«Je pense que la liberté d’expression n’est pas la liberté d’insulter et de dire n’importe quoi. Il faut reconnaitre cela. Ce n’est pas acceptable, à mon avis, ce que Oumar Sarr avait fait la dernière fois. Je pense que c’est de la provocation».
«J’ai du respect pour les gens de l’opposition mais, Oumar Sarr doit comprendre qu’il a une responsabilité en étant le coordonnateur du plus grand Parti de l’opposition. Il ne doit pas dire n’importe quoi, il ne doit pas faire n’importe quoi. Parce que, le Président de la République est une institution». C’est ce qu’a déclaré le Secrétaire général national du Parti socialiste (Ps), Ousmane Tanor Dieng. Il était l’invité du «Grand jury» de la Rfm de ce dimanche 24 janvier 2016.
Toutefois, le ministre-conseiller auprès du Président Macky Sall estime que Oumar Sarr doit être libéré pour apaiser le climat social.
Par ailleurs, Ousmane Tanor Dieng a invité les députés opposants à accepter la consultation du chef de l’Etat de l’Etat sur la question des réformes institutionnelles. «Je conseille à l’opposition parlementaire d’accepter la consultation du Président Macky Sall et de ne pas boycotter car ce n’est pas une bonne chose».
12 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (15:34 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (15:47 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:37 PM)QU IL DEGAGE ET QU ILS NOUS DISENT COMMENT IL EST DEVENU MILLIARDAIRE CE CONN...
Anonyme
En Janvier, 2016 (16:43 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (17:25 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (17:50 PM)Mansawali Walimansa Mansa 2016
En Janvier, 2016 (17:59 PM)C'EST FAUX ET ARCHI-FAUX OUMAR SARR N'EST PAS DEVANT LA JUSTICE DE NOTRE
PAYS RIEN QUE POUR DE LA "PROVOCATION" LAISSONS NOTRE JUSTICE STATUER ICI
Anonyme
En Janvier, 2016 (18:53 PM)Debet
En Janvier, 2016 (19:34 PM)Le scenario pourrait être celui d’un bon film policier. Lamine Diack, l’ancien président de la Fédération internationale d’athlétisme (1999-2015), a avoué aux autorités françaises qui l’ont mis en examen pour « corruption passive » et « blanchiment aggravé » que la Russie avait financé la campagne de Macky Sall aux présidentielles sénégalaises de 2012, en échange de non-révélation d’affaires de dopage concernant des athlètes russes.
« Je vous ai dit qu’il fallait à cette période gagner la “bataille de Dakar”, c’est-à-dire renverser le pouvoir en place dans mon pays, le Sénégal, a-t-il indiqué aux enquêteurs de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales, rapporte Le Monde. Il fallait pour cela financer notamment le déplacement des jeunes afin de battre campagne, sensibiliser les gens à la citoyenneté. (…) J’avais donc besoin de financements pour louer les véhicules, des salles de meetings, pour fabriquer des tracts dans tous les villages et tous les quartiers de la ville. »
Diack : « Nous nous sommes entendus, la Russie a financé »
« M. Balakhnichev (président de l’ARAF, la Fédération russe d’athlétisme, ndlr) faisait partie de l’équipe Poutine et à ce moment, il y avait ces problèmes de suspension des athlètes russes à quelques mois des championnats du monde en Russie, poursuit Diack. Nous nous sommes entendus, la Russie a financé. C’est Balakhnichev qui a organisé tout ça. Papa Massata Diack (l’un des fils de Lamine Diack) s’est occupé du financement avec Balakhnichev. »
« Quand j’ai sollicité une aide de la part de Balakhnichev, ajoute Diack, je lui ai dit que pour gagner les élections, il me faudrait environ 1,5 million d’euros. Il m’a dit : “On va essayer de les trouver, il n’y a pas de problème” ».
La Fédération russe et le gouvernement sénégalais démentent.
« Ni moi ni ma fédération n’avons été impliqués dans une telle discussion ou affaire avec M. Diack, a toutefois démenti Valentin Balakhnichev dans les colonnes du Monde. Ce type de business n’est pas de notre intérêt et pouvoir. Nous ne pouvons pas interférer dans les affaires intérieures du Sénégal. Pour moi, c’est clair. »
Les autorités sénégalaises démentent également tout financement russe en faveur de Macky Sall. « Lamine Diack, encore moins la Russie, n’a financé la campagne du candidat Macky Sall, ni de près ni de loin, ni directement, ni indirectement », a affirmé à l’AFP Hamidou Kassé, ministre chargé de la communication à la présidence de la République.
Avec RMC
Anonyme
En Janvier, 2016 (22:00 PM)Diadiack
En Janvier, 2016 (10:40 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (02:03 AM)Participer à la Discussion