Ils sont, malheureusement, nombreux nos compatriotes établis à l'étranger qui ne sont préoccupés que par l’appât du gain, quelle que soit la manière de l’acquérir. C’est le cas de ce Sénégalais arrêté pour avoir «fraudé plus d'un million d'euros au gouvernement basque grâce à son réseau de faux documents dédiés à la collecte frauduleuse d'aides sociales».
D'après des informations glanées par le quotidien Les Échos, notre compatriote, qui était le cerveau du réseau, avait créé 62 fausses identités en utilisant d'autres personnes afin de percevoir des aides publiques, notamment l'Allocation de Logement et le Revenu garanti, destinés aux personnes et familles sans ressources suffisantes.
L'enquête qui a abouti au démantèlement du réseau a commencé lorsque des agents de la Brigade provinciale de l'immigration et des frontières de Bilbao ont appris qu'un homme utilisait d'autres personnes pour collecter illégalement des aides auprès du Service basque de l'emploi (Lanbide), pour lequel ils ont également utilisé des certificats médicaux d'Osakidetza (le service de santé) et inscriptions dans différentes mairies basques, également fausses.
Les enquêteurs ont conclu que le cerveau du réseau avait créé 62 fausses identités en utilisant d'autres personnes afin de percevoir des aides publiques. Ces aides sont gérées par le Département du travail et de l'emploi de l'exécutif basque, qui est dirigé par la conseillère socialiste Idoia Mendia.
Afin de percevoir frauduleusement les allocations, les responsables de ce complot ont prouvé que pour chaque inscrit, ils recevaient en moyenne 875 euros par mois (625 euros pour le RGI et 250 pour le PCV), ce qui a signifié un détournement de 1 091 416 euros au total.
Le modus operandi du réseau consistait à falsifier les passeports et les certificats d'immatriculation, afin qu'il puisse prouver qu'une personne était enregistrée au Pays basque depuis trois ans, condition nécessaire pour pouvoir bénéficier de ces aides et ainsi percevoir dès le premier instant ils ont créé la fausse identité.
Pour empêcher Lanbide de détecter toute irrégularité, le Sénégalais a chargé les membres du réseau criminel de soumettre des demandes d'aide dans différentes municipalités de Biscaye, telles que Durango, Santurzi, Berriz, Iurreta, Basauri, Getxo...
En outre, ils avaient mis au point un mécanisme pour éviter tout contrôle public sur la réception de l'aide et avaient conçu un plan pour falsifier les rapports médicaux et les certificats de fin de formation.
La première phase de l'opération de la Police nationale s'est déroulée en début d'année avec l'arrestation d'un citoyen camerounais. Plus tard, fin mars, neuf autres personnes ont été arrêtées, dont la principale personne faisant l'objet d'une enquête.
Deux perquisitions domiciliaires ont été effectuées, où les agents ont saisi 22 faux passeports, 16 livrets bancaires au nom de fausses identités, 17 cartes de crédit, neuf téléphones portables, un disque dur externe et divers documents liés à Lanbide.
Enfin, le 2 juin, la police a complété l'opération avec 13 nouvelles arrestations, toutes originaires de pays d'Amérique latine,du Sahel et du Maghreb. Toutes ces personnes devront faire face à la justice espagnole a précisé le ministère de l’Intérieur.
D'après des informations glanées par le quotidien Les Échos, notre compatriote, qui était le cerveau du réseau, avait créé 62 fausses identités en utilisant d'autres personnes afin de percevoir des aides publiques, notamment l'Allocation de Logement et le Revenu garanti, destinés aux personnes et familles sans ressources suffisantes.
L'enquête qui a abouti au démantèlement du réseau a commencé lorsque des agents de la Brigade provinciale de l'immigration et des frontières de Bilbao ont appris qu'un homme utilisait d'autres personnes pour collecter illégalement des aides auprès du Service basque de l'emploi (Lanbide), pour lequel ils ont également utilisé des certificats médicaux d'Osakidetza (le service de santé) et inscriptions dans différentes mairies basques, également fausses.
Les enquêteurs ont conclu que le cerveau du réseau avait créé 62 fausses identités en utilisant d'autres personnes afin de percevoir des aides publiques. Ces aides sont gérées par le Département du travail et de l'emploi de l'exécutif basque, qui est dirigé par la conseillère socialiste Idoia Mendia.
Afin de percevoir frauduleusement les allocations, les responsables de ce complot ont prouvé que pour chaque inscrit, ils recevaient en moyenne 875 euros par mois (625 euros pour le RGI et 250 pour le PCV), ce qui a signifié un détournement de 1 091 416 euros au total.
Le modus operandi du réseau consistait à falsifier les passeports et les certificats d'immatriculation, afin qu'il puisse prouver qu'une personne était enregistrée au Pays basque depuis trois ans, condition nécessaire pour pouvoir bénéficier de ces aides et ainsi percevoir dès le premier instant ils ont créé la fausse identité.
Pour empêcher Lanbide de détecter toute irrégularité, le Sénégalais a chargé les membres du réseau criminel de soumettre des demandes d'aide dans différentes municipalités de Biscaye, telles que Durango, Santurzi, Berriz, Iurreta, Basauri, Getxo...
En outre, ils avaient mis au point un mécanisme pour éviter tout contrôle public sur la réception de l'aide et avaient conçu un plan pour falsifier les rapports médicaux et les certificats de fin de formation.
La première phase de l'opération de la Police nationale s'est déroulée en début d'année avec l'arrestation d'un citoyen camerounais. Plus tard, fin mars, neuf autres personnes ont été arrêtées, dont la principale personne faisant l'objet d'une enquête.
Deux perquisitions domiciliaires ont été effectuées, où les agents ont saisi 22 faux passeports, 16 livrets bancaires au nom de fausses identités, 17 cartes de crédit, neuf téléphones portables, un disque dur externe et divers documents liés à Lanbide.
Enfin, le 2 juin, la police a complété l'opération avec 13 nouvelles arrestations, toutes originaires de pays d'Amérique latine,du Sahel et du Maghreb. Toutes ces personnes devront faire face à la justice espagnole a précisé le ministère de l’Intérieur.
8 Commentaires
Quel con!Croire quil nallait pas etre attrape.
Il ya en mm temps des personnes qui nont pas fait le job,comme tte administration publique qui se respecte.
Anonyme
En Juin, 2022 (14:25 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (16:08 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (17:34 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (18:35 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (13:20 PM)bafouer les frontieres maritimes des autres etc...
il suffit qu on en touche un que les grandes gueules se liberent comme si l homo senegalensis etait saint et intouchable
combien d etrangers arpentent nos tribunaux ou croupissent dans nos prisons
Reply_author
En Juin, 2022 (15:44 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (15:45 PM)Participer à la Discussion