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Politique

[ AUDIO ] Manifestation du M 23 à la Place de l'Indépendance: Houleuse discussion entre Madjiguéne Cissé

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[ AUDIO ] Manifestation du M 23 à la Place de l'Indépendance: Houleuse discussion entre Madjiguéne Cissé

Manifestation du M 23 à la Place de l'Indépendance: Houleuse discussion entre Madjiguéne Cissé de Yonnu Askan Wi et les gendarmes qui voulaient la deguerpir des lieux.

 

 

 

 

 

 



8 Commentaires

  1. Auteur

    Fall

    En Février, 2012 (22:04 PM)
    est ce que ce n'est pas monté. Je pense qu'une personne consciente quelque soit sa religion n'ose pas faire cette grande bétise. Je m'excuse c'est mon idée.
  2. Auteur

    Pac

    En Février, 2012 (22:28 PM)
    Tout a fait dans son droit, combattons l'arbitraire, l'impartialite et l'impunite. Le moment est venu pour changer le devenir de notre pays. Le vent d'espoir et de changement frappe a la porte. On ne peut pas arreter la mer avec ses bras, le peuple est au rendez pour bouter le clan Wade.
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    Auteur

    Catholique

    En Février, 2012 (00:37 AM)
    LE M23 C'EST LE MOUVEMENT DES IRRESPONSABLES QUI N'AIMENT PAS CE PAYS PARCE QU'ILS FONT TOUT POUR DESTABILISER ET METTRE LE CHAOS DANS NOTRE BEAU PAYS QUI EST LE SENEGAL.COMMENT VOULEZ VOUS METTRE DES JEUNES CASSEURS ET DES VOYOUS POUR LES INCITER A CASSER TOUT ET APRES DIRE QUE CE SONT DES DIRIGEANTS RESPECTABLES ET HUMAINS.NOUS SOMMES EN CAMPAGNE POUR DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES ET IL FAUDRA COMBATTRE SUR LE PLAN POLITIQUE PAS AVEC LA VIOLENCE.WADE DOIT PARTIR MAIS DANS LA PAIX ET DANS LA SERENITE POUR EVITER DES MORTS QUE PERSONNE N'ASSUMERA NI DE PRES OU DE LOIN.ARRETONS L'HYPOCRISIE ET LE BAL DES FAUX CULS DE L'OPPOSITION QUI MANIPULE LES JEUNES ET UNE PARTIE DE LA POPULATION.EN TOUT CAS LA MEILLEURE STRATEGIE C'EST D'ALLER VOTER PAS D'ALLER CASSER LES BIENS D'AUTRUI.
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    Auteur

    Convex

    En Février, 2012 (11:38 AM)
    Wade est l'incarnation de satan. Wade est l'esprit maléfique qui utilise la ruse pour arriver à ses fins. Wade tue, Wade vole, Wade ment, Wade divise, Wade trahit, Wade corrompt, il a en lui tous les maux du monde. Wade est entrain de jouer avec les valeurs morales et culturelles du pays comme s'il jouait au échec. Wade est pire que tous ce que vous pouvez imaginer. Réveillez vous et chasser ce satan de notre pays. Quelle honte pour le Sénégal qui lui a tout donné. WADE DEGAGE.

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    Auteur

    Elankoor

    En Février, 2012 (15:13 PM)
    Soutien à madjiaguène Cissé grande amazone de la lutte du peuple sénégalais.

    Outre son combat pour la défense des sans papiers,elle fut membre influente de And jef MRDN depuis le clandestinité avant de se retrouver dans le mouvement associatif,aujourd'hui elle gere un reseau immense de femmes dans le monde cf reportage documentaire de ARTE Tv :intitulé: celles qui font bouger le monde.

    Liberez Madjiguène Cissé sales flics elle est plus instruite que vous les simples alphabetisés.

    Elle est très consciente des enjeux de ce pays ,car cette femme peut etre presidente du Senegal.
    Auteur

    Seck

    En Février, 2012 (16:44 PM)
    Merci Elankoor d'avoir confirmé mes propos, je voulais juste rétablir une vérité historique !!



    CETTE GRANDE DAME MERITE TOUT NOTRE RESPECT pour la lutte qu'elle a mené au sein de AND DIEUF contre le régime socialiste de l'époque, autoritaire et corrompu, ensuite en France aux côté de Babacar DIOP de SOS Racisme pour la régularisation de nos parents sans papiers.

    Une longue lutte qui a duré quatre ans, pour une noble cause. Elle l'a remporté haut la main.

    Aujourd'hui elle est à la tête d'un très grand réseau de femmes dans le monde.



    Je l'ai dit et je le répète, l'avenir de nos enfants est entrain de se jouer maintenant, sous nos yeux, et nous n'avons pas le droit d'être neutre ou de baisser les bras.

    La véritable générosité envers l'avenir est de donner tout au présent.



    MERCI
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    Auteur

    Paulmarie

    En Février, 2012 (18:18 PM)
    Campagne pour l’élection présidentielle de 2012 au Sénégal: « Refuse toutes formes de violence ! oeuvre pour une campagne électorale et des électeurs apaisés ».



    LES DIX COMENDEMENTS DE L’ELECTEUR



    1. Tu voteras selon ta conscience.

    2. Tu respecteras le choix des autres citoyens.

    3. Tu checheras à mieux connaître chacun des candidats en verifiant s’il est honnête, juste, compétent, capabledegérer la Nation pour le bien de tous.

    4. Tu checheras à connaître les solutions que chaque candidat entend apporter aux problèmes des sénégalaises et des sénégalais.

    5. Tu ne vendras pas ton vote pour un sac de riz, du sucre ou de l’argent.

    6. Tu ne choisiras pas les candidats qui prônent la violence ou menacent les autres.

    7. Tu n’éliras pas un candidat corrompu, corruptible ou corrupteur.

    8. Tu ne choisiras pas un candidat simplement à cause de sa religion, de son ethnie, de son appartenance familliale ou de sa popularité.

    9. Tu choisras le candidat le plus respectueux des valeurs morales.

    10. Tu choisiras le candidat qui aime le plus son pays et qui est déterminé à le servir et non à s’en servir.

    Rendez-vous le dimanche 26 février 2012 et bonne journée ce jour là !...

    Signé : électeur indépendant.

    Propos tirés de la Comission épiscopale Justice et Paix-Sénégal.



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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (08:14 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

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    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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