À quelques heures de l'ouverture de la campagne électorale pour le scrutin législatif du 17 novembre prochain, le parti Pastef a dévoilé, ce vendredi, les membres de son directoire de campagne. Celui-ci, dirigé par Fadilou Keita, est composé de ministres de la République, de directeurs généraux et de hauts cadres du parti, notamment dans le pôle "Débatteurs" où l'on trouve de grands orateurs comme le Dr Abdourahmane Diouf et Dame Mbodj. Pour la commission chargée des "Stratégies", il y a des ténors comme Boubacar Kamara et Mary Teuw Niane, entre autres.
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10 Commentaires
Tira 18
En Octobre, 2024 (12:46 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (13:26 PM)Ha ha ha
Les sénégalais comme moi sont pressés de vous remettre à votre place
Golden Sentinelle
En Octobre, 2024 (14:53 PM)Nagi
En Octobre, 2024 (13:08 PM)Azele
En Octobre, 2024 (13:20 PM)Dans le paysage politique actuel du Sénégal, l’opposition semble s’enliser dans une spirale de provocation et d’insultes, un contraste frappant face au mouvement structuré et vigoureux incarné par le Pastef, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko. Cette situation, pour le moins inattendue, illustre bien une opposition désemparée, privée d’arguments solides, et ne trouvant d’autres moyens d’expression que dans la contestation stérile et l’outrage public. Comme l’écrivait Voltaire, « lorsqu’on n’a pas la force, il faut avoir la ruse », et c’est bien à ce type de manœuvres que recourt aujourd’hui l’opposition sénégalaise.
Parmi les figures les plus tristement médiatisées, Bougane Gueye alias nénou bakhal se distingue par des tentatives répétées de défier les forces de l'ordre, des actes qui apparaissent moins comme des contestations sincères que comme des coups d’éclat calculés, visant surtout à attirer l’attention. Cette stratégie de provocation, qui n’est pas nouvelle en politique, rappelle certaines figures mondiales ayant tenté de tirer parti de l’arrestation et de la persécution pour gagner en légitimité. On peut songer, par exemple, aux techniques de confrontation adoptées par certaines oppositions dans des régimes autoritaires, bien que la situation sénégalaise n’ait rien de comparable.
Ensuite, il y a Barthélémy Dias, dont les propos sont qualifiés par plusieurs observateurs comme les plus outranciers de l’histoire récente du Sénégal. Les insultes et invectives proférées dans le cadre d’un discours politique relèvent souvent de la faiblesse argumentative. Selon Aristote, « l’homme vertueux vise la vertu dans ses paroles et ses actes, et non le vice », rappelant ainsi que le discours politique doit être empreint d’élévation et de respect. Face à cela, les dérapages verbaux de Dias témoignent d’une opposition qui peine à convaincre et préfère la force du verbe à celle des idées.
Quant au petit poucet Pape Djibril Fall, surnommé « Pape Dey Fenn » par ses détracteurs, sa campagne est accusée de véhiculer des inexactitudes manifestes, sans fondement véritable. « Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité l’escalier », dit un proverbe, rappelant que les contrevérités ne sauraient durer. La politique de l’opposition se réduit ainsi à des rumeurs infondées et à des scandales fabriqués, laissant entrevoir une stratégie qui n’échappe pas à l’analyse des Sénégalais, désormais aguerris face aux discours de manipulation.
Cette stratégie de contestation trouve ses limites face à l’élan populaire généré par le Pastef. Le récent meeting de levée de fonds, une première dans l’histoire du Sénégal, a témoigné de la popularité croissante du Premier ministre Ousmane Sonko. Alors que l’opposition se perd dans des attaques sans fondement, le gouvernement actuel avance avec des mesures concrètes et une vision renouvelée, consolidant ainsi la confiance du peuple. À ce rythme, les prochaines élections de novembre risquent de devenir une véritable « promenade de santé » pour Ousmane Sonko et son parti, tant leur popularité et leur dynamique de campagne semblent inarrêtables. Il ne serait d’ailleurs pas surprenant de voir le Pastef franchir la barre symbolique des 150 députés.
Un autre acteur, qui pourrait néanmoins tirer son épingle du jeu bien que de manière plus discrète, est Amadou Ba. Bien que son score risque d’être limité face à la marée du Pastef, il se distingue par un discours empreint de cordialité et de calme, loin des méthodes provocatrices des autres figures de l’opposition. Son approche plus mesurée pourrait lui valoir un respect accru, même s’il n’est pas attendu qu’il remporte des victoires significatives face à l’élan Pastef.
Enfin, pour ajouter à cette campagne d'opposition, certains acteurs médiatiques comme Adama Gaye et Yerim Seck, usent d’articles empreints de diffamation et de calomnies, en usant des mêmes recettes qui n’ont cependant plus l’effet escompté. Ces manœuvres sont typiques de stratégies de déstabilisation que l’on observe à travers le monde, mais elles se heurtent, comme l’a observé l’écrivain George Orwell, « aux faits qui sont têtus ». Malgré ces attaques, l’adhésion populaire au Pastef reste inébranlable, marquant une dynamique que les tentatives de l’opposition ne parviennent pas à enrayer.
Ainsi, alors que l’opposition semble déterminée à se placer dans la contestation permanente et les excès verbaux, elle se heurte à un bloc solide et résolu. L’actuelle administration, consciente des défis et des attentes, poursuit son chemin avec une confiance renouvelée. Cette opposition, dans son incapacité à présenter des solutions alternatives concrètes, s’évertue dans des actions qui ne font que renforcer la popularité et la légitimité du gouvernement.
Var
En Octobre, 2024 (13:38 PM)Donc comme l’ancien système, ils laisseront leur bureau vide pour s’occuper de la campagne pour les législatives.
Jeune bou fi topp politiciens t begn dem liguey , y’a ngui tardel se bop.
Senegalais Lambda
En Octobre, 2024 (14:23 PM)Participer à la Discussion