Macky Sall croit en son étoile et c'est la principale « raison »
qui l'a poussé à déclarer sa candidature. Depuis son ascension
fulgurante au sommet de l'Etat, l'enfant de Fatick est persuadé que rien
ne peut l'arrêter. Là où on attendait, Idrissa Seck, dans une
opposition farouche à Wade, on a vu un Macky dans une tactique de «refus
de toute entente avec le président de la République ». Ce qui a
surpris, le président de la République en premier. A la plupart des
médiateurs qui croyaient le faire revenir à la « raison », il a toujours
opposé un «refus poli mais ferme ». Dans ses entretiens, l'expression
«le Pds est mort » revient souvent. «Le Pds n'est plus attractif, c'est
un parti qui ne mobilise plus.
C'est fini pour eux », répète inlassablement Macky aux négociateurs que Wade lui envoie directement ou indirectement. Et dans son plan de guerre, il indique souvent que Wade cherche à le faire revenir au sein du PDS dans le but de le casser. Macky a également compris qu'il ne pourrait pas jouer le « chef » au sein de l'opposition. «Dès le départ, il savait qu'il ne sera jamais candidat d'une opposition réunifiée. Et en ancien directeur de campagne de Wade, il a compris que 2012 est l'étape à ne pas rater », dit un de ses proches. Il ne manque pas de ressources financières pour engager la bataille : il a les promesses fermes de certains présidents africains qui se sont engagés à le soutenir en première ligne desquels, Ali Bongo. Il dispose également dans les médias sénégalais-ce qui indispensable-d'un réseau de «sympathie » sans commune mesure.
Dans le milieu des affaires également, il ne compte que des «amis ». «Son passage à la Primature lui a permis de se tisser un réseau de relations dense ». A cela vient s'ajouter une côte de popularité qui ne cesse de grandir et en constante progression comparée à ses concurrents. Bref, une candidature qui risque de surprendre bien des sceptiques quand à la possibilité de victoire finale...
C'est fini pour eux », répète inlassablement Macky aux négociateurs que Wade lui envoie directement ou indirectement. Et dans son plan de guerre, il indique souvent que Wade cherche à le faire revenir au sein du PDS dans le but de le casser. Macky a également compris qu'il ne pourrait pas jouer le « chef » au sein de l'opposition. «Dès le départ, il savait qu'il ne sera jamais candidat d'une opposition réunifiée. Et en ancien directeur de campagne de Wade, il a compris que 2012 est l'étape à ne pas rater », dit un de ses proches. Il ne manque pas de ressources financières pour engager la bataille : il a les promesses fermes de certains présidents africains qui se sont engagés à le soutenir en première ligne desquels, Ali Bongo. Il dispose également dans les médias sénégalais-ce qui indispensable-d'un réseau de «sympathie » sans commune mesure.
Dans le milieu des affaires également, il ne compte que des «amis ». «Son passage à la Primature lui a permis de se tisser un réseau de relations dense ». A cela vient s'ajouter une côte de popularité qui ne cesse de grandir et en constante progression comparée à ses concurrents. Bref, une candidature qui risque de surprendre bien des sceptiques quand à la possibilité de victoire finale...
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