« Ce Plan n’est pas réaliste », a déclaré l’économiste Dr Souleymane Astou Diagne. L’enseignant-chercheur, invité de l’émission Objection de ce dimanche sur Sud Fm, juge les objectifs fixés -notamment sur la baisse du déficit- inatteignables à court terme. « Baisser le déficit à 3% en 2027, ce n’est pas possible », souligne-t-il.
« Dire qu’on sera à 3% du Pib en 2027 ce n’est pas réaliste parce que notre endettement est à 119% du Pib et la moitié de notre budget est empruntée. Ce qui veut dire que sur les trois prochaines années, l’État du Sénégal ne doit pas emprunter un seul franc si on veut que le déficit soit sous la barre des 3% », indique l’économiste qui invite le tandem Diomaye-Sonko à porter le débat sur la modification des indicateurs de convergences macro-économique au sein de l’Uemoa.
« Ils (ces indicateurs) ont, estime-t-il, un caractère récessif dans l’économie. C’est un masque qui empêche nos économies de se développer ».
« Le secteur tertiaire ne pourra pas supporter une fiscalisation supplémentaire »
Ce qui a davantage douché ses espoirs dans ce Plan qui a été présenté, c’est la fiscalisation supplémentaire du secteur tertiaire sur laquelle repose toute la planification. A l’en croire, la situation économique des ménages et des entreprises sénégalaises est déjà très fragile. Par conséquent, souligne-t-il, « je ne crois pas qu’ils puissent supporter une fiscalisation supplémentaire ».
« La note de conjoncture économique de l’Ansd nous montre qu’il y a un recul des activités de service de 15% et nous sommes dans une économie où c’est le secteur tertiaire (les services) qui est le principal moteur. Cela montre que si on poursuit dans la logique d’avoir 33% de suppléments de fiscalisation, cela va créer des problèmes », argue-t-il. En plus, note-t-il, « le chef du gouvernement n’a pas décliné les mécanismes de couverture aux risques conventionnels (fluctuation des cours du pétrole) et non-conventionnels (guerres, catastrophe naturelle) ».
Agenda de transformation, New deal technologique, programme budgétaire pluriannuel…à quel Plan se vouer ?
Très critique dans son analyse, Dr Souleymane Astou Diagne s’est également interrogé sur la prolifération des documents de planification. Depuis 16 à 17 mois, indique-t-il, « le Plan de redressement présenté ce vendredi est le quatrième document de planification issu des laboratoires du gouvernement du Sénégal ». « La question que je pose au premier ministre est de savoir lequel parmi ces documents est le référentiel des politiques économiques ? », lance-t-il.
« Ils (Ousmane Sonko et son gouvernement) nous ont présenté l’agenda de transformation nationale chiffré à 18 496 milliards CFA. Le gouvernement nous a également présenté le New Deal technologique chiffré à 1105 milliards CFA. Troisièmement, il y a le document de programmation budgétaire et économique pluriannuel (2026-2029) chiffré à 19 364 milliards CFA dont 16 000 milliards mobilisés de manière endogène. Le gouvernement doit clarifier une chose : sommes-nous dans une logique d’addition, de soustraction ou de multiplication de tous ces plans ? On a besoin de savoir quel est le fil conducteur », conclut-il.
Les gens lucides savent que le Sénégal va droit dans le mur...La multiplication de plans, ceux qui existent réellement, montre que le PM est complètement dépassé. Ce plan n'est qu'une diversion !
Répondre à Nit
Contribution il y a 4 semaines
J’aimerais apporter quelques clarifications ici car je pense qu’un doit être capable de faire un discernement entre déficit budgétaire et endettement. Bien que liés dans une certaine mesure cela n’empêche pas de réduire le déficit budgétaire de manière soutenable sans pour autant impacté le prix des denrées essentielles à la population. Tout d’abord j’aimerais qu’on revienne à la définition de chaque concept. Déficit budgétaire : C’est lorsque les dépenses de l’État dépassent ses recettes sur une période donnée (souvent une année).
Taux d’endettement public : Représente la dette publique en pourcentage du PIB (Dette/PIB). Est-ce que le taux d’endettement peut empêcher de réduire le déficit budgétaire ?
Oui, indirectement. Pourquoi ?
Service de la dette élevé : Plus la dette est élevée, plus les intérêts à payer (charges de la dette) sont importants. Cela réduit la marge budgétaire pour d'autres dépenses utiles (santé, éducation…).
Moins de flexibilité budgétaire : L’État est contraint de maintenir certaines dépenses (remboursements), ce qui rend difficile la réduction du déficit sans toucher aux dépenses sociales ou sans augmenter les impôts.
Par contre c’est très faisable malgré tous ces contraintes en faisant quoi?
Voici quelques leviers d’action réalistes :
1.Augmenter les recettes publiques
Réformes fiscales : élargir l’assiette fiscale, améliorer la collecte des impôts, réduire l’évasion fiscale.
Lutte contre l’économie informelle pour intégrer plus d’activités au système fiscal.
Privatisations ciblées d’entreprises publiques non stratégiques.
2. Réduire les dépenses inefficaces de l’Etat
Réformes de subventions : passer des subventions générales (carburant, électricité) à des aides ciblées aux plus vulnérables.
Réduction du train de vie de l’État : rationalisation des dépenses publiques, audits, lutte contre la corruption.
3. Favoriser la croissance économique
Une croissance plus forte augmente le PIB, donc améliore mécaniquement le ratio dette/PIB et les recettes fiscales.
Investissements dans les infrastructures productives, l’éducation et la transition énergétique.
4. Mobilisations des ressources et fonds disponibles localement ou dans la sous région. Et en dernier recours sollicité les fonds provenant des accords internationaux de soutien budgétaire
Négocier des prêts concessionels ou des allègements de dette avec des institutions comme le FMI ou la Banque mondiale en échange de réformes.
Comme vous le constater toute ses mesures ont été présentées par le premier ministre Ousmane Sonko et son gouvernement avec des chiffres à la clé bien détaillés. Donc si on m’aime notre cher pays le Senegal nous devons nous associer à eux pour travailler pour nous sortir de cette situation à laquelle nous positionner les régimes précédents. En bref si j’étais à la place du Monsieur je m’abstiendrai de tous commentaires car étant comptable de ce qu’on ai entrain de vivre présentement au moins faire des critiques objectifs avec des vrais chiffres pas du verbiage qui montrent vos limites intellectuelles ou méchanceté gratuite envers le peuple qui t’a tant donné. Wassalam!
Répondre à Contribution
Blankagiga il y a 4 semaines
Monsieur Diagne, votre "analyse" n'est rien d'autre qu'un ramassis de pessimisme et de contradictions. Vos critiques, prétendument "académiques", ne sont que des coups de poignard politiques déguisés.
Laisser les chiffres parler ? Faisons-le.
Vous vous dressez en chevalier blanc des chiffres, mais votre propre raisonnement est illogique. Vous affirmez que réduire le déficit à 3% est impossible parce que nous ne devrions "pas emprunter un seul franc". C'est un argument d'une naïveté déconcertante. Pensez-vous qu'un État se gère en coupant toute source de financement du jour au lendemain ? Les emprunts sont parfois nécessaires pour investir et stimuler la croissance. Votre proposition est une recette pour la stagnation, pas pour le redressement.
Et cette idée de "remettre en question" les indicateurs de l'UEMOA ? C'est de l'irresponsabilité pure. Le Sénégal est-il censé se comporter comme un électron libre, ignorant les règles de convergence régionales, au risque de compromettre sa place au sein de l'Union ? Vous proposez une fuite en avant au lieu d'une gestion rigoureuse.
La fiscalisation, un drame ou une nécessité ?
Vous faites la moue devant la fiscalisation du secteur tertiaire, la présentant comme une catastrophe imminente. Mais avez-vous une meilleure idée ? L'économie ne se développe pas par magie. Les services publics, les infrastructures, tout cela coûte de l'argent. Et cet argent, il doit bien venir de quelque part. Il est temps que chacun contribue équitablement au développement du pays, y compris les secteurs qui ont trop longtemps échappé à la fiscalité. Vos lamentations sur la "fragilité" des entreprises sont déconnectées de la réalité d'un État qui a besoin de ressources pour se transformer.
La prolifération des plans, un faux problème.
Enfin, votre dernière critique sur la "prolifération" des documents de planification est tout simplement ridicule. Un "agenda de transformation", un "New Deal technologique" et un "programme budgétaire pluriannuel" ne sont pas des plans concurrents. Ce sont des documents complémentaires qui traitent de différents aspects de la politique gouvernementale. Le premier est une vision à long terme, le second est un programme sectoriel et le troisième est un outil de gestion budgétaire. Un économiste digne de ce nom devrait comprendre la différence entre une stratégie globale et sa déclinaison opérationnelle. C'est l'un des principes de base de la planification.
En somme, votre intervention ne propose aucune solution concrète. Elle se contente de pointer du doigt, avec un ton alarmiste et des arguments bancals. Il est plus facile de critiquer depuis un plateau de télévision que de diriger un pays
Sénégal sunu reew.
reply_authoril y a 4 semaines
Taxe le transport et regarde l effet domino que va produira jusqu’à ton assiette pas besoin d être un crack pour ça juste un peu lucide
Répondre à Blankagiga
Babanagail y a 4 semaines
Moss dem
Terminus 2029
Répondre à Babanaga
il y a 4 semaines
Un plan financier est une feuille de route détaillée qui décrit la situation financière actuelle, les objectifs financiers et les étapes à suivre pour les atteindre. Il s'agit d'un document essentiel permettant de prévoir et de gérer les revenus, les dépenses, les investissements et les flux de trésorerie. La définition d'un plan financier montre que ce monsieur passe à coté de la plaque. On ne peut pas spéculer ou anticiper les résultats avant le début de a mise en œuvre sinon on joue aux apprentis sorciers. Savoir de quoi on parle est indispensable quand on veut participer réellement au débat public.
Répondre à
Aphail y a 4 semaines
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
Répondre à Apha
Aphail y a 4 semaines
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
Répondre à Apha
Aphail y a 4 semaines
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
Répondre à Apha
Bofil y a 4 semaines
N fois mis à terre par le journaliste, on a l'impression que le monsieur n'a même pas lu le plan
Pathétique
Répondre à Bof
Kimil y a 4 semaines
Impossible is nothing!!! Il y a certains mots qu'on doit éviter dans nos analyses, surtout si on se dit docteur. Dire que c'est impossible, c'est prouver qu'on a une vision limitée et une compréhension partielle de la chose.
Texanil y a 4 semaines
En tout cas, deux jargons reviennent souvenir in economics: incertitude and contraintes et le gars les a bien dit dans son argumemtaire. Hence, “impossible “ is appropriated in this context.
Répondre à Kim
il y a 4 semaines
Passer de 14% à 3 % en moins de 3 ans soit une baisse annuelle de près de 4% serait quand même extraordinaire , une performance hors norme
En tout cas pour la dette (119% du PIB en fin 2024) M Kaffe de Barclays plc dit qu’on aura besoin d’une décennie pour revenir à moins de 100%. C’est dire que ce ne sera pas facile.
Répondre à
Veriteil y a 4 semaines
Pretentieux!!!!!!!!! Taisez vous, on travaille
reply_authoril y a 4 semaines
Qui travaille. Mort de rires.
Dites plutôt, silence on tâtonne.
Répondre à Verite
Texanil y a 4 semaines
IL a tout fait raison de ne pas croire que l'economie Senegalaise ait la capacite d'atteindre cette reduction de 3% du PIB . Indeed, ce taux a ete plagie du traite de Maastricht (2005) qui juge excessif un deficit budgetaire au-dela ce seuil.
Répondre à Texan
Un citoyenil y a 4 semaines
Ce gars , je ne sais pas Quel jury lui a decerné le titre de DR., Mai’s il faut aller verifier leurs credentials: pour la petite histoire il etait Directeur de Cabinet de Moussa Bocar Thiam au moment crucial des elites du Senegal 2022-2024. Il etait aux affaires quand l’international etait coupé au Senegal ( a disgrace).
La logique du ventre les transforme en chiennes et chiens de garde, prêts à montrer leurs crocs limés, lorsque le système qui les nourrit est attaqué ou menacé. Ils sont condamnés à l’errance pour se nourrir, car, au-delà des apparences, ces individus mènent une vie de chien. Se livrer, alors, au plus offrant, est leur seul salut. Ces envieux n’ont jamais goûté à la saveur de la libre pensée.
Ces chiennes et chiens de garde, à la fourrure carbonisée et à la peau abîmée par les assauts répétés de l’hydroquinone, nourrissent l’ardent désir de prendre le pays en otage. Rien qu’à voir leur silhouette et leur mine, l’on se fait une idée claire de ce que sont les ténèbres et l’enfer.
Ils sont programmés pour aboyer de méchanceté, de lâcheté, de roublardise et de jalousie pour juste mériter la pitance du Maître. Ces misérables, au sens pascalien du terme, sont petits, faibles et méchants, aveuglés par le confort de leur petit monde. Ces chiens… mangent à la même table que le diable qu’ils ont tenté.
Leur sport favori est le mensonge que l’on peut mesurer à l’aune de leur cupidité. L’argent, les belles voitures, les belles villas et la belle vie, voilà tout ce qui compte pour ces chiennes et chiens… A leur tableau de chasse, d’honnêtes hommes dont ils ont brisé la carrière, parfois détruit la vie, à coups de médisance, d’affabulations et autres constructions diaboliques. Ils ne se posent pas la question des conséquences de leurs actes.
Un tissu de contrevérités
Que n’ont-ils pas dit, ces chiens de garde, pour atteindre l’intégrité morale de l’opposant charismatique, Ousmane Sonko ?
…
En dépit de cette campagne de diabolisation, des Sénégalais continuent à porter Ousmane Sonko dans leur cœur. C’est cette réalité que ces chiens…sont chargés de travestir. Pour s’en prendre à lui, ils n’hésitent pas, l’injure à la bouche, de propager le venin de la haine, pas pour le bien de leur Maître, encore moins pour celui du peuple, mais pour leur propre confort. Ce sont des égoïstes au «moi» exacerbé.
C’est une bande de chiennes et de chiens… très bien organisée et qui planifie sa sortie dans le but de manipuler l’opinion avec des histoires fabriquées de toutes pièces. Ces chiens… mentent par manipulation et par omission. Dans les deux cas, ils cachent la vérité aux Sénégalais.
Ils sont superficiels…
BDM
reply_authoril y a 4 semaines
Et jusque lá tu ne contredis pas ses arguments. Qu est ce qui n est pas juste dans ce qu il dit?
Sinon tout ton verbiage n est que diarhee.
reply_authoril y a 4 semaines
C’est ton 1er ministre qui a ouvert grandement sa bouche, pour dire à la face du monde , que les chiffres ont été falsifié.
Depuis lors, tous les bailleurs de fonds ont suspendu leur aide, aucun investisseur ne s’est manifesté et tous les comptes sont au rouge car ton 1er ministre n’a pas eu de solutions.
LA SEULE BONNE SOLUTION EST MOSSS TÉ DEM.
Répondre à Un citoyen
Abdullahil y a 4 semaines
La multiplication et superposition des différents plans posent un véritable de problème de lecture.
Répondre à Abdullah
Nanditèil y a 4 semaines
Le chantage ne marche pas avec notre duo faye sonko on n'est plus aux temp de macky ,critiquer pour avoir un poste juteux ou une nomination ne marche plus
Monsieur souley astou tu vas te contenter de ton salaire d'enseignant chercheur
reply_authoril y a 4 semaines
Personne n’a besoin de faire chanter ces incompétents. La crainte des plus avisés c’est qu’ils foncent droit dans le mur. Et nous sommes sûre qu’ils vont se casser la gueule, il faut bien que quelqu’un klaxonne la.
reply_authoril y a 4 semaines
Personne n’a besoin de faire chanter ces incompétents. La crainte des plus avisés c’est qu’ils foncent droit dans le mur. Et nous sommes sûre qu’ils vont se casser la gueule, il faut bien que quelqu’un klaxonne la.
Répondre à Nanditè
il y a 4 semaines
Ce Astou diagne se croit etre le seul a faire l’économie au Sénégal
reply_authoril y a 4 semaines
Il n'a dit que son point de vue et avec des arguments. Tu n'as qu'à donner les siens tu en as, sinon tu la fermes
Économie n'est pas débat politil y a 4 semaines
Il faut qu'il se calme en gestuelle et voix. L'économie n'est pas une science exacte. Crier et gesticuler ne vous donne pas raison. L'autre jour il fait ce que font les " stars" connaissent Tout de " Jakkaarlo". Il faut expliquer avec doctement et sereinement.
reply_authoril y a 4 semaines
Il a posé des questions claires nettes et précises. Ensuite ce qu’il, c’est factuel, alors demandez au 4000 cadres de répondre et arrêtez de vous énerver inutilement
reply_authoril y a 4 semaines
Si certains militants s'acharnent dur l'auteur d'un article ça veut dire qu'il y'a des arguments solides, qu'il est pertinent et percutant et qu'il sera à tort traité de tout les noms d'oiseaux.
reply_authoril y a 4 semaines
Si certains militants s'acharnent dur l'auteur d'un article ça veut dire qu'il y'a des arguments solides, qu'il est pertinent et percutant et qu'il sera à tort traité de tout les noms d'oiseaux.
Makadaamil y a 4 semaines
Du moment que vous dites c est impossible req j' y crois . Depuis l'independance , tout ce soit disant economiste, intelectuel ont predit n'etait que leurre.
Comme Sonko l 'a , les Cheikh Bara, Cheikh Thioro et autre sois disant arabisant, s'ils avaient frequenté l'école, vous n'aurez plus vos places.Ils sont plus analyste que nous qui ont fais les bancs des toubabs.
reply_authoril y a 4 semaines
Il est enseignant à Bambey et fait partie des plus nuls de l'université. Donc ignorer ses balivernes
reply_authoril y a 4 semaines
Astou Diagne nga baalgniou rèk. Yaw da ngay politique politique politicienne rèk. Dans d'autres pays, tu serais réduit à quìa pour propos antipatriotiques.
Commentaires (17)
Les gens lucides savent que le Sénégal va droit dans le mur...La multiplication de plans, ceux qui existent réellement, montre que le PM est complètement dépassé. Ce plan n'est qu'une diversion !
J’aimerais apporter quelques clarifications ici car je pense qu’un doit être capable de faire un discernement entre déficit budgétaire et endettement. Bien que liés dans une certaine mesure cela n’empêche pas de réduire le déficit budgétaire de manière soutenable sans pour autant impacté le prix des denrées essentielles à la population. Tout d’abord j’aimerais qu’on revienne à la définition de chaque concept. Déficit budgétaire : C’est lorsque les dépenses de l’État dépassent ses recettes sur une période donnée (souvent une année).
Taux d’endettement public : Représente la dette publique en pourcentage du PIB (Dette/PIB). Est-ce que le taux d’endettement peut empêcher de réduire le déficit budgétaire ?
Oui, indirectement. Pourquoi ?
Service de la dette élevé : Plus la dette est élevée, plus les intérêts à payer (charges de la dette) sont importants. Cela réduit la marge budgétaire pour d'autres dépenses utiles (santé, éducation…).
Moins de flexibilité budgétaire : L’État est contraint de maintenir certaines dépenses (remboursements), ce qui rend difficile la réduction du déficit sans toucher aux dépenses sociales ou sans augmenter les impôts.
Par contre c’est très faisable malgré tous ces contraintes en faisant quoi?
Voici quelques leviers d’action réalistes :
1.Augmenter les recettes publiques
Réformes fiscales : élargir l’assiette fiscale, améliorer la collecte des impôts, réduire l’évasion fiscale.
Lutte contre l’économie informelle pour intégrer plus d’activités au système fiscal.
Privatisations ciblées d’entreprises publiques non stratégiques.
2. Réduire les dépenses inefficaces de l’Etat
Réformes de subventions : passer des subventions générales (carburant, électricité) à des aides ciblées aux plus vulnérables.
Réduction du train de vie de l’État : rationalisation des dépenses publiques, audits, lutte contre la corruption.
3. Favoriser la croissance économique
Une croissance plus forte augmente le PIB, donc améliore mécaniquement le ratio dette/PIB et les recettes fiscales.
Investissements dans les infrastructures productives, l’éducation et la transition énergétique.
4. Mobilisations des ressources et fonds disponibles localement ou dans la sous région. Et en dernier recours sollicité les fonds provenant des accords internationaux de soutien budgétaire
Négocier des prêts concessionels ou des allègements de dette avec des institutions comme le FMI ou la Banque mondiale en échange de réformes.
Comme vous le constater toute ses mesures ont été présentées par le premier ministre Ousmane Sonko et son gouvernement avec des chiffres à la clé bien détaillés. Donc si on m’aime notre cher pays le Senegal nous devons nous associer à eux pour travailler pour nous sortir de cette situation à laquelle nous positionner les régimes précédents. En bref si j’étais à la place du Monsieur je m’abstiendrai de tous commentaires car étant comptable de ce qu’on ai entrain de vivre présentement au moins faire des critiques objectifs avec des vrais chiffres pas du verbiage qui montrent vos limites intellectuelles ou méchanceté gratuite envers le peuple qui t’a tant donné. Wassalam!
Monsieur Diagne, votre "analyse" n'est rien d'autre qu'un ramassis de pessimisme et de contradictions. Vos critiques, prétendument "académiques", ne sont que des coups de poignard politiques déguisés.
Laisser les chiffres parler ? Faisons-le.
Vous vous dressez en chevalier blanc des chiffres, mais votre propre raisonnement est illogique. Vous affirmez que réduire le déficit à 3% est impossible parce que nous ne devrions "pas emprunter un seul franc". C'est un argument d'une naïveté déconcertante. Pensez-vous qu'un État se gère en coupant toute source de financement du jour au lendemain ? Les emprunts sont parfois nécessaires pour investir et stimuler la croissance. Votre proposition est une recette pour la stagnation, pas pour le redressement.
Et cette idée de "remettre en question" les indicateurs de l'UEMOA ? C'est de l'irresponsabilité pure. Le Sénégal est-il censé se comporter comme un électron libre, ignorant les règles de convergence régionales, au risque de compromettre sa place au sein de l'Union ? Vous proposez une fuite en avant au lieu d'une gestion rigoureuse.
La fiscalisation, un drame ou une nécessité ?
Vous faites la moue devant la fiscalisation du secteur tertiaire, la présentant comme une catastrophe imminente. Mais avez-vous une meilleure idée ? L'économie ne se développe pas par magie. Les services publics, les infrastructures, tout cela coûte de l'argent. Et cet argent, il doit bien venir de quelque part. Il est temps que chacun contribue équitablement au développement du pays, y compris les secteurs qui ont trop longtemps échappé à la fiscalité. Vos lamentations sur la "fragilité" des entreprises sont déconnectées de la réalité d'un État qui a besoin de ressources pour se transformer.
La prolifération des plans, un faux problème.
Enfin, votre dernière critique sur la "prolifération" des documents de planification est tout simplement ridicule. Un "agenda de transformation", un "New Deal technologique" et un "programme budgétaire pluriannuel" ne sont pas des plans concurrents. Ce sont des documents complémentaires qui traitent de différents aspects de la politique gouvernementale. Le premier est une vision à long terme, le second est un programme sectoriel et le troisième est un outil de gestion budgétaire. Un économiste digne de ce nom devrait comprendre la différence entre une stratégie globale et sa déclinaison opérationnelle. C'est l'un des principes de base de la planification.
En somme, votre intervention ne propose aucune solution concrète. Elle se contente de pointer du doigt, avec un ton alarmiste et des arguments bancals. Il est plus facile de critiquer depuis un plateau de télévision que de diriger un pays
Sénégal sunu reew.
Taxe le transport et regarde l effet domino que va produira jusqu’à ton assiette pas besoin d être un crack pour ça juste un peu lucide
Moss dem
Terminus 2029
Un plan financier est une feuille de route détaillée qui décrit la situation financière actuelle, les objectifs financiers et les étapes à suivre pour les atteindre. Il s'agit d'un document essentiel permettant de prévoir et de gérer les revenus, les dépenses, les investissements et les flux de trésorerie. La définition d'un plan financier montre que ce monsieur passe à coté de la plaque. On ne peut pas spéculer ou anticiper les résultats avant le début de a mise en œuvre sinon on joue aux apprentis sorciers. Savoir de quoi on parle est indispensable quand on veut participer réellement au débat public.
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
Il n ya pas plus mauvais plus bête qu'un Kouloun
regardez les avec leur slogan moss dem pour eux l'état c'est la jouissance sathie wala sathie diokhlen nieu lek bolessi fene sosse tiagatou
ces koulounas sont mauvais
le paays avance très bien et est sur de bonnes voies
les partisans du moss dem j'ai pitié d'eux parceque plus jamais le pourvoir mafieux apr ne reviendra au pouvoir
N fois mis à terre par le journaliste, on a l'impression que le monsieur n'a même pas lu le plan
Pathétique
Impossible is nothing!!! Il y a certains mots qu'on doit éviter dans nos analyses, surtout si on se dit docteur. Dire que c'est impossible, c'est prouver qu'on a une vision limitée et une compréhension partielle de la chose.
En tout cas, deux jargons reviennent souvenir in economics: incertitude and contraintes et le gars les a bien dit dans son argumemtaire. Hence, “impossible “ is appropriated in this context.
Passer de 14% à 3 % en moins de 3 ans soit une baisse annuelle de près de 4% serait quand même extraordinaire , une performance hors norme
En tout cas pour la dette (119% du PIB en fin 2024) M Kaffe de Barclays plc dit qu’on aura besoin d’une décennie pour revenir à moins de 100%. C’est dire que ce ne sera pas facile.
Pretentieux!!!!!!!!! Taisez vous, on travaille
Qui travaille. Mort de rires.
Dites plutôt, silence on tâtonne.
IL a tout fait raison de ne pas croire que l'economie Senegalaise ait la capacite d'atteindre cette reduction de 3% du PIB . Indeed, ce taux a ete plagie du traite de Maastricht (2005) qui juge excessif un deficit budgetaire au-dela ce seuil.
Ce gars , je ne sais pas Quel jury lui a decerné le titre de DR., Mai’s il faut aller verifier leurs credentials: pour la petite histoire il etait Directeur de Cabinet de Moussa Bocar Thiam au moment crucial des elites du Senegal 2022-2024. Il etait aux affaires quand l’international etait coupé au Senegal ( a disgrace).
La logique du ventre les transforme en chiennes et chiens de garde, prêts à montrer leurs crocs limés, lorsque le système qui les nourrit est attaqué ou menacé. Ils sont condamnés à l’errance pour se nourrir, car, au-delà des apparences, ces individus mènent une vie de chien. Se livrer, alors, au plus offrant, est leur seul salut. Ces envieux n’ont jamais goûté à la saveur de la libre pensée.
Ces chiennes et chiens de garde, à la fourrure carbonisée et à la peau abîmée par les assauts répétés de l’hydroquinone, nourrissent l’ardent désir de prendre le pays en otage. Rien qu’à voir leur silhouette et leur mine, l’on se fait une idée claire de ce que sont les ténèbres et l’enfer.
Ils sont programmés pour aboyer de méchanceté, de lâcheté, de roublardise et de jalousie pour juste mériter la pitance du Maître. Ces misérables, au sens pascalien du terme, sont petits, faibles et méchants, aveuglés par le confort de leur petit monde. Ces chiens… mangent à la même table que le diable qu’ils ont tenté.
Leur sport favori est le mensonge que l’on peut mesurer à l’aune de leur cupidité. L’argent, les belles voitures, les belles villas et la belle vie, voilà tout ce qui compte pour ces chiennes et chiens… A leur tableau de chasse, d’honnêtes hommes dont ils ont brisé la carrière, parfois détruit la vie, à coups de médisance, d’affabulations et autres constructions diaboliques. Ils ne se posent pas la question des conséquences de leurs actes.
Un tissu de contrevérités
Que n’ont-ils pas dit, ces chiens de garde, pour atteindre l’intégrité morale de l’opposant charismatique, Ousmane Sonko ?
…
En dépit de cette campagne de diabolisation, des Sénégalais continuent à porter Ousmane Sonko dans leur cœur. C’est cette réalité que ces chiens…sont chargés de travestir. Pour s’en prendre à lui, ils n’hésitent pas, l’injure à la bouche, de propager le venin de la haine, pas pour le bien de leur Maître, encore moins pour celui du peuple, mais pour leur propre confort. Ce sont des égoïstes au «moi» exacerbé.
C’est une bande de chiennes et de chiens… très bien organisée et qui planifie sa sortie dans le but de manipuler l’opinion avec des histoires fabriquées de toutes pièces. Ces chiens… mentent par manipulation et par omission. Dans les deux cas, ils cachent la vérité aux Sénégalais.
Ils sont superficiels…
BDM
Et jusque lá tu ne contredis pas ses arguments. Qu est ce qui n est pas juste dans ce qu il dit?
Sinon tout ton verbiage n est que diarhee.
C’est ton 1er ministre qui a ouvert grandement sa bouche, pour dire à la face du monde , que les chiffres ont été falsifié.
Depuis lors, tous les bailleurs de fonds ont suspendu leur aide, aucun investisseur ne s’est manifesté et tous les comptes sont au rouge car ton 1er ministre n’a pas eu de solutions.
LA SEULE BONNE SOLUTION EST MOSSS TÉ DEM.
La multiplication et superposition des différents plans posent un véritable de problème de lecture.
Le chantage ne marche pas avec notre duo faye sonko on n'est plus aux temp de macky ,critiquer pour avoir un poste juteux ou une nomination ne marche plus
Monsieur souley astou tu vas te contenter de ton salaire d'enseignant chercheur
Personne n’a besoin de faire chanter ces incompétents. La crainte des plus avisés c’est qu’ils foncent droit dans le mur. Et nous sommes sûre qu’ils vont se casser la gueule, il faut bien que quelqu’un klaxonne la.
Personne n’a besoin de faire chanter ces incompétents. La crainte des plus avisés c’est qu’ils foncent droit dans le mur. Et nous sommes sûre qu’ils vont se casser la gueule, il faut bien que quelqu’un klaxonne la.
Ce Astou diagne se croit etre le seul a faire l’économie au Sénégal
Il n'a dit que son point de vue et avec des arguments. Tu n'as qu'à donner les siens tu en as, sinon tu la fermes
Il faut qu'il se calme en gestuelle et voix. L'économie n'est pas une science exacte. Crier et gesticuler ne vous donne pas raison. L'autre jour il fait ce que font les " stars" connaissent Tout de " Jakkaarlo". Il faut expliquer avec doctement et sereinement.
Il a posé des questions claires nettes et précises. Ensuite ce qu’il, c’est factuel, alors demandez au 4000 cadres de répondre et arrêtez de vous énerver inutilement
Si certains militants s'acharnent dur l'auteur d'un article ça veut dire qu'il y'a des arguments solides, qu'il est pertinent et percutant et qu'il sera à tort traité de tout les noms d'oiseaux.
Si certains militants s'acharnent dur l'auteur d'un article ça veut dire qu'il y'a des arguments solides, qu'il est pertinent et percutant et qu'il sera à tort traité de tout les noms d'oiseaux.
Du moment que vous dites c est impossible req j' y crois . Depuis l'independance , tout ce soit disant economiste, intelectuel ont predit n'etait que leurre.
Comme Sonko l 'a , les Cheikh Bara, Cheikh Thioro et autre sois disant arabisant, s'ils avaient frequenté l'école, vous n'aurez plus vos places.Ils sont plus analyste que nous qui ont fais les bancs des toubabs.
Il est enseignant à Bambey et fait partie des plus nuls de l'université. Donc ignorer ses balivernes
Astou Diagne nga baalgniou rèk. Yaw da ngay politique politique politicienne rèk. Dans d'autres pays, tu serais réduit à quìa pour propos antipatriotiques.
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