Sans le nommer, le président de Pastef a demandé à ses partisans de bouder le Groupe futurs médias, estimant que celui-ci combat son parti. Dans son édition de ce vendredi, le quotidien d’information du groupe a répliqué. Nous vous proposons ci-dessous le texte en intégralité.
[ÉDITORIAL] À la menace, nous opposons notre métier
Il faut appeler les choses par leur nom: hier soir, le Premier ministre Ousmane Sonko n'a pas simplement exprimé un désaccord, il a lancé un appel explicite, péremptoire et dangereusement populiste au boycott du Groupe futurs médias. Ce n'était ni un écart d'humeur, ni une parole de trop. C'était un acte politique calculé. Une stratégie de mise à l'écart. Une entreprise méthodique de discrédit. Ou, selon ses propres mots : une «déclaration de guerre». Dont acte. Et ce n'est nullement un fait isolé.
Depuis plusieurs années, le leader de Pastef s'emploie, avec une opiniâtreté quasi obsessionnelle, à faire plier le Groupe futurs médias.
À nous faire taire. À nous disqualifier. Il érige notre existence en menace, et nous érige, nous, en ennemis à abattre. Son grief ? Nous aurions, selon ses termes martelés avec la régularité d'un mantra, «pactisé» avec ce qu'il désigne, dans un lexique accusatoire savamment huilé, comme le «Système». Il nous. attribue la trahison comme nature, la connivence comme posture, la compromission comme méthode. Le refrain est connu, et d'autant plus lassant qu'il se donne les apparences du courage, alors qu'il n'est bien souvent que l'expression d'un ressentiment mal digéré. A chaque contrariété, un coupable désigné. À chaque critique, une intention perverse prêtée. La mécanique est aussi vieille que les populismes qu'elle recycle : stigmatiser pour mieux régner, essentialiser pour mieux exclure.
Et depuis que le tribun est devenu chef d'État, cette animosité chronique s'est muée en stratégie assumée de mise sous pression. L'arme n'a pas changé: elle vise à délégitimer, non à dialoguer, à réduire au silence, non à interroger.
Soyons lucides, et n'esquivons pas la vérité : GFM n'est pas un sanctuaire d'infaillibilité. Comme toute rédaction digne de ce nom, nous avons connu nos manquements, nos angles morts, nos silences, certains lourds, d'autres regrettables. L'affaire Tullow 01 relève de ces épisodes où notre responsabilité a été engagée. Nous l'avons reconnue, discutée, assumée.
Cette critique, oui, est légitime. Mais elle ne saurait être érigée en faute originelle ni servir d'argument perpétuel à notre disqualification. Répéter inlassablement cette séquence comme un totem expiatoire, en faire le pilier d'une entreprise de mise au ban, c'est céder à une paresse intellectuelle ou à une mémoire délibérément sélective. Ce n'est plus une critique: c'est une posture. Ce n'est plus une interpellation: c'est une diversion. Un procédé rhétorique dont l'objectif n'est pas la vérité, mais l'intimidation, et dont le ressort n'est pas l'éthique, mais la disqualification par culpabilisation.
Que Ousmane Sonko se le tienne pour dit, et qu'ille comprenne une bonne fois pour toutes : GFM ne boycottera pas Pastef. Pas plus que nous ne boycotterons l'APR, le FDR, l'opposition ou le pouvoir. Nos colonnes, nos antennes, nos plateformes resteront ouvertes à tous : à vos exploits comme à vos fautes, à vos victoires comme à vos égarements. C'est le prix et l'honneur, d'une presse libre. Une presse qui ouvre, qui interroge, qui résiste, parfois avec maladresse, mais jamais avec servilité. Parce que c'est cela, au fond, une presse libre : elle n'obéit à personne, sinon à sa conscience professionnelle. Elle ne parle ni sous la menace ni sous la commande. Elle creuse, elle révèle, elle dérange. Non par goût de l'affrontement, mais par éthique.
Le Groupe Futurs Médias est composé d'hommes et de femmes libres. Libres de penser, de douter, d'adhérer ou de s'opposer. Il s'y trouvera des journalistes et des techniciens qui voteront Pastef, d'autres qui ne le feront pas, et d'autres encore qui choisiront la «neutralité», en toute lucidité, parce qu'ils en ont le droit et l'exerceront, quoi qu'il vous en coûte. Pour mémoire, l'un des nôtres, feu Ibrahima Diakhaby, fut votre tout premier collaborateur en communication, peut-être même le premier à croire sincèrement que vos idées méritaient d'être portées et vulgarisées. Ce n'est pas un détail anodin, c'est un symbole fort.
Seule la mort a pu vous en séparer : il incarnait cette vérité profonde qui fait que, chez nous, on peut appartenir à une rédaction tout en assumant pleinement ses convictions, sans jamais compromettre sa dignité, son éthique ni le respect de la déontologie qui fait l'honneur de notre métier. Sans jamais renier son droit inaliénable à exister.
Les autres continueront de faire ce pourquoi ils sont là : chercher, interroger, questionner, éclairer. Non pas pour plaire, mais pour comprendre. Parce que, n'en déplaise, la démocratie n'est pas un alignement de têtes obéissantes. Elle est un désaccord vivant, un bruit de voix, un tumulte d'idées. Elle n'a rien d'une caserne. Rien d'un cénacle d'endoctrinement. Et certainement rien d'un comité de soutien. Nous ne sommes pas une filiale médiatique d'un parti, ni un bataillon de propagande, ni un instrument de validation. Nous sommes une rédaction.
Et dans une rédaction digne de ce nom, le pluralisme ne se tolère pas à titre gracieux, il se cultive comme un principe cardinal. Il ne se quémande pas, il s'exerce, avec la conviction de ceux qui savent qu'ils tiennent là l'un des derniers remparts contre l'uniformisation des esprits.
Quant à la liberté de conscience, Monsieur le Premier ministre, ce n'est ni un argument de campagne, ni un privilège consenti aux docilités. C'est un droit. Un droit inaliénable, imprescriptible, non négociable. Ce droit, vous n'avez pas à nous l'octroyer. Et vos anathèmes, vos exhortations au boycott, vos fureurs rhétoriques n'en viendront jamais à bout. Qu'il vous en souvienne, non pas comme une bravade, mais comme une promesse : ce droit est durable, irréversible, constitutionnel. Et nous le tiendrons debout.
LA RÉDACTION
Commentaires (111)
L'ADN de GFM = Chantage
C’est flagrant
il faut etre aveugle pour ne pas voir cela ou sourd pour ne pas l’entendre
Le groupe GFM a une mission de mercenaires de la plume et propagande des médias pour détourner l’objectif de l’état pastefien d’atteindre ses projets pour le bien etre de la population sénégalaise .
Enough is enough, il faut. savoir arrêter pendant qu’il est temps.
🇸🇳🇸🇳🇸🇳
Sonko amoule lomou tale, quand t'es Premier ministre du Senegal avec tous les chantiers importants, il faut avoir d'autres priorités que de demander de boycoter la presse..... Quand une personne ne supporte pas qu'on dise de mal de lui, qu'on le diffame....dans ces cas, il faut eviter de rentrer en politique ou de diriger le gouvernement d'un Pays......President akh premier minister, wala chef de parti lou nekque ngaye deugue et quand t'es un chef de gouvernement il faut avoir l'esprit de dépassement et te concentrer sur les defits du pays, qui sont plus importants que ce que la presse peut dire ou non
Sonko à parfaitement raison
Moi je ne suis plus ce groupe diabolique depuis wzde
Je suis sur les réseaux sociaux, point barre
Le gfm ne peut pas m énerver parce que je ne le suis pas
boycottons. Ndigal leu. point barre.
C'est le prix et l'honneur, d'une presse libre. Une presse qui ouvre, qui interroge, qui résiste, parfois avec maladresse, mais jamais avec servilité
Mr Sonko doit faire attentio à cette remarque intellectuelle :le pluralisme est un socle sur lequel est bâtie une panoplie de vertues cardinales que sont la légalité,le respect,la justice-la paix et la solidarité que tout peuple malgré sa diversité culturelle,ses religions,la couleur de peau et ses langues doit refléter comme vivierd'existence pacifique et harmonieuse pour un vivre ensembledurable entre ses populations car nous sommes tous issus desentrailles du peuple. A cet égard il est bien constate que le GFM joue le socle de ce pluralisme journalistique en tant qu'informateur,indicateur,signalisateur )
TFM RÉK
RV ce soir DIAKARLO BI
Tfm, Tfm , vrais FUMIER
❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️GFM
Ce n'est pas la peine de faire du dilatoire et de chercher à répondre à côté en faisant semblant d'être une Sainte nitouche. Le groupe gfm est constitué d'un capital appartenant à youssou ndour membre actif de bby. Allié naturel et indéfectible de macky sall. Il n'y a rien de suspect à cela c'est son droit d'être homme d'affaire, magnat de presse et homme politique engagé.
Il y en partout dans le.monde, aujourd'hui en France les grands groupes de presses sont détenus par des patrons. Et dans ces groupes de presses ils distillent leurs idéologies sans complexe.
Ici au Sénégal aussi le groupe gfm a fait son choix éditoriale d'accompagner Macky durant son mandat et de combattre Wade et karim quand youssou était en froid avec eux. Rien de nouveau sous le soleil.
Le seul tort de pastef et de sonko est de ne pas avoir combattu ceux qui vous combattent. Dans l'opposition cela avait du sens et a été fait. Mais une fois au pouvoir c'est nécessaire. Un pouvoir ne laisse pas un ennemi te combattre ouvertement sans réagir. Surtout qu'il y a matière. Le fils de youssou dg du groupe a reconnu avoir fait du détournement de dernier public en omettant de reverser les impôts prélevés. Cela devait être sanctionné sans coup ferir.
On ne gouverne pas en pensant à l'opinion. On agit de manière sereine et objective. Avec ses alliés et contre ses ennemis. Le peuple souverain votera le moment venu sans tenir compte de l'opinion qui est une tribune fabriquée.
Cet éditoriale est d'un vide sidéral, reconnaître que l'article sur tullow oil était une fausse nouvelle. Mais de qui se moque t'on ? C'était une fabrication délibérée mise à la une du journal avec un article de moins de 10 phrases au conditionnel non signé. Et cela se dit journal.
La loi sur la diffusion de la presse appliquée il serait interdit la parution de l'observateur depuis 2019.
Et après ce matin on invite un rasta qui a l'outrecuidance de dire que l'on ne sait pas comment marchent une rédaction. Si c'est cela une rédaction, publier des articles sans les signer, c'est qu'une rédaction n'est pas mieux que la cour de récréation d'une garderie d'enfants.
Sonko a la faveur de garder son franc parler, combattre ceux qui te combattent sans sourciller. L'histoire se chargera du reste. Pastef et Sonko doivent combattre gfm qui les combat, point. Il faut s'assumer youssou pour une fois. Que personne ne tremble, c'est pour le bien du Sénégal.
Texte très bien rédigé Bravo à l'auteur
Sonko doit se ressaisir au plus vite ou être démis de ses fonctions, nous ne pouvons pas nous permettre d'ajouter une crise politique à la crise économique existante.
Sonko contre la justice - Sonko contre la presse - Sonko contre la société civile
Ce monsieur menace la survie de chaque sénégalais
Un texte sans valeur informative. Malgré vos envolées lyriques et vos élucubrations , regardez vous devant une glace et dites si vous aviez la même posture avec le régime de Macky Sall . Oh que non !
Parlant de votre controversée émission , n'aviez vous pas recruter avant 2024 , un Chiwawa prêt à bondir sur les contempteurs du régime de la terreur marron.
GFM a perdu sa crédibilité depuis qu'il a accepté de faire le sale boulot pour le compte de Vincens Bolloré dans sa croisade contre le régime Wade qui a eu le "culot " de confier le terminal portuaire à DPW et éjecter Bolloré. Nous savons beaucoup de choses .............................
Je vous donne un conseil : Depuis 2021 vous n'avez cesser de diaboliser Sonko et essayer de manipuler l'opinion. Résultat des courses , Sonko est arrivé au pouvoir . N'est-il pas temps de changer de stratégie ? LES SENEGALAIS ONT COMPRIS .
Nous avons la chance d'avoir un leader en avance sur son temps , c'est tout son malheur .. SONKO aujourd'hui , SONKO pour toujours.
Un texte sans valeur informative. Malgré vos envolées lyriques et vos élucubrations , regardez vous devant une glace et dites si vous aviez la même posture avec le régime de Macky Sall . Oh que non !
Parlant de votre controversée émission , n'aviez vous pas recruter avant 2024 , un Chiwawa prêt à bondir sur les contempteurs du régime de la terreur marron.
GFM a perdu sa crédibilité depuis qu'il a accepté de faire le sale boulot pour le compte de Vincens Bolloré dans sa croisade contre le régime Wade qui a eu le "culot " de confier le terminal portuaire à DPW et éjecter Bolloré. Nous savons beaucoup de choses .............................
Je vous donne un conseil : Depuis 2021 vous n'avez cesser de diaboliser Sonko et essayer de manipuler l'opinion. Résultat des courses , Sonko est arrivé au pouvoir . N'est-il pas temps de changer de stratégie ? LES SENEGALAIS ONT COMPRIS .
Nous avons la chance d'avoir un leader en avance sur son temps , c'est tout son malheur .. SONKO aujourd'hui , SONKO pour toujours.
Les robinets sont fermé.gfm Aka nio sokhor
Sonko dafa yep moutons yi manane les 54 %
Cou normal bou nek khamnani sonko dara khamouco loudoul yonou sweet beauty
je ne les regarde ou les ecoute plus depuis longtemps
je me suis toujours demande ce que amadou ba a TFM et ngagne demba toutre a 7tv
Ce Mec de SONKO veut nous dire que Sénégal nieup niou bonne ...mom rek moo bakh🤣🤣🤣🤣🤣
Je vais commencer à consommer uniquement les medias du groupe futur média : radio, télévision et journeaux.
Je ne suis le toutou d'aucun mythomane qui me dit "attaque, mord, couché" et j'obéis.
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Sonko ne veut pas de toutou (les toutous ont quand même un peu de cervelle) mais plutôt des moutons.
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Ce Mec de SONKO veut nous dire que Sénégal nieup niou bonne ...mom rek moo bakh🤣🤣🤣🤣🤣
❤️ Filles chaudes vous attendent sur - - Sexy24.mom
Non frère je suis Pas d'accord un premier ministre qui Est proche du président vient de sortir les mots irresponsable au sein de l'état......cest militant doit lui amener a la réalité...Diomay n'a rien dit depuis bobou franchement
Une émission qui prend comme chroniqueurs un allié de Macky (ancien membre du HCCT qui réclame toujours ses salaires) et un membre d’un parti d’opposition, sponsorisé par les perdants. Donc 2 opposants en permanence sur le plateau et vous dites que vous êtes neutres, professionnels, équilibrés ???
Le meilleur scénario est entrain de s'écrire tout seul ce gars se dirige vers rebeusse par ses propres calculs
Ce gars a besoin de psychologue et de psychiatre car il souffre énormément
Pervers narcissique
Depuis la publication de l’éditorial du Groupe Futurs Médias (GFM), un récit victimaire a envahi les écrans et colonnes. Le Premier ministre Ousmane Sonko y est accusé de déclarer la guerre à la presse, rien de moins. Mais que s’est-il réellement passé ? Il a appelé au boycott de GFM, un média connu pour sa proximité historique avec le pouvoir sortant, et dont le silence assourdissant lors des dérives démocratiques de la dernière décennie mérite d’être rappelé.
GFM n’est pas une rédaction comme une autre. C’est un groupe privé tentaculaire, fondé par Youssou Ndour, un homme de culture, mais aussi un acteur politique engagé, qui fut ministre de la République et allié direct de Macky Sall. Ce n’est pas une opinion, c’est un fait.
Et c’est également un fait que, durant les années de répression ayant ciblé Ousmane Sonko et ses partisans — arrestations abusives, interdictions de manifestations, blocages médiatiques, violences meurtrières, le Groupe Futurs Médias s’est contenté d’un silence stratégique, voire d’une amplification des discours officiels à charge contre lui.
Appeler à boycotter GFM, ce n’est pas censurer la presse. C’est refuser de continuer à donner audience et crédit à une machine médiatique qui, pendant des années, n’a jamais pris position contre les injustices criantes. Pas un mot, ou si peu, sur les persécutions politiques. Pas d’émissions spéciales, pas de dénonciations de fond, pas de contre-pouvoir journalistique digne de ce nom.
Aujourd’hui, GFM se drape dans les habits de la neutralité bafouée. Mais l’histoire est encore trop fraîche, les blessures encore trop vives, pour que l’on accepte ce retournement de rôle. Ce n’est pas un média libre qui s’exprime dans son éditorial, c’est un acteur politique blessé dans ses intérêts, qui découvre soudain que le peuple peut lui tourner le dos.
Ousmane Sonko n’a jamais fermé un journal. Il n’a jamais interdit une voix médiatique. Il interpelle. Il propose un choix. Il invite à la conscience critique. Et nous sommes de plus en plus nombreux à le rejoindre dans cette démarche, non pas par aveuglement partisan, mais par saturation face à une information biaisée, uniformisée, et complaisante.
Nous voulons une presse forte, mais non alignée. Une presse libre, mais non complice. Une presse qui interroge tous les camps, pas seulement l’opposition. Une presse qui ne se taise pas quand la démocratie saigne.
Ce que GFM appelle « déclaration de guerre », c’est en réalité un acte de libération du regard citoyen. Une remise en cause salutaire d’un monopole de parole qui a trop souvent trahi sa mission d’équilibre.
Ousmane Sonko n’a pas besoin que la presse l’aime. Il demande qu’elle cesse de le diaboliser au nom de ses anciennes alliances.
Et pour cela, je le soutiens.
Depuis la publication de l’éditorial du Groupe Futurs Médias (GFM), un récit victimaire a envahi les écrans et colonnes. Le Premier ministre Ousmane Sonko y est accusé de déclarer la guerre à la presse, rien de moins. Mais que s’est-il réellement passé ? Il a appelé au boycott de GFM, un média connu pour sa proximité historique avec le pouvoir sortant, et dont le silence assourdissant lors des dérives démocratiques de la dernière décennie mérite d’être rappelé.
GFM n’est pas une rédaction comme une autre. C’est un groupe privé tentaculaire, fondé par Youssou Ndour, un homme de culture, mais aussi un acteur politique engagé, qui fut ministre de la République et allié direct de Macky Sall. Ce n’est pas une opinion, c’est un fait.
Et c’est également un fait que, durant les années de répression ayant ciblé Ousmane Sonko et ses partisans — arrestations abusives, interdictions de manifestations, blocages médiatiques, violences meurtrières, le Groupe Futurs Médias s’est contenté d’un silence stratégique, voire d’une amplification des discours officiels à charge contre lui.
Appeler à boycotter GFM, ce n’est pas censurer la presse. C’est refuser de continuer à donner audience et crédit à une machine médiatique qui, pendant des années, n’a jamais pris position contre les injustices criantes. Pas un mot, ou si peu, sur les persécutions politiques. Pas d’émissions spéciales, pas de dénonciations de fond, pas de contre-pouvoir journalistique digne de ce nom.
Aujourd’hui, GFM se drape dans les habits de la neutralité bafouée. Mais l’histoire est encore trop fraîche, les blessures encore trop vives, pour que l’on accepte ce retournement de rôle. Ce n’est pas un média libre qui s’exprime dans son éditorial, c’est un acteur politique blessé dans ses intérêts, qui découvre soudain que le peuple peut lui tourner le dos.
Ousmane Sonko n’a jamais fermé un journal. Il n’a jamais interdit une voix médiatique. Il interpelle. Il propose un choix. Il invite à la conscience critique. Et nous sommes de plus en plus nombreux à le rejoindre dans cette démarche, non pas par aveuglement partisan, mais par saturation face à une information biaisée, uniformisée, et complaisante.
Nous voulons une presse forte, mais non alignée. Une presse libre, mais non complice. Une presse qui interroge tous les camps, pas seulement l’opposition. Une presse qui ne se taise pas quand la démocratie saigne.
Ce que GFM appelle « déclaration de guerre », c’est en réalité un acte de libération du regard citoyen. Une remise en cause salutaire d’un monopole de parole qui a trop souvent trahi sa mission d’équilibre.
Ousmane Sonko n’a pas besoin que la presse l’aime. Il demande qu’elle cesse de le diaboliser au nom de ses anciennes alliances.
Et pour cela, je le soutiens.
Depuis la publication de l’éditorial du Groupe Futurs Médias (GFM), un récit victimaire a envahi les écrans et colonnes. Le Premier ministre Ousmane Sonko y est accusé de déclarer la guerre à la presse, rien de moins. Mais que s’est-il réellement passé ? Il a appelé au boycott de GFM, un média connu pour sa proximité historique avec le pouvoir sortant, et dont le silence assourdissant lors des dérives démocratiques de la dernière décennie mérite d’être rappelé.
GFM n’est pas une rédaction comme une autre. C’est un groupe privé tentaculaire, fondé par Youssou Ndour, un homme de culture, mais aussi un acteur politique engagé, qui fut ministre de la République et allié direct de Macky Sall. Ce n’est pas une opinion, c’est un fait.
Et c’est également un fait que, durant les années de répression ayant ciblé Ousmane Sonko et ses partisans — arrestations abusives, interdictions de manifestations, blocages médiatiques, violences meurtrières, le Groupe Futurs Médias s’est contenté d’un silence stratégique, voire d’une amplification des discours officiels à charge contre lui.
Appeler à boycotter GFM, ce n’est pas censurer la presse. C’est refuser de continuer à donner audience et crédit à une machine médiatique qui, pendant des années, n’a jamais pris position contre les injustices criantes. Pas un mot, ou si peu, sur les persécutions politiques. Pas d’émissions spéciales, pas de dénonciations de fond, pas de contre-pouvoir journalistique digne de ce nom.
Aujourd’hui, GFM se drape dans les habits de la neutralité bafouée. Mais l’histoire est encore trop fraîche, les blessures encore trop vives, pour que l’on accepte ce retournement de rôle. Ce n’est pas un média libre qui s’exprime dans son éditorial, c’est un acteur politique blessé dans ses intérêts, qui découvre soudain que le peuple peut lui tourner le dos.
Ousmane Sonko n’a jamais fermé un journal. Il n’a jamais interdit une voix médiatique. Il interpelle. Il propose un choix. Il invite à la conscience critique. Et nous sommes de plus en plus nombreux à le rejoindre dans cette démarche, non pas par aveuglement partisan, mais par saturation face à une information biaisée, uniformisée, et complaisante.
Nous voulons une presse forte, mais non alignée. Une presse libre, mais non complice. Une presse qui interroge tous les camps, pas seulement l’opposition. Une presse qui ne se taise pas quand la démocratie saigne.
Ce que GFM appelle « déclaration de guerre », c’est en réalité un acte de libération du regard citoyen. Une remise en cause salutaire d’un monopole de parole qui a trop souvent trahi sa mission d’équilibre.
Ousmane Sonko n’a pas besoin que la presse l’aime. Il demande qu’elle cesse de le diaboliser au nom de ses anciennes alliances.
Et pour cela, je le soutiens.
Sonko a parfaitement raison.
Le système est un monstre avec ses tentacules..GFM en.est une comme d'autre groupes.
Ce système résistera. Ce qui est sûr, c'est que le peuple est derrière Sonko. Qu on.le veuille, c'est le réalité. Qu 'on.ne le veuille pas c'est la réalité et c'est l'essentiel.
Les Franc maçons sont toujours dans le système et ils en tiennent les rênes. Ce sera un.exercice difficile de longue haleine pour s'en débarrasser.
Ce Sénégal ne retournerajamais dans les mains de voleurs, de pilleurs, de menteurs de gens d'une nebulosite extrême.
Nous soutenons Sonko. Le Boycott de certains groupes de media dont GFM est devenu une condition sine qua non.a la réussite du projet tant que ces groupes adoptent une posture partisane.
Merci au GFM Groupe Futur Media pour cette Réponse.
J' ai voté Pastef ainsi que tous les membres de ma famille. Mais je suis aujourd' hui déçu. Pour certains membres, le parti c' est comme une réligion avec un Prophète Ousmane infaillible.
Même s' il se renie, se dedit, MENT, ou fornique il a Raison.
Quelle idiotie. Un cerveau ça sert à quelque chose. Mais grober tout ce que dit le Gourou...
FAUX tu n'a jamais PASTEF mdrrrrrr
FAUX tu n'a jamais voter PASTEF mdrrrrrr
FAUX tu n'a jamais voter PASTEF mdrrrrrr
FAUX tu n'a jamais voter PASTEF mdrrrrrr
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Votre journal est pathétique et vous faites tout sauf du journalisme. Shame
« Ceux qui veulent me faire passer pour le méchant et lui pour le bon se trompent. Diomaye est mon frère, mon ami. Je ne convoite pas sa place. »
Un aveu de taille, ton subconscient te trahit. Si tu l’évoque c’est parce que tu y penses.
Le Sénégal ne mérite pas ça. Réveillez vous, il n y pas de honte à reconnaître s’être trompée en les votant au pouvoir. Il est pas encore trop tard de rectifier. Le Sénégal ne mérite pas cet énergumène, ce pervers, ce psycho.
C'est ce torchon de L'Observateur qui a fait le sale boulot contre l'Imam Ndao, le traînant dans la boue en l'accusant de terroriste international. C'est ce même journal qui a toujours fait le sale boulot contre Khalifa Sall et Karim Wade. Youssou Ndour et Bougane, ce bougre d'âne, ont créé des torchons uniquement pour s'enrichir. Youssou Ndour et L'Observateur doivent être poursuivis pour l'assassinat de l'Imam Ndao. Ces vauriens sont prêts à tout pour des espèces sonnantes et trébuchantes, de vrais badoleus jamais rassasiés. J’ai commencé a boycotter GFM en mars 2021
IGFM, vous attaquez le pouvoir et vous ne voulez pas de riposte? Est-ce que vous écoutez le RP de M. Alimou BA? Est-ce que vous écoutez ses émissions du dimanche matin? Sans compter Jakaarloo et autres
Quand votre sale groupe de presse sera fermé vous verrez ou vous allez continuer votre chantage
Merci encore son excellence Ousmane SONKO , moi personnellement j'ai boycotter ce groupe depuis leur truchement des élections présidentielles de 2019.
Cette réponse ne fait que dévoiler votre vrai visage de manipulation , de mensonge et de sacrifier la population. Mais sachez que cest fini pour vous
EN BAS GFM
EN BAS GFM
EN BAS GFM
EN BAS GFM
EN BAS GFM
IGFM, vous attaquez le pouvoir et vous ne voulez ps de riposte? Est-ce que vous écoutez le RP de M. Alimou BA? Est-ce que vous écoutez ses émissions du dimanche matin?
Oh oui lumière des lupanars après une misereuse guenon accroupie (et louée)..il te faut une presse aux ordres...je t'applaudis des 4 sabots...
@mamadou.mouton.heureux
Oh oui lumière des lupanars après une misereuse guenon accroupie (et louée)..il te faut une presse aux ordres...je t'applaudis des 4 sabots...
@mamadou.mouton.heureux
que des futilités-Yalla na yalla yeureume Sénégal.
-Amine.😒😒😒😒
que des futilités-Yalla na yalla yeureume Sénégal.
-Amine.😒😒😒😒
que des futilités-Yalla na yalla yeureume Sénégal.
-Amine.😒😒😒😒
Tous à l'émission de jakarloo de ce soir. Vive TFM. Vive la liberté de la presse. Ici c'est le Sénégal nous ne sommes pas à l'ère de l'esclavage ou de la dictature. Quand le Sénégal prenait son indépendance Sonko n'était pas né.
Je tiens toutefois à souligner qu’il aurait été préférable d’employer un français plus simple et accessible afin de garantir une meilleure compréhension du sens et de la portée du texte par le client. Néanmoins, comme on le souligne en langage diplomatique, la réponse demeure claire et limpide.
Je tiens toutefois à souligner qu’il aurait été préférable d’employer un français plus simple et accessible afin de garantir une meilleure compréhension du sens et de la portée du texte par le client. Néanmoins, comme on le souligne en langage diplomatique, la réponse demeure claire et limpide.
Sonko so beugueer medias bou la khalamal nga deme walf , TFM ba ko borromame di liggueye ya ngui seddo ay terrains yowak sa patron Tahibou Ndiaye. Fii nga fekkeu TFM te boy diougguer si ngour gui di nga fi baayi TFM
SONKO vous a fait reagir vous etes betes au temps de macky cetait la bamboula des salaires des mannes venant du palais pour payer vos salaies sans cotisation envers letat sans payer les impots donc il fallait quil vous tende un piege avec les impots pour vous amnez une bouche pour vomir vos pensés sourdes lui gadiaga cest lagneau du SACRIFICE il payera très fort mdrrrrrr
Walf était la télé du peuple mais elle devenu la télé de Pasteef. TFM qui tend le micro à tout le monde est devenue la télé du peuple avec des émissions où on invite les membres du pouvoir, l'opposition, la société civile pour discuter des problèmes du pays.
Ici on ne fait pas du griotisme comme à Walf (qui a trahi la ligne tracée par son fondateur S.L.N). La diaspora sénégalaise a boycotté, il y a des clans au sein de Pasteef. Cela existait depuis longtemps mais ils n'osaient pas le manifester. Une fois au pouvoir, le clientélisme, les clans et le nepotisme sont devenus exacerbés créant une grosse frustration chez les jeunes qui ont tout donné et constatent qu'ils ne sont pas associés au partage du gâteau.
Pasteef a perdu sa force, celle de la bataille des réseaux sociaux.
Pasteef a créé la bataille politique par les réseaux sociaux mais il tombera par ces mêmes réseaux sociaux et plus précisément la VAR qui est un ennemi fatal à Sonko. Il est trop bavard et se contredit à chaque fois qu'il est devant un micro. Enfin il y a le karma qui s'abat sur lui pour avoir créer des morts sur du mensonge. Il a avoué qu'il faisait du tappalé (la manipulation) en faisant croire qu'il était dans le coma à l'hôpital principal aux moments où les jeunes se faisaient tuer pour sa libération.
Il est devenu fou ce boy pastèque
Il est devenu fou ce boy pastèque
Il est devenu fou ce boy pastèque
JE ME DEMANDE POURQUOI DIOMAYE-SONKO VEULENTT SE FATIGUER, ILS N’ONT QUE FAIRE COMME LEURS PREDECESSEURS, C’EST-A-DIRE FAIRE DU « TAF YEUGUEL » PENDANT 1 OU 2 MANDATS PUIS S’ENRICHIR ET FOUDRE LE CAMP POUR ALLER SE REPOSER TRANQUILLEMENT A DOHA, PARIS OU AILLEURS. C’EST PAS FACILE DE DERACINER UN SYSTEME QUI EST LA DEPUIS QUE SENGHOR A LIQUIDER MAMADOU DIA ET CHEIKH ANTA DIOP SANS QUE PERSONNE NE PIPE MOT. LE SYSTEME C'EST 10% DES SENEGALAIS QUI SE PARTAGENT LES RICHESSES DU PAYS DEPUIS 1960.
Merci pour cette réponse très intelligente
Posez vous la question a savoir si les chiens de pastef sont des etres humains. Ils disent " sonko est lza seule voix qui merite d etre ecoutee". Conclusion: les paroles de leurs propres parents ne valent rien
Ce sont eux qui avaient promis de donner leurs propres pour coucher avec sonko.
Est ce des humains
GFM, remerciez le ciel d'avoir en la personne du PM, un interlocuteur franc, honnête qui vous fais savoir clairement ce qu'il pense de vous.
Rien ne justifie la ligne adoptée par l'émission Diakarlo, rien n'explique les insolences de Babacar Fall, rien ne justifie les fausses informations distillées par l'OBS etc..... Je croyais rêver quand j'ai entendu Gadiaga dire sur le plateau de cette funeste émission "Ousmane Sonko est le parrain des insulteurs" . Quant à ses propos de la semaine dernière, la décence m'impose de ne pas les répéter ici. Tout cela, mis bout à bout, on peut considérer qu'on est en présence d'une entreprise de déstabilisation savamment orchestrée, une volonté de nuire dont vous êtes coupables. Compte tenu de tout cela, vous ne pouvez faire le reproche au PM, d'adopter la posture qui est la sienne à votre endroit. Foula moye diaye dakhar !!!
Je me trompe peut-être mais je crois déceler dans votre texte une volonté de rectifier le tir. L'avenir nous édifiera.
Pour en venir à l'intervention du Président Sonko hier, je lui dit bravo. Bravo pour la franchise, bravo pour le courage, bravo pour la détermination.
Depuis un certain temps, j'avais compris que le problème , c'était le PR. Je n'ai pas attendu le PM pour forger mon avis.
Maintenant, il revient au PR de comprendre que politiquement, il n'existe pas. Il est une création de Sonko et il ne lui survivra pas. J'espère qu'il ne commettra pas l'erreur de croire le contraire ou d'essayer de se séparer de son PM. S'il le fait, le monde s'écroulera sous ses pieds.
Pour vous parler franchement, moi Diomaye ne m'intéresse pas, ce qu'il peut dire ou faire, je m'en fous comme de la dernière pluie. J'ai voté pour lui simplement parce que le président Sonko l'a désigné. Il aurait désigné une chèvre , j'aurai voter pour elle.
En dehors de Sonko, point de salut. SONKISTE à VIE !!!!!!
Réponse au communiqué du Groupe Futurs Médias : une mise au point nécessaire
Le dernier communiqué publié par le Groupe Futurs Médias (GFM), en réaction aux propos du Premier ministre Ousmane Sonko, se veut une vibrante défense de la liberté de la presse. Mais à y regarder de plus près, il s’agit surtout d’un plaidoyer déguisé pour une forme de privilège perdu, et d’une tentative désespérée de victimisation.
Que GFM veuille aujourd’hui jouer les martyrs de la démocratie n’efface pas les pratiques opaques, les accointances politiques et les faveurs injustifiables dont il a longtemps bénéficié sous le régime précédent.
1. Quand la presse devient un bras armé du pouvoir sortant
Il est de notoriété publique que le PDG du groupe GFM était ministre-conseiller du président Macky Sall. Durant cette période, son groupe a concentré une part disproportionnée des aides à la presse, sans justification transparente, alors même qu’il cumulait une dette colossale vis-à-vis des services fiscaux de l’État.
Durant ce même temps, des journalistes de talent étaient payés au rabais pendant que des animateurs de divertissement touchaient des millions. Le GFM servait de canal de propagande, pas de contre-pouvoir.
2. Liberté de presse ≠ impunité ni privilège
Dans une République fondée sur la rupture avec la gabegie et la partialité, il est légitime qu’un gouvernement exige des comptes – à tous les niveaux. La presse n’est pas au-dessus des institutions. Elle doit faire son autocritique au même titre que l’administration, les partis politiques ou la société civile.
Ce que le Premier ministre a exprimé n'est pas un appel à la censure, mais une dénonciation du deux poids deux mesures, du journalisme à géométrie variable, de ceux qui hier applaudissaient les dérives d’un système corrompu, et qui aujourd’hui crient à l’oppression parce que la manne étatique leur échappe.
3. Le boycott est un droit citoyen, pas une guerre
Le boycott n’est pas une déclaration de guerre. C’est un acte de liberté individuelle ou collective, un levier de contestation pacifique. Appeler au boycott d’un organe qui désinforme, déforme ou s’acharne de manière sélective est un droit constitutionnel, au même titre que la liberté d’informer. Et c’est précisément cela que le peuple sénégalais exige : une presse libre, oui, mais libre aussi de ses accointances et de ses agendas inavoués.
4. Le peuple ne se trompe plus
Le Sénégal a changé. La conscience citoyenne est éveillée. Les manipulations ne passent plus. Les journalistes qui choisissent la rigueur, l’intégrité et l'équilibre continueront d’être respectés. Ceux qui instrumentalisent leur micro pour régler des comptes ou défendre leurs privilèges seront démasqués.
En somme, nous n’avons aucun problème avec une presse libre. Mais nous avons un problème avec une presse partiale, nostalgique de ses faveurs, et incapable de se remettre en question.
Qu’on se le dise : le temps de la presse-rente est révolu. Place à une presse responsable, équitable, soumise elle aussi à la reddition des comptes.
Aly DIOUF
Militant Pastef
Réponse au communiqué du Groupe Futurs Médias : une mise au point nécessaire
Le dernier communiqué publié par le Groupe Futurs Médias (GFM), en réaction aux propos du Premier ministre Ousmane Sonko, se veut une vibrante défense de la liberté de la presse. Mais à y regarder de plus près, il s’agit surtout d’un plaidoyer déguisé pour une forme de privilège perdu, et d’une tentative désespérée de victimisation.
Que GFM veuille aujourd’hui jouer les martyrs de la démocratie n’efface pas les pratiques opaques, les accointances politiques et les faveurs injustifiables dont il a longtemps bénéficié sous le régime précédent.
1. Quand la presse devient un bras armé du pouvoir sortant
Il est de notoriété publique que le PDG du groupe GFM était ministre-conseiller du président Macky Sall. Durant cette période, son groupe a concentré une part disproportionnée des aides à la presse, sans justification transparente, alors même qu’il cumulait une dette colossale vis-à-vis des services fiscaux de l’État.
Durant ce même temps, des journalistes de talent étaient payés au rabais pendant que des animateurs de divertissement touchaient des millions. Le GFM servait de canal de propagande, pas de contre-pouvoir.
2. Liberté de presse ≠ impunité ni privilège
Dans une République fondée sur la rupture avec la gabegie et la partialité, il est légitime qu’un gouvernement exige des comptes – à tous les niveaux. La presse n’est pas au-dessus des institutions. Elle doit faire son autocritique au même titre que l’administration, les partis politiques ou la société civile.
Ce que le Premier ministre a exprimé n'est pas un appel à la censure, mais une dénonciation du deux poids deux mesures, du journalisme à géométrie variable, de ceux qui hier applaudissaient les dérives d’un système corrompu, et qui aujourd’hui crient à l’oppression parce que la manne étatique leur échappe.
3. Le boycott est un droit citoyen, pas une guerre
Le boycott n’est pas une déclaration de guerre. C’est un acte de liberté individuelle ou collective, un levier de contestation pacifique. Appeler au boycott d’un organe qui désinforme, déforme ou s’acharne de manière sélective est un droit constitutionnel, au même titre que la liberté d’informer. Et c’est précisément cela que le peuple sénégalais exige : une presse libre, oui, mais libre aussi de ses accointances et de ses agendas inavoués.
4. Le peuple ne se trompe plus
Le Sénégal a changé. La conscience citoyenne est éveillée. Les manipulations ne passent plus. Les journalistes qui choisissent la rigueur, l’intégrité et l'équilibre continueront d’être respectés. Ceux qui instrumentalisent leur micro pour régler des comptes ou défendre leurs privilèges seront démasqués.
En somme, nous n’avons aucun problème avec une presse libre. Mais nous avons un problème avec une presse partiale, nostalgique de ses faveurs, et incapable de se remettre en question.
Qu’on se le dise : le temps de la presse-rente est révolu. Place à une presse responsable, équitable, soumise elle aussi à la reddition des comptes.
Aly DIOUF
Militant Pastef
Le PM sait comment les traiter. Wait ans see
Sonko cherche des bouc émissaires car il n'a pas de solutions aux vrais problèmes des sénégalais que sont le chômage des jeunes la pauvreté des hopitaux malades un taux d'échec très élevé des élèves aux examens une électricité excessivement chère......, le client est incapable de trouver des solutions, donc il ouvre des contre feu à n'en plus finir....c'est sonko contre la justice, c'est sonko contre les journalistes qui ne jouent pas du xalam pour lui, c'est sonko contre la société civile et maintenant c'est sonko contre diomaye.
le pays a un problème économique et social très profond et notre PM veut y rajouter un problème politique au sommet de l'Etat, nous n'avons aucun problème d'autorité, le Sénégal ne sera jamais au plus grand jamais une Dictature
Réponse au communiqué du Groupe Futurs Médias : une mise au point nécessaire
Le dernier communiqué publié par le Groupe Futurs Médias (GFM), en réaction aux propos du Premier ministre Ousmane Sonko, se veut une vibrante défense de la liberté de la presse. Mais à y regarder de plus près, il s’agit surtout d’un plaidoyer déguisé pour une forme de privilège perdu, et d’une tentative désespérée de victimisation.
Que GFM veuille aujourd’hui jouer les martyrs de la démocratie n’efface pas les pratiques opaques, les accointances politiques et les faveurs injustifiables dont il a longtemps bénéficié sous le régime précédent.
1. Quand la presse devient un bras armé du pouvoir sortant
Il est de notoriété publique que le PDG du groupe GFM était ministre-conseiller du président Macky Sall. Durant cette période, son groupe a concentré une part disproportionnée des aides à la presse, sans justification transparente, alors même qu’il cumulait une dette colossale vis-à-vis des services fiscaux de l’État.
Durant ce même temps, des journalistes de talent étaient payés au rabais pendant que des animateurs de divertissement touchaient des millions. Le GFM servait de canal de propagande, pas de contre-pouvoir.
2. Liberté de presse ≠ impunité ni privilège
Dans une République fondée sur la rupture avec la gabegie et la partialité, il est légitime qu’un gouvernement exige des comptes – à tous les niveaux. La presse n’est pas au-dessus des institutions. Elle doit faire son autocritique au même titre que l’administration, les partis politiques ou la société civile.
Ce que le Premier ministre a exprimé n'est pas un appel à la censure, mais une dénonciation du deux poids deux mesures, du journalisme à géométrie variable, de ceux qui hier applaudissaient les dérives d’un système corrompu, et qui aujourd’hui crient à l’oppression parce que la manne étatique leur échappe.
3. Le boycott est un droit citoyen, pas une guerre
Le boycott n’est pas une déclaration de guerre. C’est un acte de liberté individuelle ou collective, un levier de contestation pacifique. Appeler au boycott d’un organe qui désinforme, déforme ou s’acharne de manière sélective est un droit constitutionnel, au même titre que la liberté d’informer. Et c’est précisément cela que le peuple sénégalais exige : une presse libre, oui, mais libre aussi de ses accointances et de ses agendas inavoués.
4. Le peuple ne se trompe plus
Le Sénégal a changé. La conscience citoyenne est éveillée. Les manipulations ne passent plus. Les journalistes qui choisissent la rigueur, l’intégrité et l'équilibre continueront d’être respectés. Ceux qui instrumentalisent leur micro pour régler des comptes ou défendre leurs privilèges seront démasqués.
En somme, nous n’avons aucun problème avec une presse libre. Mais nous avons un problème avec une presse partiale, nostalgique de ses faveurs, et incapable de se remettre en question.
Qu’on se le dise : le temps de la presse-rente est révolu. Place à une presse responsable, équitable, soumise elle aussi à la reddition des comptes.
Aly DIOUF
Militant Pastef
Réponse au communiqué du Groupe Futurs Médias : une mise au point nécessaire
Le dernier communiqué publié par le Groupe Futurs Médias (GFM), en réaction aux propos du Premier ministre Ousmane Sonko, se veut une vibrante défense de la liberté de la presse. Mais à y regarder de plus près, il s’agit surtout d’un plaidoyer déguisé pour une forme de privilège perdu, et d’une tentative désespérée de victimisation.
Que GFM veuille aujourd’hui jouer les martyrs de la démocratie n’efface pas les pratiques opaques, les accointances politiques et les faveurs injustifiables dont il a longtemps bénéficié sous le régime précédent.
1. Quand la presse devient un bras armé du pouvoir sortant
Il est de notoriété publique que le PDG du groupe GFM était ministre-conseiller du président Macky Sall. Durant cette période, son groupe a concentré une part disproportionnée des aides à la presse, sans justification transparente, alors même qu’il cumulait une dette colossale vis-à-vis des services fiscaux de l’État.
Durant ce même temps, des journalistes de talent étaient payés au rabais pendant que des animateurs de divertissement touchaient des millions. Le GFM servait de canal de propagande, pas de contre-pouvoir.
2. Liberté de presse ≠ impunité ni privilège
Dans une République fondée sur la rupture avec la gabegie et la partialité, il est légitime qu’un gouvernement exige des comptes – à tous les niveaux. La presse n’est pas au-dessus des institutions. Elle doit faire son autocritique au même titre que l’administration, les partis politiques ou la société civile.
Ce que le Premier ministre a exprimé n'est pas un appel à la censure, mais une dénonciation du deux poids deux mesures, du journalisme à géométrie variable, de ceux qui hier applaudissaient les dérives d’un système corrompu, et qui aujourd’hui crient à l’oppression parce que la manne étatique leur échappe.
3. Le boycott est un droit citoyen, pas une guerre
Le boycott n’est pas une déclaration de guerre. C’est un acte de liberté individuelle ou collective, un levier de contestation pacifique. Appeler au boycott d’un organe qui désinforme, déforme ou s’acharne de manière sélective est un droit constitutionnel, au même titre que la liberté d’informer. Et c’est précisément cela que le peuple sénégalais exige : une presse libre, oui, mais libre aussi de ses accointances et de ses agendas inavoués.
4. Le peuple ne se trompe plus
Le Sénégal a changé. La conscience citoyenne est éveillée. Les manipulations ne passent plus. Les journalistes qui choisissent la rigueur, l’intégrité et l'équilibre continueront d’être respectés. Ceux qui instrumentalisent leur micro pour régler des comptes ou défendre leurs privilèges seront démasqués.
En somme, nous n’avons aucun problème avec une presse libre. Mais nous avons un problème avec une presse partiale, nostalgique de ses faveurs, et incapable de se remettre en question.
Qu’on se le dise : le temps de la presse-rente est révolu. Place à une presse responsable, équitable, soumise elle aussi à la reddition des comptes.
Aly DIOUF
Militant Pastef
La presse libre c’est certainement wal d’adjoint ou sans limites ?
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C'EST FAUX.
Vous prenez vos désirs pour la réalité.
Votre mot d'ordre est de tout faire pour casser l'entente entre le Président et son Premier ministre mais c'est peine perdue.
Vous allez y perdre votre temps (de toutes les façon, du temps vous en avez) mais, vous continuerez à souffrir de les voir ensemble.
C'EST FAUX.
Vous prenez vos désirs pour la réalité.
Votre mot d'ordre est de tout faire pour casser l'entente entre le Président et son Premier ministre mais c'est peine perdue.
Vous allez y perdre votre temps (de toutes les façon, du temps vous en avez) mais, vous continuerez à souffrir de les voir ensemble.
Le véritable problème de tfm c'est son directeur des programmes .
Nous sommes pour une presse responsable. Pas d'insultes, ni de propos ou faits orduriers. Respectez vos téléspectateurs et retaillez vos langues et vos plumes. Soyez plus objectifs et moins satiriques. On en a marre de vos reflexions basses, au-dessous de la ceinture et balayez d'abord vos cafards et vos cafardeux.
a partir de maintenant plus de TFM ni GFM
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
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Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Quand je lis les commentaires des sonkoistes, je comprends maintenant que nous avons des gens vraiment incultes et totalement déboussolés.
Ils sont déçus, mais ils le cache par des arguments tellement ridicules. Ils savent plus quoi dire, sinon des bêtises.
Le courage c'est de reconnaitre ses erreurs et de rectifiés.
Ils ont misés sur une personne a qui ils ont donnés leurs confiances, cette personne n'est visiblement pas à la hauteur, alors soyez courageux.
Sonko vous charge mettez vous devant le miroir pour voir qui vous êtes.
J’ai beau faire le tour des hommes politiques avec clarté et logique cependant Sonko est le seul qui m’inspire confiance et tant qu’il gardera cette ligne politique qui n’a jamais changé il aura toujours ma voix et celle de me famille. J’ai voté Sonko et seul Sonko.
Quelle impudence de la part de GFM d’oser répondre au tout-puissant (avec petit t et petit p) PM, l’honorable, le seul digne d’être écouté et dont les paroles sont saintes. Nous demandons au Procureur doit s’auto-saisir et de poursuivre toute la Rédaction de GFM pour réponse pédante et insolente envers une personne délégatrice des pouvoirs de l’Autorité. Sénégal dafa wara changé, di ngén yarou par force (oups)
TOI, TU ES UN CON, LES MOUTONS DE SONKO QUE DES ANALPHABETES POUR DIRE DES BETISES.
@la Redaction....Grand louper, ce n'est pas une question de vanite linguistique... fallait s'excuser, au lieu d'enfoncer le clou.......je cite: ..."Les autres continueront de faire ce pourquoi ils sont là : chercher, interroger, questionner, éclairer"....Eclairer?!!! pourquoi ne pas le faire avec votre chroniqueur?.....la deontologie du journaliste c'eteit de rappeler a Mr. Gadiaga ce que la justice a decide et mettre les points sur les i" ....
Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
Vous n'avez aucune raison, aucune à part d'être des fils de putes.
Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
Vous n'avez aucune raison, aucune à part d'être des fils de putes.
Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
Vous n'avez aucune raison, aucune à part d'être des fils de putes.
Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
Vous n'avez aucune raison, aucune à part d'être des fils de putes.
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C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
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Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
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C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
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Un joli texte plein de sens.
C'est une vraie replque.
Mais, tous ceux qui commentent pour insulter Sonko, ay domaram ngén.
Vous n'avez aucune raison, aucune à part d'être des fils de putes.
Moi j'ai boycotté GFM depuis hier soir.
moi j'ai boycottes depuis des plus de 1 an je les sui plus et je n’achète plus l'obs
moi j'ai boycottes depuis des plus de 1 an je les sui plus et je n’achète plus l'obs
moi j'ai boycottes depuis des plus de 1 an je les sui plus et je n’achète plus l'obs
moi j'ai boycottes depuis des plus de 1 an je les sui plus et je n’achète plus l'obs
Sonko doit se reposer, il a besoin d'un médecin.
Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
Sonko doit se reposer, il a besoin d'un médecin.
Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
Sonko doit se reposer, il a besoin d'un médecin.
Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
Sonko doit se reposer, il a besoin d'un médecin.
Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
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C'EST UNE URGENCE.
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C'EST UNE URGENCE.
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Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
Sonko doit se reposer, il a besoin d'un médecin.
Il doit être écarter de tout pouvoir de décision.
C'EST UNE URGENCE.
Ce groupe de presse ne sait pas qu'il est à sa fin
à force d'être lâche envers le peuple, à force de manipuler, à force de mentir, à force de s'enrichir sur le dos du peuple, à force d'utiliser votre presse comme un outil de pression vous avez fini de creuser votre propre tombe
vous êtes une presse dangereuse pour la stabilité de ce pays et par conséquent on doit vous dissoudre
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
Inutile de nous dire de les boycotter nous on sait ce que vous avez fait pour le Sénégal nous serons toujours derrière vous
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
Le combat n'est pas celui de l'Obs, mais de toute personne lucide, de tout citoyen soucieux de l'avenir du Sénégal ! Sonko, qui a pris le pouvoir sur les cadavres de 87 sénégalais dont 2 femmes brûlées vives, la destruction de milliers de biens privés et publics, la perte d'emploi incalculable, qui restera à jamais suspecté de viol à tout le moins de fornication avec au moins adji sarr, et qui traîne des choses très noires à partir du service des impôts et domaines. Ce gars qui, certainement, à pactisé quelque part avec le démon se permet de tenter de combattre un des plus précieux contre pouvoir en démocratie.
Non, mais, trop c'est trop !!!
Sonko est simplement décevant !
Soutien total à GFM et au médias
Ce texte de niveau très élevé, ne sera malheureusement pas compris par Sonko. Il n‘a pas le niveau intellectuel nécessaire à cela
Notre pays est définitivement mal barré!
Ha ça c'est sur,si on attaque un des plus grands groupes du pays alors le problème fait que commencer.
Ha ça c'est sur,si on attaque un des plus grands groupes du pays alors le problème fait que commencer.
Bcp de fautes, tres mediocre. Niveau 3ieme comme votre partenaire Gadiaga
Osez Vous regarde Dan's in mirror et assume vos lacunes.Votre ligne editorials nest en Rien neutre ou desinteresse.le griottisme et la chasse aux honneurs nest pas du journalisme
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
vous avez tué immam alioune ndao .Vous etes des imbeciles
SONKO a parfaitement raison! GFM C'EST 40% DES DETTES TOTALES DE LA PRESSE SOIT 16 MILLIARDS SUR LES 40 MIILIARDS! Quel était le prix à payer! ETEINDRE PASTEF. Les Sénégalais ont dit non!
Mentir Mentir, encore mentir et il en restera toujours
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
Yaw xana boycotto waro sakh commenté niou xol
sonko wokhi dof rek.
Ce texte de niveau très élevé, ne sera malheureusement pas compris par Sonko. Il n‘a pas le niveau intellectuel nécessaire à cela
Notre pays est définitivement mal barré!
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
Pourtant cette poubelle GFM fermait sa bouche quand le gourou traitait son objet sexuel de guenon..
Bien que le gourou, leur pisse dessus...dans ce bled de griots personne n'a de principe...
Votre désaxé du our veut vous mettre profond comme il le faisait à Sweet Beauté et aucune tête ne doit dépasser, sinon fin du match version Samuel Doe...
les sénégalais ont déjà boycotté ce media mensonge dont les journalistes et chroniqueurs préfèrent leurs poches à la patrie!
On reconnait très bien les vecteurs du mensonge, de la manipulations et des insultes!
Si tu es courageux identifie toi. Y a que les froussards qui profitent de l anonymat pour insulter les gens.
Soutien total à GFM
Badolo khamoul ndiowane dit-on !!!!
Ce gars est tout simplement indiscipliné, égocentrique mégalo et narcissique. Il se croit tout permis et pense avoir le pouvoir d'imposer aux Sénégalais ses caprices d'enfant gâté : toujours là à pleurnicher , jamais il n'assume sa responsabilité. et Dieu sait que cette responsabilité est grande envers le peuple sénégalais qu'il doit tout.
Malgré tous les torts qu'il a causé au Sénégal le voilà encore et encore faire l'enfant gâté comme si le Sénégal était un titre foncier de son papa.
Abdoulaye Wade disait que certaines têtes ne peuvent pas supporter le pouvoir, ça les rend fou !!! - lui il en est un parfait exemple et j'ai actuellement pitié de toutes ses personnes qui pensaient enfin détenir la perle rare qui va leur tirer de la galère.
on critiquer la volonté de Wade ou Macky de faire un 3ème mandat, nous voila maintenant avec un enfant gâté qui rêve de transformé la République du Sénégal en Royaume sous sa magistère.
on vous avez pas dit de boycotter ? ne venez pas commenter . khe khe khe khe ........Celui qui empechera le soleil de briller n est pas encore ne ni ses parents . suivez mon regard
Jeviens de m' abonner à leur differends pages et moi qui ne regarde plus les émission télé depuis trés longtemps, je vais suivre ce soir pour la premiére fois Jarkarlo.On est pas en Coree du nord ou Iran, ici c'est le sénégal!!!!
Il faut être un ennemi assumé du pays pour clamer son soutien à un groupe de presse qui œuvre ouvertement à sa destruction
@12h25
Un pantalon souillé n'a point besoin d'être terni, il est déjà sale.
Comprenne qui pourra !!!!
Texte sûrement rédigé en meute, pas de quoi bomber le torse.
Gfm ne fait pas dans la contrariété ou la critique, il fait dans la diffamation et le mensonge, pire, il est ouvertement tendancieux sur tout ce qui touche le régime de pastef, tendancieux au point de n'assurer des places fixes dans ses émissions qu'à des ennemis de Pastef.
Gfm ment quand il prétend être ouvert à toute sensibilité politique puisqu'il à toujours refusé aux autorités de l'aser une tribune pour répondre aux inepties de TAS et ses acolytes honnis par les électeurs sénégalais.
Faudra assumer et ne pas aller pleurnicher partout quand vous aurez à faire face à votre banditisme fiscal ou à votre médiocrité journalistique.
Merci beaucoup de cette réplique. Sonko khamoul bopam
JE NE VOUS LIS PAS
boycotter la TFM
Le clien sent qu'il est en train de perdre les réseaux sociaux.
Le client sent qu'il va périmer avant 2029
C’est toi au contraire qui ne sait absolument rien du tout.
SONKO à bien compris ce qu'est le système. Dans tous les pays on trouve une presse de l'opposition.
TRUMP à fait la même chose pour des journaux faiseur de président.
SONKO à bien compris ce qu'est le système. Dans tous les pays on trouve une presse de l'opposition.
TRUMP à fait la même chose pour des journaux faiseur de président.
La presse doit informer mais les opinions sur la politique réservée aux politiciens
Bof...
Est-ce que le président Wade n'avait pas raison?
Je préfère mille fois un patriote sénégalais
qu'a un franc-maçon qui détient une organe de presse
Bien rédigé !! Le journalisme n’est pas mort !
Apprenez L'ARABE ou bien L'ANGLAIS à distance et en un temps record.
Suivi personnel, méthode douce selon votre rythme.
CONTACT e-mail : senprof2024@gmail.com
Comme c'est ́lui qui sera comptable de son mandat il a le droit de dénoncer ceux qui entravent son projet.
Je vois en lui quelqu'un qui ne veut un échec pour les promesses faites
GFM est constant dans la manipulation, la désinformation et la fabrique de faits qui n'existent pas. Il ment sciemment pour nuire particulièrement à Ousmane Sonko. C'est une ordure à traiter comme elle est
C'est ce torchon de L'Observateur qui a fait le sale boulot contre l'Imam Ndao, le traînant dans la boue en l'accusant de terroriste international. C'est ce même journal qui a toujours fait le sale boulot contre Khalifa Sall et Karim Wade. Youssou Ndour et Bougane, ce bougre d'âne, ont créé des torchons uniquement pour s'enrichir. Youssou Ndour et L'Observateur doivent être poursuivis pour l'assassinat de l'Imam Ndao. Ces vauriens sont prêts à tout pour des espèces sonnantes et trébuchantes, de vrais badoleus jamais rassasiés. J’ai commencé a boycotter GFM en mars 2021
« Ceux qui veulent me faire passer pour le méchant et lui pour le bon se trompent. Diomaye est mon frère, mon ami. Je ne convoite pas sa place. »
Un aveu de taille, ton subconscient te trahit. Si tu l’évoque c’est parce que tu y penses.
Le Sénégal ne mérite pas ça. Réveillez vous, il n y pas de honte à reconnaître s’être trompée en les votant au pouvoir. Il est pas encore trop tard de rectifier. Le Sénégal ne mérite pas cet énergumène, ce pervers, ce psycho.
Non monsieur le groupe futur médias ne devrait pas répondre au pm Mr Youssou Ndour est un patriote républicain.ceix qui veulent mettre en mal le pouvoir avec lui n'y parviendront pas
Qu ils boycotter, c est leur problème.Comme youssou ne répond jamais aux procations, Il est temps dailleurs que Bouba ndour et sa famille remettent cette personne jalouse et a méchant a sa placer Finalement le gars se prend pour Dieu parce que tout le monde le laisse faire et dire ce qu il veut.
Mane dé, je ne me rappelle pas d'un mea culpa de Gfm sur l'affaire tullow oil.
Je me rappelle surtout de Aissatou Diop Fall, libre antenne. Yerim Seck, libre antenne, Birima Ndiaye, libre antenne. Badara, libre antenne... tous sponsorisés ou "dioutal" par macky et/ou ses proches. Cela n'a jamais empêcher PROS à arriver là où il est aujourd'hui.
Si vous considèrez que vous n'êtes pas infaillibles, acceptez qu'à la longue on dirait du mataye. Et seul un PD seeait là à vous caresser après tout ce que vous lui avait fait.
Shap shap
Shap shap
Shap shap
Cette presse du système est une honte. Si voulez un non boycott alors soyez professionnels et faire avec déontologie et sincérité
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