La permanence Wagane Ndiaye, sise à Pikine Taly Bou Bess, est fermée depuis bientôt une semaine, après constat d’un huissier. Les apéristes traineraient une ardoise de 1.050.000 FCFA, représentant sept (07) mois d’arriérés de loyer de leur permanence.
Le bailleur ne pouvant plus supporter les va-et-vient entre les responsables « apéristes » de Pikine, fatigué aussi des coups de téléphone infructueux, et sentant la dette s’alourdir, a tout bonnement saisi un huissier qui a procédé à la fermeture des locaux.
9 Commentaires
Ttt
En Juin, 2014 (13:39 PM)Geune Teuss
En Juin, 2014 (13:59 PM)Naye Rekk
En Juin, 2014 (14:01 PM)Mauri
En Juin, 2014 (14:19 PM)Nba
En Juin, 2014 (15:05 PM)Visa
En Juin, 2014 (15:41 PM)J’en avais fait mon quotidien préféré, par habitude et en souvenir surement des articles de qualité qu’il nous proposait durant les premières mois qui ont suivi sa naissance. Je garde dans un coin de ma mémoire la chronique Gorgui et Ngorsi, révélations fracassantes d’un ancien premier ministre accusé de détournements sur les chantiers de Thiès. Ce dossier était traité avec un professionalisme digne d’un journaliste et avec une plume d’une clarté et d’une beauté exquises avec un récit qui nous laissait toujours sur notre faim nous obligeant le lendemain à nous présenter à la première heure devant le vendeur de journaux. Hélas, ces temps sont révolus, le professionnalisme et la déontologie ne sont plus de rigueur dans notre presse et particulièrement chez mon canard préféré qui paraît être à la solde du pouvoir en place. Cela ne nous surprenant guère bien que nous pouvions en douter, vu les positions actuelles du créateur et ex président directeur général du groupe de presse. Mon journal préféré a perdu son lustre d’antan en perdant ses journalistes épris de justice et fiers de leurs métiers, qu’ils placent au dessus de tout intérêt matériel. Ces journalistes vivaient de l’information, en informant vrai et en étant équidistants entre les partis concernés. Aujourd’hui des journalistes oublient leur mission première et sa sacralité en se pliant aux volontés de politiciens prêts à tout pour faire passer leur propagande et leurs mensonges pensant noyer ainsi la souffrance des populations par de faux espoirs. Mon quotidien préféré s’est adonné à cette pratique de bas étage dans son édition du Lundi 26 Mai 2014, violant du coup une des dispositions du code électoral en chantant les éloges de la mairesse de Sam Notaire candidate à sa propre succession. Selon l’article Mme le maire a réussi la prouesse de collecter 200 Millions de Fcfa de matériels scolaires (ce qui reste à vérifier) pour les communes de Guédiawaye malgré qu’elle soit analphabète et cela à un mois des élections. Ce qu’elle n’a pas réussi évidemment en cinq années à la tête de la municipalité. Il n’est pas surprenant que cet article n’ait pas été signé car un journaliste qui se respecte ne saurait y estampillé sa signature. Voudrait-il nous faire croire que ce don vient à son heure en moins d’un mois de la fin de l’année scolaire. Dorénavant je réfléchirais à deux fois avant d’acheter le journal l’Observateur.
Violation des dispositions du code électoral par le journal L’Observateur
J’en avais fait mon quotidien préféré, par habitude et en souvenir surement des articles de qualité qu’il nous proposait durant les premières mois qui ont suivi sa naissance. Je garde dans un coin de ma mémoire la chronique Gorgui et Ngorsi, révélations fracassantes d’un ancien premier ministre accusé de détournements sur les chantiers de Thiès. Ce dossier était traité avec un professionalisme digne d’un journaliste et avec une plume d’une clarté et d’une beauté exquises avec un récit qui nous laissait toujours sur notre faim nous obligeant le lendemain à nous présenter à la première heure devant le vendeur de journaux. Hélas, ces temps sont révolus, le professionnalisme et la déontologie ne sont plus de rigueur dans notre presse et particulièrement chez mon canard préféré qui paraît être à la solde du pouvoir en place. Cela ne nous surprenant guère bien que nous pouvions en douter, vu les positions actuelles du créateur et ex président directeur général du groupe de presse. Mon journal préféré a perdu son lustre d’antan en perdant ses journalistes épris de justice et fiers de leurs métiers, qu’ils placent au dessus de tout intérêt matériel. Ces journalistes vivaient de l’information, en informant vrai et en étant équidistants entre les partis concernés. Aujourd’hui des journalistes oublient leur mission première et sa sacralité en se pliant aux volontés de politiciens prêts à tout pour faire passer leur propagande et leurs mensonges pensant noyer ainsi la souffrance des populations par de faux espoirs. Mon quotidien préféré s’est adonné à cette pratique de bas étage dans son édition du Lundi 26 Mai 2014, violant du coup une des dispositions du code électoral en chantant les éloges de la mairesse de Sam Notaire candidate à sa propre succession. Selon l’article Mme le maire a réussi la prouesse de collecter 200 Millions de Fcfa de matériels scolaires (ce qui reste à vérifier) pour les communes de Guédiawaye malgré qu’elle soit analphabète et cela à un mois des élections. Ce qu’elle n’a pas réussi évidemment en cinq années à la tête de la municipalité. Il n’est pas surprenant que cet article n’ait pas été signé car un journaliste qui se respecte ne saurait y estampillé sa signature. Voudrait-il nous faire croire que ce don vient à son heure en moins d’un mois de la fin de l’année scolaire. Dorénavant je réfléchirais à deux fois avant d’acheter le journal l’Observateur.
???
En Juin, 2014 (16:07 PM)Pape
En Juin, 2014 (19:39 PM)Didi
En Juin, 2014 (17:52 PM)Participer à la Discussion