Candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle, Mansour Ndiaye, s’est défini comme le leader d’"une troisième voie" sur l’échiquier politique, loin des intrigues entre pouvoir et opposition.
‘’J’incarne la volonté manifeste des forces communautaires, politiques et citoyennes au Sénégal et au sein de la diaspora qui aspirent à une troisième voie’’, a dit à la presse M. Ndiaye qui animait un meeting, samedi à Ross-Béthio (nord), son terroir.
Dans ce combat, il se dit accompagné par ‘’plusieurs experts, fils du pays, basés au Sénégal ou dans la diaspora et des anonymes, pour aucune implication dans cette "théâtralisation" politique entre pouvoir et opposition’’.
‘’Ces partenaires, indique-t-il, œuvrent avec nous à l’élaboration d’un programme politique consistant pour sortir notre chère nation de cette turbulence dans laquelle elle est plongée et ressusciter l’espoir dans le cœur de nos compatriotes.’’
Expert financier en microfinance, M. Ndiaye, ancien de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB) affiche sa résolution et celle de son équipe de prendre à bras le corps les difficultés auxquelles sont confrontées les populations du Walo, son terroir, et propager les combats dans le reste du Sénégal.
‘’Un défi qui, ajoute-t-il, sera traduit en réalité concrète car, nous allons apporter des réponses effectives aux problèmes de l’agriculture, de l’éducation et du chômage chronique qui touche la majorité des jeunes.’’
Mansour Ndiaye a lancé un appel au président Abdoulaye Wade dans le sens de renoncer à un troisième mandat pour ‘’qu’il aille se reposer et redonner espoir au peuple sénégalais qui ne compte plus sur lui pour régler ses problèmes’’.
L’élection du 26 février prochain se tiendra dans un contexte de crises multiformes qui secouent le Sénégal, lit-on dans le dossier de presse concocté par son service de communication, affirmant que ‘’les Sénégalais aspirent à un changement qui devra être le fruit d’un construit collectif’’.
Pour porter un tel challenge, le candidat Mansour Ndiaye a choisi comme slogan : "La force de l’espoir ou Dooley yaakaar". Dans un fort élan de rassemblement des forces démocratiques, le candidat dit incarner une idéologie centriste, pour une véritable alternative au Sénégal.
23 Commentaires
Chif
En Juin, 2011 (14:58 PM)La Censure A Commencé?
En Juin, 2011 (15:22 PM)Pedro
En Juin, 2011 (15:26 PM)For God Sake you don't need to be PResident to help Senegal, le movement Y'en a Marre est patent... Comme on Y'en a Marre go for the President job vacancy....
Caporal Diedhiou
En Juin, 2011 (15:30 PM)Publié le lundi 20 juin 2011 | L'intelligent d'Abidjan
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Reportage à Abidjan dans une ville dévastée par la guerre civile où des milliers d`armes ont été distribuées à de jeunes miliciens
- France2 - 24/4/2011
Dossier
Crise post-électorale 2011
L’écrivain Cheikh Hamidou Kane, l’auteur de ‘‘L’aventure ambiguë’’ a, dans une interview publiée sur SlateAfrique, salué l’intervention des soldats français dans la crise ivoirienne. Ci-dessous un extrait de cet entretien.
Compte tenu de ce qui s’est passé en Guinée, en Côte d’Ivoire et de ce qui risque de se passer en République démocratique du Congo (RDC), peut-on considérer que les élections sont toujours la panacée en Afrique?
Les élections représentent bien la solution. Les bailleurs de fonds et les nations occidentales ont raison d’exiger des élections des leaders africains actuels, qui se réclament de la démocratie mais trichent avec ces réalités. Le tout n’est pas de dire qu’on est démocrate. La démocratie suppose l’existence de contre-pouvoirs, dont bien des leaders politiques africains ne veulent pas. Les populations sont parfaitement mûres. En Côte d’Ivoire, 54% des gens se sont prononcés pour un candidat qui n’était pas Laurent Gbagbo, malgré sa présence au pouvoir pendant dix ans et l’instrumentalisation des différences ethniques et religieuses. La même chose s’est passée en Guinée. Les peuples sont prêts à pratiquer la démocratie et leur aspiration va aller crescendo. Le printemps arabe a montré comment des jeunes ont imposé la révolution. Des jeunes qui ont vécu sous des régimes plus dictatoriaux qu’en Afrique noire.
Va-t-il y avoir un effet de contagion?
Non, mais un effet qui procède d’un mouvement démographique. Dans tous ces pays, en Afrique noire plus encore que dans les pays arabes, les jeunes sont devenus les plus nombreux. Dans quelque temps, la jeunesse africaine sera la plus nombreuse du monde. Il faudra qu’on règle ses problèmes, qu’on l’éduque, qu’on la soigne, qu’on lui trouve du travail.
On ne peut plus laisser ces jeunes errer de ville en ville, errer de continent en continent, aborder les frontières de l’Europe et se faire refouler. Cela ne peut plus continuer.
Aurait-il fallu faire une transition plus longue en Guinée et laisser à la société plus de temps pour se réformer, créer des partis politiques dotés de véritables programmes?
Encore une fois, les peuples sont prêts et comprennent ce qu’est l’alternance politique. Ce sont les leaders politiques modernes qui trichent. Ils trichent avec la règle démocratique qu’ils ont apprise en Occident, mais qu’ils n’utilisent que dans la mesure où elle les arrange, sans les contre-pouvoirs qui font toute la valeur de la démocratie. Les pouvoirs exécutif, parlementaire et judiciaire sont tous repris chez nous dans les mêmes mains présidentielles.
Cela ne peut plus durer. Les peuples n’ont pas besoin qu’on leur fasse des dessins. Je trouve tout à fait valable cette ingérence des pays du Nord et des Nations unies dans les processus électoraux de nos pays. Je ne suis pas de ces intellectuels qui disent que c’est une nouvelle domination de l’Occident sur les anciennes colonies. Ce n’est pas vrai.
J’applaudis des deux mains à ce devoir d’ingérence et aux contrôles qui sont faits. Les gens qui n’en veulent pas, ce sont des tricheurs!
Laurent Gbagbo avait donné son accord pour faire des élections avec l’aide des Nations unies. Au dernier moment, il n’a pas voulu en accepter les résultats.
Avez-vous été déçu par Laurent Gbagbo?
Doublement déçu, parce que Gbagbo n’est pas un président comme les autres. Cet ancien professeur d’université appartient à l’élite intellectuelle. Avant d’accéder au pouvoir, il était pour l’unité africaine, les Etats-Unis d’Afrique et la démocratie. Il a suffi qu’il soit élu pour tourner le dos à tous ces idéaux, pratiquer une politique différente et s’accrocher au pouvoir.
Après deux mandats, dont le deuxième était confisqué, il a voulu rester à la tête du pays, au risque d’entraîner une guerre civile en Côte d’Ivoire. Il a contraint les Africains à avoir recours à l’armée française pour arbitrer le jeu. Cela, de la part d’un intellectuel comme lui, qui prétend être nationaliste…
Est-ce impardonnable?
C’est impardonnable d’avoir triché au point d’avoir obligé les Nations unies et la France à intervenir!
Qu’avez-vous pensé de ces tentatives de médiations africaines qui ont toutes échoué en Côte d’Ivoire?
Elles ont montré l’inefficacité des structures politiques africaines. C’est un échec de l’Union africaine (UA), dans une certaine mesure, malgré la place importante qu’ont joué des organisations sous-régionales comme la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Qu’avez-vous pensé de l’intervention militaire française pour arrêter Laurent Gbagbo?
Elle était nécessaire dans la mesure où, pendant les dix ans où Laurent Gbagbo a exercé le pouvoir, il n’a pas cessé de détourner les ressources budgétaires et le produit de la vente du café et du cacao pour acheter des armes lourdes. Il a armé des milices, en infraction avec les accords de paix qui avaient été signés. De l’autre côté, au Nord, les gens se sont aussi armés, avec moins d’armes lourdes cependant. Si on avait laissé Gbagbo faire, non seulement il aurait contesté les résultats qui lui étaient défavorables, mais il aurait aussi massacré les populations. Il a bien fallu faire intervenir des armées qui avaient les moyens de détruire les armes lourdes aux mains du régime de Laurent Gbagbo. Les Nations unies et la France ont eu tout à fait le droit d’intervenir pour empêcher un génocide. Je regrette que ce soit dû à l’obstination de Gbagbo à pousser la tricherie jusqu’au bout.
La crise ivoirienne n’est-elle pas imputable à feu Félix Houphouët-Boigny, qui a laissé pousser les graines de la discorde et n’a pas bien réglé la question de sa succession?
Au moment où les Français étaient contraints de donner la liberté et l’indépendance en Afrique, Félix Houphouët-Boigny a été le porte-parole de ceux qui ont voulu qu’on ne donne pas l’indépendance à deux fédérations regroupant plusieurs pays de l’Afrique occidentale et équatoriale…Senghor [le premier président du Sénégal, ndlr] avait milité pour cette solution, mais Houphouët-Boigny - trompé en cela par le colonisateur français, qui voulait partir sans partir - a préconisé l’indépendance pays par pays. Il a dit à l’époque qu’il n’y avait pas de raison que la Côte d’Ivoire soit «la vache à lait de l’Afrique occidentale française». Pourtant, la Côte d’Ivoire a été découpée par le colonisateur français et se trouve faite de morceaux de territoires pris à gauche et à droite. Il est injuste de dire que la Côte d’Ivoire est la propriété des gens du Sud. Si elle devenue riche comme elle l’est, c’est parce qu’elle a fait venir des populations du Nord pour travailler dans les plantations de café et de cacao. Depuis qu’elle existe, elle s’est faite ainsi. Houphouët est à l’origine de la marche solitaire de la Côte d’Ivoire par rapport aux autres pays…
Est-il aussi responsable de la marginalisation politique des populations du Nord?
Il a créé un parti politique fédéral, le RDA, où des gens du Nord ont joué un rôle important. Ce parti existait aussi au Soudan français (l’actuel Mali), en Guinée et jusqu’au Tchad. Je ne comprends pas que ce dirigeant, qui a construit sa notoriété et sa force politique sur une dimension fédérale, se soit ensuite retranché dans les frontières de la Côte d’Ivoire. L’ivoirité, ce n’est pas viable. La Côte d’Ivoire ne peut jouer son rôle que si elle s’entend avec les populations et les pays voisins. Au sein de l’UEMOA, la Côte d’Ivoire a une place prépondérante, mais ce n’est possible que s’il y a une économie intégrée…
N’est-ce pas ironique, d’avoir une crise de cette ampleur, l’année du cinquantenaire des indépendances?
Cette indépendance ne sera complète que lorsque les Africains auront créé un pouvoir politique fédéral ou confédéral…
Vous y croyez vraiment?
J’y crois! La CEDEAO est une étape sur ce chemin. Si cet ensemble avait été doté d’une monnaie et d’une armée, elle aurait pu intervenir en Côte d’Ivoire. Il vaut mieux former les contingents de la Brigade de surveillance du cessez-le-feu de la Cédéao (Ecomog), qui existent déjà, pour intervenir dans les conflits internes au continent africain et aider à le protéger des incursions terroristes de tout bord, notamment ceux dans le Sahara. Il faut donner une force militaire importante, des outils, des armes et leur permettre de se poser en arbitre.
Candidat
En Juin, 2011 (15:36 PM)Dasa
En Juin, 2011 (15:36 PM)Undefined
En Juin, 2011 (15:57 PM)Undefined
En Juin, 2011 (16:09 PM)Boul Doff
En Juin, 2011 (16:17 PM)Undefined
En Juin, 2011 (16:35 PM)Saer
En Juin, 2011 (16:37 PM)Reply_author
En Avril, 2022 (20:09 PM)Dégueulasse!
En Juin, 2011 (17:00 PM)Si vous n'êtes pas capable de choisir des habits à votre mesure, comment pouvez-vous briguer les voix du peuple?
Un peu de sérieux waay!
Sweetmbourgueth
En Juin, 2011 (17:09 PM)Deeeee
En Juin, 2011 (17:38 PM)Uncitoyen
En Juin, 2011 (06:44 AM)Pour l'avoir connu, je peux vous dire(sans prétention de faire campagne pour lui) que voter pour ce monsieur peut s'avérer intéressant:
1.D'abord Il a le bon profile
2.Ensuite c'est quelqu'un de juste => donc pas de détournement une fois au pouvoir
3.Il connait les réalités des sénégalais
4.Il se démarque des aspirations politiques et politiciennes => donc pas de parti pris une fois au pouvoir
5. C'est un As en matière d'économie & finance => chose non moins importante
6. Il ne cesse de faire preuve de patriotisme et d'une très grande ambition à l'égard de son pays (il n'y a qu'à voir ses réalisations)
7. Et enfin c'est tout simplement un grand monsieur (faisons l'effort d'essayer de le connaitre davantage) capable de remettre ce pays sur les bons rails... croyez moi !!
Que ce soit lui, ou I Fall ou d'autres patriotes dotés d'une bonne morale et d'une ferme ambition de servir leur peuple et ce dans un désintéressement le plus total, c'est de ceux là dont le Sénégal a besoin.
Je pense que Wade et Cie doivent nous servir de leçon. D'ailleurs je doute fort que la classe politique actuelle ceux là qui n'ont actuellement comme profession que la politique et qui n'hésitent pas à se "manger" pour assouvir leur soif tout en prenant le peuple pour des demeurés et qui n'ont que l'interêt personnel et familiale comme principal mobile, je ne pense pas que ceux là soient l'espoir du Sénégal
Vérité
En Juin, 2011 (11:00 AM)Citoyen91
En Juin, 2011 (17:14 PM)Garmie Walo
En Juin, 2011 (17:39 PM)Après l'expérience vécue avec les POLITICIENS... le peuple sénégalais doit se tourner vers des gens comme ce monsieur pour donner la chance au Sénégal à pouvoir aspirer au développement.
Pour l'avoir connu, je peux vous dire(sans prétention de faire campagne pour lui) que voter pour ce monsieur peut s'avérer intéressant:
1.D'abord Il a le bon profile
2.Ensuite c'est quelqu'un de juste => donc pas de détournement une fois au pouvoir
3.Il connait les réalités des sénégalais
4.Il se démarque des aspirations politiques et politiciennes => donc pas de parti pris une fois au pouvoir
5. C'est un As en matière d'économie & finance => chose non moins importante
6. Il ne cesse de faire preuve de patriotisme et d'une très grande ambition à l'égard de son pays (il n'y a qu'à voir ses réalisations)
7. Et enfin c'est tout simplement un grand monsieur (faisons l'effort d'essayer de le connaitre davantage) capable de remettre ce pays sur les bons rails... croyez moi !!
Le temps tranchera et la verité choisira les bouches qui la parleront. Inutil de chercher à convaincre les gens. ils accepterons Mansour Ndiaye aussitot qu'ils l'auront suffisamment connu car ils ont accepté Abdoulaye Wade sans l'avoir suffsamment connu. ils l'ont accepté en 2000 par espoir qu'l ferait l'affaire. Les sénagalais aiment le bien. je vois le peuple l'acceillir à coeur ouvert et le contraire nous aurait étonné. soyons patients et nous verrons qui il est et qu'est ce qu'il est capable de faire. je l'ai connu et je l'ai suivi dans l'action. je ne dirais tout ce que je sais de lui et de son action au risque de passer pour ridicule et de faire de la propagande. je me contente à oeuvrer pour son accession au pouvoir. Que ceux qui un lueur d'espoir en lui se mobilsent.
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
voila un homme intégre que je connais bien et qui est aussi expert en matiere de dirigeant. je demanderai a tous les jeunes de bien vouloir voter pour MONSIEUR MANSOUR NDIAYE
Div
En Juin, 2011 (19:08 PM)Psyd
En Juin, 2011 (10:07 AM)Si vous vous engagez à diriger le pays avec la même abnégation et le même engagement que celui que vous avez toujours fait montre, votre candidature ira très loin.
Je t'encourage et te souhaite beaucoup de chances. Je suis même disposé à battre campagne avec toi bien que je ne sois politicien. Mais pour la bonne cause, tout bon citoyen est prêt à s'engager.
Casa
En Juillet, 2011 (20:31 PM)Nous attendons ton programme
Am
En Août, 2011 (22:55 PM)Patriotee 1
En Décembre, 2011 (01:05 AM)Participer à la Discussion