyer avec suggestion, qu’au nombre de défis à relever comme NTC "Nouveau Type de Citoyen". Croyez-moi vous ne manquerez pas de remarquer de visu que les sceptiques vous rejoindront pour avoir été séduits par votre esprit de justice.
En espérant, que vous vous attarderez sur le contenu de ce courrier, Je vous prie Excellence Monsieur le Ministre d’Etat, d’agréer l’expression de ma très haute considération avec l’espérance de recevoir en retour un petit commentaire.
Jules Ndene
En Avril, 2012 (21:43 PM)Heucha
En Avril, 2012 (21:58 PM)Tête Rase
En Avril, 2012 (22:19 PM)Set
En Avril, 2012 (22:52 PM)Sentinelle de l'Ethique et de la Transparence (SET)
Perle
En Avril, 2012 (00:13 AM)Manam
En Avril, 2023 (19:06 PM)Boy Poulo
En Avril, 2012 (00:56 AM)Karambito
En Avril, 2012 (02:06 AM)AVEC DES CONS SEMBLABLES LA SEULE ISSUE ÉTAIT L'ÉCHEC.
AVEC DES PETITS CULS QUI SE PRENNENT POUR DES THÉORICIENS ET DES CHERCHEURS EN SCIENCES POLITIQUES...HI! HI! TOUS LES SÉNÉGALAIS VOUS ONT VOMIS.
DES INDIVIDUS QUI CROIENT QUE PENSER C'EST DE LA LITTÉRATURE...OH! OH!
DÉGAGEZ ET RENTREZ CHEZ VOUS BANDE DE CANCRES
MAIS AVANT VOUS ALLEZ PAYER. FOR SURE
[email protected]
En Avril, 2012 (04:04 AM)Bluff
En Avril, 2012 (08:00 AM)Pertinemte
En Avril, 2012 (08:42 AM)Participer à la Discussion