La razzia du 24 mars 2024 fut une mini-surprise vu la campagne XXL ultra rapide (tour du Sénégal en une semaine) de la coalition « DiomayePrésident » et le rush qui s’en est suivi dans les bureaux et centres de votes en dépit des rigueurs du Ramadan et du Carême. La grande surprise c’est la vitesse avec laquelle celui que les adversaires politiques qualifiaient de futur ‘’stagiaire Président de la République’’ (Bassirou Diomaye Faye) s’est adapté aux exigences de sa nouvelle fonction. A peine 100 jours d’exercice du pouvoir, le Président Bassirou Diomaye Faye imprime sa marque, surprend et séduit déjà son monde. Finalement, le costume de Président semble lui aller à merveille.
En pole position selon tous les sondages, le plan B de Pastef et candidat de substitution choisi par Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye reçoit une pluie de quolibets en pleine campagne électorale. « Stagiaire », « apprenti impulsif », « candidat chaperonné », « novice », « incapable » … Les moqueries s'enchaînent venant de candidats sur la ligne de départ ou de leurs sous-fifres qui, sentant le vent tourner en faveur du candidat de la coalition « DiomayePrésident », en font une cible privilégiée. Idrissa Seck est le premier à entonner ce refrain. Invité de l’émission Quartier Général de la Tfm, le leader de Rewmi décoche ses flèches assassines.
« Il nous faut un homme compétent avec un vécu pour qu'une fois à la tête de la magistrature suprême, il déroule directement son programme au lieu de quelqu'un qui viendrait en position de stage. Je sais comment fonctionne un État. Comment trouver des ressources grâce à mes relations internationales. Il ne faut pas donner un pays à un novice. La fonction de président de la République est une fonction supérieure et sérieuse. Quand on n’y est pas préparé, il y a des risques de conduire le pays dans des difficultés », lance l’ex maire de Thiès faisant allusion à Bassirou Diomaye Faye. Selon lui, les habits de Chef de l’État et de chef suprême des armées sont trop amples pour les épaules trop frêles du poulain de Ousmane Sonko.
Remixant le même disque, Boubacar Camara -pourtant ex superviseur de la campagne de Sonko en 2019- ne se gêne pas pour donner des coups sous la ceinture. Invité de Walf Tv, l’ancien directeur des Douanes pas peu fier de son CV, lâche : « Il y a des candidats qui n'ont jamais été au pouvoir et qui appellent au changement, à la rupture. Ces gens-là, il y en a qui font beaucoup de bruit, mais ce sont des incapables. Ils ne connaissent que la violence et les mauvaises paroles. C'est un risque de leur donner le pays. Ce sont des aventuriers. Ils doivent encore rester sur la touche pour apprendre. Tu peux avoir un pouvoir politique sans être capable de gérer un pays. Ils doivent aller apprendre. C'est ça la réalité ».
« Le Sénégal, ajoute-t-il, est appelé à passer d'un pays pauvre à un pays pétrolier. Et on veut donner ce pays à des jeunes qui sont encore en formation. Moi, je ne le ferai jamais. Je suis le meilleur candidat pour gérer tout ceci et permettre à ces apprentis impulsifs (Sonko et Diomaye) de mieux se préparer. Ils aiment leur pays, c'est vrai, ils ont des valeurs et ont fait des efforts, mais s'ils viennent, je leur apprendrai comment gérer un pays ».
Il imprime sa marque dès le soir de sa prise de fonction
Gardant le cap malgré toutes ces critiques, Bassirou Diomaye Faye semblait attendre le moment propice pour apporter la meilleure des réponses par des actes qui séduisent au-delà de nos frontières. Donnant ainsi une sévère claque à celles et ceux qui doutaient encore de ses capacités de présider à la destinée du pays. Dès son installation le 2 avril dernier, le nouveau Chef de l’État imprime sa marque en se mettant illico au travail. La toute première mesure émanant du tout nouveau président de la République, est tombée le soir de sa prise de fonction. Il procède sans tarder à la nomination du premier ministre : Ousmane Sonko. De mémoire de Sénégalais, jamais un Premier Ministre n’a été choisi dans un timing aussi éclair. Certes, le choix ne faisant pas l’ombre d’un doute vu le rôle central que Sonko a joué dans l’élection de Diomaye.
Plantant ainsi les geres de la rupture systémique dans tous les secteurs de l’État, le 8 avril le président adresse à l’administration sénégalaise une lettre aux relents mobilisateurs pour une administration responsable et au service exclusif des Sénégalais. Le président Diomaye invite -à travers cet appel- les fonctionnaires de l’État à souscrire au triptyque principiel « Jub, Jubbal, Jubanti » qui gouvernera son magistère et sur lequel il entend adosser la politique publique sous la marque du souverainisme.
Comme annoncé lors de sa prestation de serment, le président fraîchement installé prend une batterie de mesures allant de la révision de certains accords notamment dans le secteur de la pêche (avec l’UE), en passant par la publication des rapports des différents corps de contrôle, l’arrêt de toutes les constructions sur le littoral, la suspension des procédures domaniales et foncières sur le site de Mbour 4, la baisse des prix des denrées de première nécessité, entre autres.
Altruisme et bienveillance à l’égard de nos personnalités
Même s’il est noté un retard à l’allumage dans la mise en œuvre du fameux ‘’projet’’ vendu aux Sénégalais et qui est en phase d’étude et d’élaboration, Bassirou Diomaye Faye pose des actes qui semble rassurer en interne et réconcilie de plus en plus les Sénégalais avec la fonction de président de la République. Ceci, notamment par ses rapports avec les guides religieux, ces régulateurs sociaux qui jouent un rôle prépondérant au Sénégal. C’est d’ailleurs dans ce sillage que s’inscrit sa visite historique dans les cités religieuses de Touba et de Tivaouane (pour ne citer que celles-là) qui a eu mérite de taire les allégations de ceux qui le qualifiaient de salafiste réfractaire aux confréries.
C’est avec le même altruisme et la même bienveillance qu’il s’est illustré auprès de l’Imam ratib de la grande mosquée de Dakar, lors de la prière de l’Aïd el fitr, le 10 avril 2024. Cette marque d’humanité et de respect à l’égard des aînés a encore été rééditée à Paris où le Président a dû réaménager son agenda du reste très chargé pour rendre une visite de courtoisie à son devancier, l’ancien Président de la République Abdou Diouf.
Il redore le blason du Sénégal à l’international
Sur le plan du rayonnement du pays de la Téranga sur la scène internationale après la période critique 2021-2024, le président Diomaye Faye fait du sans faute. Le calendrier de ses visites officiels, leur timing, tout est bien calculé, mettant ainsi en avant une politique de diplomatie de bon voisinage. C’est d’ailleurs ce qui explique le choix de la République sœur de la Mauritanie comme première destination pour le président Faye qui a également privilégié les pays démocratiques. Cependant, ses visites à Conakry, à Ouaga et à Bamako où il a été chaleureusement accueilli par les régimes putschistes en place, font de Bassirou Diomaye Faye le pont (il a été désigné facilitateur lors du dernier sommet à Abuja) entre la Cedeao et ces États ‘’sécessionnistes’’ de l’organisation sous-régionale.
En pole position selon tous les sondages, le plan B de Pastef et candidat de substitution choisi par Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye reçoit une pluie de quolibets en pleine campagne électorale. « Stagiaire », « apprenti impulsif », « candidat chaperonné », « novice », « incapable » … Les moqueries s'enchaînent venant de candidats sur la ligne de départ ou de leurs sous-fifres qui, sentant le vent tourner en faveur du candidat de la coalition « DiomayePrésident », en font une cible privilégiée. Idrissa Seck est le premier à entonner ce refrain. Invité de l’émission Quartier Général de la Tfm, le leader de Rewmi décoche ses flèches assassines.
« Il nous faut un homme compétent avec un vécu pour qu'une fois à la tête de la magistrature suprême, il déroule directement son programme au lieu de quelqu'un qui viendrait en position de stage. Je sais comment fonctionne un État. Comment trouver des ressources grâce à mes relations internationales. Il ne faut pas donner un pays à un novice. La fonction de président de la République est une fonction supérieure et sérieuse. Quand on n’y est pas préparé, il y a des risques de conduire le pays dans des difficultés », lance l’ex maire de Thiès faisant allusion à Bassirou Diomaye Faye. Selon lui, les habits de Chef de l’État et de chef suprême des armées sont trop amples pour les épaules trop frêles du poulain de Ousmane Sonko.
Remixant le même disque, Boubacar Camara -pourtant ex superviseur de la campagne de Sonko en 2019- ne se gêne pas pour donner des coups sous la ceinture. Invité de Walf Tv, l’ancien directeur des Douanes pas peu fier de son CV, lâche : « Il y a des candidats qui n'ont jamais été au pouvoir et qui appellent au changement, à la rupture. Ces gens-là, il y en a qui font beaucoup de bruit, mais ce sont des incapables. Ils ne connaissent que la violence et les mauvaises paroles. C'est un risque de leur donner le pays. Ce sont des aventuriers. Ils doivent encore rester sur la touche pour apprendre. Tu peux avoir un pouvoir politique sans être capable de gérer un pays. Ils doivent aller apprendre. C'est ça la réalité ».
« Le Sénégal, ajoute-t-il, est appelé à passer d'un pays pauvre à un pays pétrolier. Et on veut donner ce pays à des jeunes qui sont encore en formation. Moi, je ne le ferai jamais. Je suis le meilleur candidat pour gérer tout ceci et permettre à ces apprentis impulsifs (Sonko et Diomaye) de mieux se préparer. Ils aiment leur pays, c'est vrai, ils ont des valeurs et ont fait des efforts, mais s'ils viennent, je leur apprendrai comment gérer un pays ».
Il imprime sa marque dès le soir de sa prise de fonction
Gardant le cap malgré toutes ces critiques, Bassirou Diomaye Faye semblait attendre le moment propice pour apporter la meilleure des réponses par des actes qui séduisent au-delà de nos frontières. Donnant ainsi une sévère claque à celles et ceux qui doutaient encore de ses capacités de présider à la destinée du pays. Dès son installation le 2 avril dernier, le nouveau Chef de l’État imprime sa marque en se mettant illico au travail. La toute première mesure émanant du tout nouveau président de la République, est tombée le soir de sa prise de fonction. Il procède sans tarder à la nomination du premier ministre : Ousmane Sonko. De mémoire de Sénégalais, jamais un Premier Ministre n’a été choisi dans un timing aussi éclair. Certes, le choix ne faisant pas l’ombre d’un doute vu le rôle central que Sonko a joué dans l’élection de Diomaye.
Plantant ainsi les geres de la rupture systémique dans tous les secteurs de l’État, le 8 avril le président adresse à l’administration sénégalaise une lettre aux relents mobilisateurs pour une administration responsable et au service exclusif des Sénégalais. Le président Diomaye invite -à travers cet appel- les fonctionnaires de l’État à souscrire au triptyque principiel « Jub, Jubbal, Jubanti » qui gouvernera son magistère et sur lequel il entend adosser la politique publique sous la marque du souverainisme.
Comme annoncé lors de sa prestation de serment, le président fraîchement installé prend une batterie de mesures allant de la révision de certains accords notamment dans le secteur de la pêche (avec l’UE), en passant par la publication des rapports des différents corps de contrôle, l’arrêt de toutes les constructions sur le littoral, la suspension des procédures domaniales et foncières sur le site de Mbour 4, la baisse des prix des denrées de première nécessité, entre autres.
Altruisme et bienveillance à l’égard de nos personnalités
Même s’il est noté un retard à l’allumage dans la mise en œuvre du fameux ‘’projet’’ vendu aux Sénégalais et qui est en phase d’étude et d’élaboration, Bassirou Diomaye Faye pose des actes qui semble rassurer en interne et réconcilie de plus en plus les Sénégalais avec la fonction de président de la République. Ceci, notamment par ses rapports avec les guides religieux, ces régulateurs sociaux qui jouent un rôle prépondérant au Sénégal. C’est d’ailleurs dans ce sillage que s’inscrit sa visite historique dans les cités religieuses de Touba et de Tivaouane (pour ne citer que celles-là) qui a eu mérite de taire les allégations de ceux qui le qualifiaient de salafiste réfractaire aux confréries.
C’est avec le même altruisme et la même bienveillance qu’il s’est illustré auprès de l’Imam ratib de la grande mosquée de Dakar, lors de la prière de l’Aïd el fitr, le 10 avril 2024. Cette marque d’humanité et de respect à l’égard des aînés a encore été rééditée à Paris où le Président a dû réaménager son agenda du reste très chargé pour rendre une visite de courtoisie à son devancier, l’ancien Président de la République Abdou Diouf.
Il redore le blason du Sénégal à l’international
Sur le plan du rayonnement du pays de la Téranga sur la scène internationale après la période critique 2021-2024, le président Diomaye Faye fait du sans faute. Le calendrier de ses visites officiels, leur timing, tout est bien calculé, mettant ainsi en avant une politique de diplomatie de bon voisinage. C’est d’ailleurs ce qui explique le choix de la République sœur de la Mauritanie comme première destination pour le président Faye qui a également privilégié les pays démocratiques. Cependant, ses visites à Conakry, à Ouaga et à Bamako où il a été chaleureusement accueilli par les régimes putschistes en place, font de Bassirou Diomaye Faye le pont (il a été désigné facilitateur lors du dernier sommet à Abuja) entre la Cedeao et ces États ‘’sécessionnistes’’ de l’organisation sous-régionale.
23 Commentaires
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Encore un article suranné
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En Juillet, 2024 (10:14 AM)-
C'est un bon PR. Diomaye surprendra agréablement. Il va lentement mais sûrement.
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En Juillet, 2024 (10:31 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (12:11 PM)-
on s'en fou de sa voix . ham ham lagne sokhla ak ligueye. des details inutiles
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En Juillet, 2024 (12:18 PM)-
Si Koronack se tient un peu à l'ecarz ça ira mieux pour le PR.
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En Juillet, 2024 (12:29 PM)-
Dites lui qu'on veut quitter la Cedeao et se mettre avec l'Aes.
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En Juillet, 2024 (13:16 PM)-
«[100 jours] Élection de Bassirou Diomaye Faye, 3 mois après : Le costume de président de la République lui va-t-il??». Cela aurait dû être la question, je trouve 🤔
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En Juillet, 2024 (13:21 PM)-
❤️❤️❤️ EFFECTIVEMENT LE BOUBOU DE. PRÉSIDENT AUPRÈS DE SON EXCELLENCE LE 1ER MINISTRE SONKO LUI VA PARFAITEMENT
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En Juillet, 2024 (13:24 PM)ÀMERVEILLE...
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❤️❤️❤️ EFFECTIVEMENT LE BOUBOU DE. PRÉSIDENT AUPRÈS DE SON EXCELLENCE LE 1ER MINISTRE SONKO LUI VA PARFAITEMENT
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En Juillet, 2024 (13:24 PM)ÀMERVEILLE...
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Diomay n’est pas président, c’est Sonko qui l’est !!!
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En Juillet, 2024 (13:24 PM)-
L'idiot on lui montre la lune, il regarde le doigt !!! looool
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En Juillet, 2024 (13:38 PM)-
Pourtant Macky malgres son gros Q et son ventre aux dimension d’une panse ruminate de Bovin n’avait pas fait l’objet de remarque sur son costume de PR - il est vrai qu’il était considéré comme le président le plus coûteux à son pays en terme de protocole à tout point de vue - Macky dépendait sur lui sans une seconde d’hésitation:
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En Juillet, 2024 (15:18 PM)Fréquence des voyages - acquisition des logistique, habillement , montre de luxe nombre de conseillers types de conseillers y compris meme Tony Blair
Et en plus Macky donnait énormément de l’argent à Macron -coils le support de tous les extrêmes qu’il faisait - Macron était déjà riche - mais avec ces gens ce n’est jamais assez - et Nacky y a vue une vous comme à l’épique des Diamans de la Centrafrique que Bokassa president avaient secrètement offert à Giscar d’Estin Oresident Français:
Macron a sans doute bénéficie des largesses du Bour Gedseh qui disposait des finances publiques et autres ressources de manière absolument personnelle - ils disent régime hyperpresidebtuel. - mais les Français eux malgres cet enseignement qu’il nous ont légué , veillent sur les derniers public ( Sarkosie , et son ex PM et Claude Gueabt conseillers en savent quelque chose.
Un président qui facilite 25 Milkiards de fortune ( 50 millions de dollars ) à son laudateur analphabète et qui endette à hauteur 16 Milkiards de dollars pour des réalisations à peine égalant 8 Milkiards de dollars - et tout passé avec les prières des marabouts : Alors donner 5 Milkions de dollars à Macron représenterait un gros bonus pour le PR Français qui n’a pas les mains aussi libres que celles de Macky sur les finances publiques Française.et qui a une fortune ne dépassant pas 20 Millions de dollars :
Pourquoi vous pensez que les supports extrêmes ( meme assassinats Macron félicite le bonhomme qui est allé le voir en pleine crise pour support .
Et pourquoi ou comment vous pouvez envisager la tenerairure se Macky en dérives jusqu’à l’extrême dictature sanglante, les arrestations en mode rapt Gestapo , les écoutes téléphoniques des communications de citoyens avec equipment venus d’Israel - le Sénégal était au niveau
Du Cambodge de PolPoT des khmers rouges.
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Pourtant Macky malgres son gros Q et son ventre aux dimension d’une panse ruminate de Bovin n’avait pas fait l’objet de remarque sur son costume de PR - il est vrai qu’il était considéré comme le président le plus coûteux à son pays en terme de protocole à tout point de vue - Macky dépendait sur lui sans une seconde d’hésitation:
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En Juillet, 2024 (15:18 PM)Fréquence des voyages - acquisition des logistique, habillement , montre de luxe nombre de conseillers types de conseillers y compris meme Tony Blair
Et en plus Macky donnait énormément de l’argent à Macron -coils le support de tous les extrêmes qu’il faisait - Macron était déjà riche - mais avec ces gens ce n’est jamais assez - et Nacky y a vue une vous comme à l’épique des Diamans de la Centrafrique que Bokassa president avaient secrètement offert à Giscar d’Estin Oresident Français:
Macron a sans doute bénéficie des largesses du Bour Gedseh qui disposait des finances publiques et autres ressources de manière absolument personnelle - ils disent régime hyperpresidebtuel. - mais les Français eux malgres cet enseignement qu’il nous ont légué , veillent sur les derniers public ( Sarkosie , et son ex PM et Claude Gueabt conseillers en savent quelque chose.
Un président qui facilite 25 Milkiards de fortune ( 50 millions de dollars ) à son laudateur analphabète et qui endette à hauteur 16 Milkiards de dollars pour des réalisations à peine égalant 8 Milkiards de dollars - et tout passé avec les prières des marabouts : Alors donner 5 Milkions de dollars à Macron représenterait un gros bonus pour le PR Français qui n’a pas les mains aussi libres que celles de Macky sur les finances publiques Française.et qui a une fortune ne dépassant pas 20 Millions de dollars :
Pourquoi vous pensez que les supports extrêmes ( meme assassinats Macron félicite le bonhomme qui est allé le voir en pleine crise pour support .
Et pourquoi ou comment vous pouvez envisager la tenerairure se Macky en dérives jusqu’à l’extrême dictature sanglante, les arrestations en mode rapt Gestapo , les écoutes téléphoniques des communications de citoyens avec equipment venus d’Israel - le Sénégal était au niveau
Du Cambodge de PolPoT des khmers rouges.
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Il lui faut aussi un bon Tailleur pour des vrais costumes sur mesure fait main de vrais president!!! Mais pas de soit disant sapeurs..!!!
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En Juillet, 2024 (17:14 PM)Plus de carisme avec vos costumes son exellence!!!
Xorom-sukeur
En Juillet, 2024 (10:02 AM)-
Bof. Un article sur commande contre espèces sonnantes et trébuchantes. "Redorer le blason du Sénégal à l'international" vous avez dit ? Mon Dieu. Cet gus qui est completement invisible lors des rencontres avec sa voix de minette. Servez nous autre chose way.
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En Juillet, 2024 (10:27 AM)-
Article qui ne reflète pas la vérité, plutôt flatteur.
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En Juillet, 2024 (14:26 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (14:26 PM)-
Article qui ne reflète pas la vérité, plutôt flatteur.
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En Juillet, 2024 (14:26 PM)-
Article qui ne reflète pas la vérité, plutôt flatteur.
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En Juillet, 2024 (14:26 PM)-
Ils attendent l argent du pétrole et du gaz et le salafisme, C est ce ki leur a fait entrer en politique pour ne plus travailler de leur vie. De vrais losers et menteurs
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En Juillet, 2024 (10:26 AM)Senegalais Lambda
En Juillet, 2024 (10:15 AM)Modou Gueye
En Juillet, 2024 (10:36 AM)Xorom-sukeur
En Juillet, 2024 (10:40 AM)Lucifer
En Juillet, 2024 (10:45 AM)Biskreme
En Juillet, 2024 (11:13 AM)Sur le plan international, Diomaye est considéré comme un clown, une marionnette de son premier ministre Sonko que leurs anciens compagnons panafricanistes considèrent comme un traître.
Les burkinabè nous traitent de bâtards à cause du président et son premier ministre. En Afrique, à part la Côte d'Ivoire, tous les autres pays nous traitent de vendus et de méchants. C'est la première fois dans l'histoire que des populations des pays de la sous région s'attaquent de manière virulente aux autorités du Sénégal. C'est justement parce que Sonko avait internationalisé son combat contre Macky Sall et ses réseaux ont mobilisé tous les jeunes activistes et influenceurs de ses pays en peignant Sonko comme nouveau Thomas Sankara qui va libérer l'Afrique en renforçant l'AES et en chassant les colons.
Les réalités du pouvoir ont obligé Sonko à oublié ses promesses populistes et par conséquent reconsidérer ses anciennes alliances.
Après trois mois, pour la majorité des africains, ce duo est un flop. C'est ça la réalité.
Un Abdou Mbow président est meilleur que Diomaye avec sa voix de mbidaane.
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L'idiot on lui montre la lune, il regarde le doigt !!! looool
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En Juillet, 2024 (13:39 PM)Merci
En Juillet, 2024 (12:30 PM)Le Style Diomaye
En Juillet, 2024 (12:53 PM)C'est valable pour un pays développé. Mais pas chez nous
Allez circuler, on fera le point dans 1 an..Trop tôt de faire une appréciable appréciation d'un Président de la République
Allez Oussste....
Prières
En Juillet, 2024 (14:32 PM)Il a bien décrit la situation
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