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Politique

PETROLE - Sortie du Pm : «Totalement» scandaleux selon les proches de TAS

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Thierno Alassane Sall

DÉMENTI - «Le protocole d'accord signé avec Total n'a rien d'un contrat»

La polémique autour des contrats d’exploration et exploitation du pétrole et du gaz sénégalais enfle près de trois semaines après le limogeage de Thierno Alassane Sall, ex-ministre de l’Energie. Ses proches ont démenti le chef du gouvernement après ses propos tenus devant les députés de l’Assemblée nationale. Pour dire que Thierno Alassane Sall a refusé d'apposer sa signature au bas du contrat liant Total à l’Etat du Sénégal, à en croire l’entourage de l’ex-ministre qui apporte des précisions dans les colonnes de l’Observateur.

En effet, «C’est l’Etat qui a décidé de donner à Total, le ministre n’y est pour rien et on l’a fait voyager de Washington à Paris dans la précipitation, pour signer un protocole d’accords et non pas un contrat, comme veut le faire faire savoir à l’opinion, le Premier ministre Boun Abdallah Dionne». Ainsi réagit ce proche de l’ex-ministre de l’Energie, en réponse aux propos tenus par Aminata Touré,

Latif Coulibaly, Seydou Guèye et plus particulièrement le chef du gouvernement. «S’il y a un contrat signé entre l’ex-ministre de l’Energie, Thierno Alassane Sall et Total, ils n’ont qu’à le sortir. Ils ne le sortiront jamais, parce qu’il n’y en a pas. Le protocole d’accords, il n’y rien de définitif, c’est juste dire que le Sénégal négocie en priorité avec Total, mais cela n’a rien à voir avec un contrat. Il est parfaitement saugrenu de parler de contrat à ce niveau. Les conditions de signature de ce contrat préfiguraient du clash qu’il y a eu au palais», soutient un proche de l’ex-ministre dans les colonnes du journal.

Mais à en croire le Pm, «Dire que Total a été favorisé, c’est faux. Il y a eu appels d’offres. Le pétrole sénégalais aiguise les appétits de toutes les grandes puissances du monde. Les Américains, les Français, les Anglais et même Chinois sont entre le Sénégal et la Guinée-Bissau. Mais le président a fait le choix de la diversité, tous les pays qui ont les moyens de s’engager dans la recherche de ressources naturelles au Sénégal, sont accueillis bras ouverts, a récemment soutenu Mohamed Dionne, devant les députés.



21 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (11:48 AM)
    MERCI THIERNO
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (12:12 PM)
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    Auteur

    Halte Au Lobby Des Nullards

    En Mai, 2017 (12:34 PM)
    Une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.

    En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.

    Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.

    Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.

     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (12:43 PM)
    Soyons serieux ,les proches de TAS ne peuvent pas parler à sa place sur un tel sujet ,demain il pourra dire le contraire sans risque,il actuellement libre de ses propos,il n'a pas besoin de parler sous couvert comme par procuration,cela ressemble à de la politique politicienne,ses proches ne peuvent pas en savoir plus que lui.
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    Auteur

    Le Proche De Tas A Raison

    En Mai, 2017 (13:07 PM)
    Il y a bien une différence entre un protocole d'accord (MOU pour Memorandum of Understanding) et un contrat. Que notre Président se fasse duper par une visite officielle, une décoration des champs élysées et quelques médailles portées à son cou (Le président nègre et la médaille), pour négocier exclusivement avec Total relève soit d'une naiveté soit de l'incompétence ou de la traitrise et de la corruption par rapport à nos intéréts nationaux.



    Merci à TAS. Au moins un ministre digne dans ce gouvernement de l'Alliance des Pilleurs de la République  :emoshoot:  :emoshoot: APR & Macky SALL
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    Auteur

    Homme De Verite

    En Mai, 2017 (13:13 PM)
    Coopération Sénégal-France : Sept accords stratégiques signés

    Les présidents Macky Sall et François Hollande ont assisté, hier, à la signature de sept accords entre le Sénégal et la France. Ils portent sur le financement du Train express régional (Ter), l’écologie et les hydrocarbures avec le retour de Total au Sénégal. Macky Sall s’est rendu aux Invalides, à la mairie de Paris, au Conseil économique et social ainsi qu’à l’Assemblée nationale. La visite se poursuivra aujourd’hui au Matignon.



    L’évènement phare de la visite d’Etat du président de la République, Macky Sall en France, a été sans nul doute, la signature, hier, de sept accords stratégiques dans divers secteurs. En effet, en présence des délégations sénégalaises et françaises, les deux pays ont scellé des accords à travers des protocoles financiers et des déclarations d’intention et d’intérêt. Le premier protocole financier a été signé entre les deux pays pour un prêt du Trésor non concessionnel de 95 millions d’euros (62.225.000.000 de FCfa) pour le Train express régional (Ter). Il a été paraphé par le ministre sénégalais de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ et le ministre français de l’Economie et des Finances, Michel Sapin. Tandis que le deuxième protocole, sous forme de prêt, lie l’Agence française de développement (Afd) et le Sénégal. C’est un montant de 100 millions d’euros (65.500.000.000 de FCfa) toujours pour financer le Ter. Il sera paraphé par le ministre Amadou Bâ et Philip Bodouin, directeur général de l’Afd.



    Mankeur SégolèneLe troisième protocole est un accord tri-partite entre la Société nationale des chemins de fer (Sncf) de Paris, la Régie autonome des transports parisiens (Ratp) et le Sénégal pour le développement de l’exploitation et de la maintenance dans le cadre du Ter Dakar-Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) et la création d’un centre de formation dédié à la mobilité urbaine. L’accord a été signé par le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane, le président du Directoire du groupe Sncf, Guillaume Pépy et la Présidente directrice générale (Pdg) de la Ratp, Elisabeth Borne.



    Total dans l’Off shore profond

    A ces accords, il faut ajouter une déclaration d’intention entre les gouvernements sénégalais et français, pour renforcer la coopération en matière de protection des océans et du littoral. Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye et le ministre français de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat, Ségolène Royal, ont signé le texte. Un accord ministériel pour renforcer la coopération en matière d’efficacité énergétique et de transition bas carbone de l’immobilier, a été également paraphé par le ministre de l’Energie, du Développement et des Energies renouvelables, Thierno Alassane Sall, et Ségolène Royal. Par ailleurs, une lettre d’intérêt de financement entre le Sénégal et Banque publique d’investissement (Bpi) de France relative à l’acquisition et l’installation d’un supercalculateur pour le centre national de calcul sénégalais à la Cité du savoir de Diamniadio a été paraphé par le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane et chargé d’affaires à Bpi France, Lionel Barbaroux. Enfin, le dernier texte est un protocole de coopération entre le Sénégal et Total pour l’Off shore profond (Pétrole). Les signataires sont le ministre de l’Energie, du Développement et des Energies renouvelables, Thierno Alassane Sall et le directeur général Marketing et Services de Total, Momar Nguère.



    Moussa DIOP





    ENTRETIEN MACKY SALL – FRANÇOIS HOLLANDE : « Une visite dans la continuité des relations traditionnelles »

    Hier, le président Macky Sall a été reçu à l’Elysée par son homologue français, François Hollande. Entre solennité, cérémonial républicain, amitié et complicité affichée, les deux hommes sont revenus sur plusieurs aspects.

    Macky HollandePlus que des formalités d’usage, les présidents Macky Sall et François Hollande ont tenu à montrer l’estime qu’ils se portaient mutuellement. « C’est avec grand plaisir que j’accueille le président du Sénégal, pays ami, dirigé par un ami, avec lequel nous avons eu à prendre, ces dernières années, des responsabilités face à des situations particulièrement périlleuses », a déclaré François Hollande, faisant référence aux attaques terroristes au Mali, à la guerre civile en Centrafrique et aux attentats en France. « C’est une visite qui s’inscrit dans la continuité des relations traditionnelles franco-sénégalaises », a rappelé Macky Sall. Elles sont « anciennes, d’amitié et chaleureuses », mais elles prennent également la forme de coopération multiforme. La visite d’Etat du président sénégalais est une première depuis 1992. « C’est dire son importance », a commenté François Hollande. Cela correspond à la confirmation de grands projets et à la signature de nombreux accords. « Parmi ces accords, j’insiste sur le train. Pour le Sénégal, c’est un choix, pour la France, une marque de confiance. Le Sénégal a choisi de faire du train son mode de transport en permettant aux populations ainsi qu’aux marchandises d’être ainsi dotées d’équipements modernes. Pour les entreprises françaises, c’est une source de fierté. Elles ont été choisies pour réaliser ce train ». Alstom, la Ratp et la Sncf s’associent pour la mise en œuvre du Train express régional (Ter) de Dakar.



    « Il faut dire que la majorité, pour ne pas dire la presque totalité des entreprises, sont françaises. La France a participé au financement de ce projet à près de 200 millions d’euros », a précisé Macky Sall, selon qui la coopération entre les deux pays est « forte, diverse et surtout dynamique ». C’est ce qui fait de la France le premier partenaire du Sénégal tant dans les échanges officiels que l’investissement privé. « Ce partenariat porte le symbole de la modernité avec le projet phare d’une ligne de Train express que le Sénégal a lancé le 14 décembre dernier avec la France. Les accords portent également sur l’eau. « C’est un autre grand projet qui tient à cœur au président Hollande », a renseigné le chef de l’Etat français. Ce projet entre dans le cadre de l’émergence de nouveaux quartiers et de nouvelles villes comme à Diamniadio. Pour cela, selon Hollande, il faut « apporter des moyens modernes compatibles avec nos engagements en matière de climat ». Le président français a rappelé que le Sénégal avait joué un grand rôle pour la signature de l’Accord de Paris. Avec l’accord entre les deux pays, c’est près d’un million de Dakarois qui vont pouvoir être alimenté en eau grâce à ce projet. Moussa DIOP



    Fermeté sur le départ de Jammeh

    Macky Sall audience Elysée« Il y a une exigence de respecter la volonté souveraine du peuple gambien », a d’emblée précisé Macky Sall. « Dans une République et une démocratie, c’est le peuple qui est souverain. Une fois qu’il se prononce, tout le monde doit s’incliner. C’est la raison pour laquelle le Sénégal n’a pas hésité à donner sa position très clairement sur cette question. La Cedeao, dans un élan unanime, a décidé d’accompagner le peuple gambien dans son choix et d’inviter le président Jammeh à respecter le choix souverain du peuple gambien ». Le président Sall s’est réjoui de la position du président Hollande qui est « la même que celle du Conseil de sécurité de l’Onu ». Pour le président français, les résultats de l’élection gambienne avec la victoire d’Adama Barrow ne sont contestables.



    « Le président élu doit être installé le plus vite possible. Il ne peut pas y avoir de doute sur cette réalité parce que nous voulons que les pays qui veulent se mettre au diapason des règles et normes internationales, notamment sur le plan démocratique, soient accompagnés jusqu’au bout de leur processus. Avec le Sénégal et la Cedeao, nous sommes très clairs, il doit y avoir, le plus vite possible, la transmission du pouvoir au président élu et aucune transaction possible sur ce sujet. C’est une question majeure de principe. Ce qui permettra à la Gambie d’être pleinement insérée dans la communauté internationale. C’est pourquoi il est très important que le Sénégal et la France puissent exprimer, d’une même voix, cette confirmation du résultat des élections en Gambie et de la confiance que nous donnons au président élu pour accéder maintenant aux responsabilités ». Macky Sall va plus loin en fixant comme horizon pour la transition le 19 janvier prochain, date prévue du passage de témoin entre Jammeh et Barrow. « Je pense que l’émissaire de la Cedeao, le président Buhari, saura faire entendre raison au président gambien pour que la transition puisse se faire sans heurt. C’est ce que nous souhaitons et nous pensons y arriver ».







    TRAIN EXPRESS REGIONAL : Un financement à des taux concessionnels

    Il est de 195 millions d’euros pour être précis (100 de l’Afd et 95 du Trésor). « Nous avons aussi voulu préparer les moyens de financement de cet équipement. C’est ce qu’on a matérialisé avec les contrats de l’Afd et du ministère des Finances, a insisté François Hollande ». Le président Macky Sall a su développer un argumentaire pour expliquer le choix du mode de financement du Ter. « Les subventions (venues de l’étranger, ndlr) peuvent être des dons ou des prêts à taux concessionnels. Et nous avons travaillé dans ce cadre, c'est-à-dire des taux concessionnels et semi concessionnels. Les besoins de l'Afrique ne peuvent être pris en compte par des dons. Il faut que ce soit très clair. Les pays (étrangers) ont également leurs problèmes et ne peuvent pas régler les leurs et les nôtres. Il faut saluer ce que la France a fait en instaurant de nouveaux instruments comme la Banque publique d'investissements en plus de l'aide classique telle que l'Afd qui a un portefeuille d'un milliard d'euros. Pour nos besoins d’émergence, nous avons besoin de ressources diversifiées. C’est pourquoi nous venons emprunter dans des conditions adoucies ».



    Pour le retour de Total au Sénégal, « il faut une clarification, selon le chef de l’Etat sénégalais. La société est la quatrième ou cinquième compagnie mondiale. Si Total veut explorer notre bassin sédimentaire dans l’Offshore profond, je pense que c’est quelque chose de très positif pour le Sénégal. Il restera maintenant à définir le cadre de cette intervention et cela est précisé dans le code pétrolier. Tout y est indiqué, tout est clair depuis très longtemps. Il y a une convention qui pourrait être signée à termes avec un accord d’association. Et Total sera appelée à assumer un certain nombre de travaux conformément à son engagement. Si nous avons Total comme on a Bp, qui a décidé de venir au Sénégal, c’est un plus. Il n’y a aucune contradiction avec ce que nous avons fait auparavant. Le retour de Total au Sénégal est un bon signe pour notre bassin sédimentaire. Ils sont les bienvenus au Sénégal ».



    M. DIOP



    DINER A L’ELYSEE EN L’HONNEUR DE MACKY SALL : L’amitié franco-sénégalaise magnifiée

    Elysée dinerAprès une cérémonie sobre de présentation des honneurs militaires aux Invalides, l’entretien avec le président François Hollande et la signature d’accords, la réception à la salle des fêtes de l’hôtel de ville de Paris, la première journée de la visite d’Etat du chef de l’Etat, Macky Sall, s’est terminée à l’Elysée où un dîner a été organisé en son honneur.

    Le ballet des personnalités politiques, économiques, sportives, de la culture et du spectacle ne s’est arrêté qu’à l’arrivée du président Macky Sall sur le perron de l’Elysée sur les coups de 20h35, accueilli par François Hollande.



    Youssou Ndour, Momar Nguère de Total, le chanteur Pape Diouf, Rama Yade, Fodé Sylla, le styliste Mike Sylla et tant d’autres ont marqué de leur présence le dîner donné à l’Elysée. Le chef de l’Etat, Macky Sall, a rappelé les relations séculaires entre les deux pays débutés avec l’arrivée des premiers Français au Sénégal en 1364. Le président Hollande est, quant à lui, revenu sur l’apport au développement des 65.000 Sénégalais en France, y compris les 10.000 étudiants.



    Le président français n’a pas oublié l’immigration française au Sénégal estimée « à 20.000 personnes » par an. Des raisons suffisantes pour continuer à travailler ensemble dans l’amitié et la coopération. Les deux présidents ont porté leurs toasts dans ce sens.







    François Hollande pour la naturalisation des Tirailleurs

    Pour les tirailleurs sénégalais et anciens combattants qui eurent tant de difficultés à faire valoir leur droit en France, le président François Hollande a déclaré, au cours d’un dîner donné, hier, à l’honneur du chef de l’Etat, Macky Sall, avoir donné instruction pour que leurs demandes de naturalisation soient traitées avec bienveillance et rapidité. « Les tirailleurs sénégalais ont contribué à la libération de mon pays », a déclaré François Hollande. Le président français a remis à son homologue sénégalais près de 2 millions d’images micro filmées issues des archives de l’Afrique occidentale française (Aof). « Ce sont des cartes, télégrammes et registres que tenaient les tirailleurs sénégalais. Il faut regarder l’histoire avec lucidité pour construire l’avenir avec sérénité », a-t-il expliqué.



    Ce geste a été salué par le président Macky Sall. Etant le premier président français à se rendre aux camps de Thiaroye, François Hollande continue de marquer de sa particularité positive sa participation à la réparation des injustices faites aux tirailleurs sénégalais qui ont combattu pour la France durant les conflits mondiaux du 20ème siècle.



    M. DIOP



    Renforcement du contingent sénégalais au Mali en 2017

    Depuis 2012, le Sénégal et la France agissent ensemble au Mali où les deux pays avaient répondu, sans délai, à l’appel de Dioncounda Traoré, président intérimaire de l’époque, pour bloquer l’avancée des terroristes vers le sud du pays puis prendre l’ascendant sur eux. De cette présence, le Sénégal est tombé d’accord avec la France sur un renforcement, dès le premier trimestre de 2017, de sa contribution en hommes à la Minusma. Les Diambars seront déployés en force de réaction dans le centre du Mali. C’est l’annonce faite par le président Hollande. Cependant, le nombre exact de ce renforcement en hommes n’a pas été dévoilé.



    M. DIOP



    MACKY SALL A LA MAIRIE DE PARIS : La coopération doit prendre en compte de l’acte 3 de la décentralisation

    Macky Sall HidalgoLa mairie de Paris a reçu, hier, en grande pompe, le président de la République, Macky Sall, accompagné d’une forte délégation de ministres, en présence des Sénégalais de la diaspora qui ont battu le rappel des troupes et tenu une mobilisation à la hauteur de l’estime dans laquelle ils tiennent le chef de l’Etat.

    En présence du ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, représentant le gouvernement français, des Corps constitués et plusieurs autres hautes personnalités, le maire Anne Hidalgo n’a pas manqué de souligner son émotion devant la foule des Sénégalais et de leurs amis qui portent en haute estime le pays et parmi lesquels, des employés à la mairie qui apportent un appui considérable à la gestion de la ville.



    Elle a rappelé l’excellence des relations entre la France et le Sénégal qui n’ont jamais été tendues même si elles ont connu des phases tragiques avec l’esclavage et pathétiques avec les tirailleurs durant les deux grandes guerres pour que la France reste une nation libre. Elle a souligné le rôle éminent joué par chaque président sénégalais dans la promotion des relations ; du président Senghor au président Macky Sall en passant par le président Abdou Diouf pour ajouter qu’au-delà du Sénégal, c’est toute l’Afrique « qui éclaire le monde ».



    Elle a indiqué que la communauté sénégalaise établie en France est de 30.000 personnes et qu’elles se signalent par leur dynamisme, leur sens des affaires et qu’ils enrichissent, par ce biais, leur pays d’adoption qu’est la France. Dans cet ordre d’idées, le maire Anne Hidalgo a rappelé que le Sénégal demeure « un grand pays reconnu pour sa culture et surtout par le dynamisme de son élite intellectuelle ». Elle en a profité pour rendre un hommage appuyé au sculpteur Ousmane Sow ravi à notre affection, il y a quelques semaines et le musicien Youssou Ndour qualifié « d’ami de la ville de Paris » qui a joué, il y a quelques semaines, en solidarité avec les victimes.



    Evoquant les relations économiques, Mme Anne Hidalgo a indiqué accompagner le dynamisme économique en cours au Sénégal et elle a mis l’accent sur le Pacte de coopération signé avec la mairie de Dakar en développement économique, culturel et sportif urbains mais aussi l’engagement commun face au défi des changements climatiques. Elle a souligné que Paris a la vocation historique de donner corps au développement harmonieux des villes et d’entrainer, dans son sillage, le plus de villes possibles à travers le monde avant de préciser que Dakar y occupe une place importante.



    Elle a ajouté que les défis à relever sont importants et nécessitent que le dialogue et la concertation soient permanents. « L’Afrique a un rôle décisif à y jouer et le Sénégal est à l’avant-garde », a-t-elle dit.



    Hommage au président Senghor

    Léopold Sadr SenghorRépondant à l’hommage rendu au président Senghor par le maire de Paris, le président Macky Sall a rappelé le 20e anniversaire de son décès en France célébré ce 20 décembre (Ndlr-hier) indique tout le symbole et la profondeur des relations entre la France et le Sénégal.



    Le président Macky Sall a remonté le temps pour rappeler le rôle de la France dans les grands combats pour la promotion de l’Humanité notamment pendant la Révolution contre l’absolutisme royale en 1789, l’adoption de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme en 1848, faisant de la France « la Patrie des Droits de l’homme » et plus récemment l’Accord sur le climat signé par l’ensemble des pays du monde à Paris. Il est revenu sur l’insécurité pour rappeler la solidarité du peuple sénégalais avec le peuple français et réaffirmé le soutien du Sénégal dans la lutte contre l’obscurantisme et la violence par « la lumière du savoir et de l’éducation ». Il en a profité pour rendre un hommage appuyé aux étudiants sénégalais en France et mis l’accent sur leur détermination à avoir le niveau d’études le plus pointu pour assurer la relève au pays. Il a aussi rendu un vibrant hommage aux Sénégalais de la diaspora voyant en eux de « dignes ambassadeurs du Sénégal en France ».



    Le président de la République a évoqué la coopération décentralisée pour souligner son étroitesse et son dynamisme entre les deux pays au bénéfice des populations à la base. Il a évoqué les prochaines assises de la coopération et demandé que le dispositif conjoint de mise en œuvre entre les deux pays tienne en compte l’Acte III de la décentralisation. Il a aussi rendu un hommage appuyé au maire Anne Hidalgo en mettant l’accent, entre autres, sur le rôle éminent qu’elle joue en tant que présidente de l’Association des maires francophones (Amf) aussi bien dans le développement de la langue française que la promotion des droits humains, la lutte contre le changement climatique ou le développement économique, culturel et social.



    Alassane DIAWARA, envoyé spécial à Paris





    CHRISTOPHE BIGOT, AMBASSADEUR DE FRANCE AU SÉNÉGAL : « La France consacrera une relation exceptionnelle avec le Sénégal à tous les niveaux »

    Christophe Bigot Ambassadeur FranceL’ambassadeur de France au Sénégal, Christophe Bigot, revient, dans cet entretien avec notre envoyé spécial, sur la visite d’Etat du président Macky Sall, en France. Selon le diplomate en poste à Dakar, depuis juin 2016, son pays consacrera une relation exceptionnelle avec le Sénégal à tous les niveaux.

    Monsieur l’ambassadeur, le président Macky Sall se rend en France pour une visite d’Etat cette semaine. Quel sens accordez-vous à cet événement ?

    La visite d’Etat du président Macky Sall en France a un caractère historique. Elle consacrera une relation franco-sénégalaise exceptionnelle à tous les niveaux. Avec des symboles forts : les drapeaux sénégalais et français sur les Champs Elysées, les honneurs militaires, un dîner d’Etat, l’installation en présence de François Hollande du président Macky Sall comme membre associé de l’Académie des sciences d’Outre-mer, le diplôme Honoris causa reçu du Centre national des arts et métiers. Un programme de quatre jours très dense, avec des entretiens politiques au plus haut niveau avec le président Hollande, le Premier ministre Cazeneuve, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, la maire de Paris pour parler d’Afrique, de développement, de coopération et de sécurité, comme la conclusion de nombreux textes et accords. Par exemple, la contribution de l’Afd et du Trésor français à la construction du Ter, à hauteur de 200 millions d’euros sera formalisée. Des accords seront signés pour la formation des ingénieurs et techniciens dont le Sénégal a besoin, comme avec le Cnam, Centre national des arts et métiers, ou avec l’Ifp, l’Institut Français du Pétrole. Le Musée du Quai Branly – Jacques Chirac a conclu, lundi, un accord avec le nouveau Musée des civilisations noires pour appuyer son développement. Avec aussi un moment musical, le concert donné par l’immense musicien Youssou Ndour.



    Ce moment fort de notre relation bilatérale permettra aussi de souligner le modèle qu’est le Sénégal en Afrique de l’ouest, et au-delà sur le continent, un pays démocratique, stable, sûr, en pointe sur la scène diplomatique internationale. Comme contributeur de troupes, comme membre du Conseil de sécurité, dont la présidence en novembre a été saluée, comme acteur influent au sein de la Cedeao et de l’Ua ; aux nations unies comme à la COP 22, pour défendre le patrimoine culturel menacé à la conférence d’Abou Dabi comme pour réfléchir sur l’économie ouverte, ou représenter le Nepad au G7 et au G20, ou promouvoir les valeurs de la justice universelle comme président des Etats parties au traité de Rome, le Sénégal répond présent et se montre un partenaire déterminant.



    Depuis quelques années, on sent un net recul de la France au Sénégal au profit de pays émergents comme la Chine ou la Turquie. Qu’est-ce qui pourrait l’expliquer ? La France est-elle plus orientée vers la construction européenne ?

    J’entends parfois le contraire, la France serait presque trop présente… Il y a quelques années, avec la chute du Mur, la croissance asiatique, le changement de générations, nos entreprises ont sans doute été moins investies en Afrique. Mais ce temps est révolu. Nos entreprises, leurs dirigeants connaissent le potentiel de l’Afrique, un continent d’avenir, où beaucoup de choses restent à faire, où la croissance est au rendez-vous, où des sauts technologiques sont possibles en avance sur l’Europe – ainsi du paiement bancaire par opérateur téléphonique ou de la Wifi dans le Ter. Et parmi les pays africains, ces sociétés ont compris le potentiel du Sénégal, un pays sûr, stable, démocratique, doté d’importantes ressources humaines, bien formés, rayonnant sur la région et le continent. D’autres l’ont aussi découvert et tant mieux ! Le Sénégal, l’Afrique ont besoin de toutes les bonnes volontés, de tous les investisseurs, qu’ils viennent de Chine, de Turquie, du Maroc, d’Arabie Saoudite ou encore de l’Inde, mais aussi bien sûr de France, de l’Union européenne, des Etats-Unis. Dans ce monde globalisé, la concurrence est naturellement forte. Mais elle est bonne pour le Sénégal et elle pousse les entreprises à l’excellence. Comme je le dis souvent : que le meilleur gagne !



    Les entreprises françaises ont un avantage ; elles sont là dans la durée, en période d’hivernage comme en saison sèche ; elles connaissent le pays depuis fort longtemps ; presque tous leurs employés et dirigeants sont sénégalais ; elles paient leurs impôts au Sénégal. Plus que françaises, ces entreprises sont franco-sénégalaises.



    La France a débloqué 500 millions d’euros pour le développement des infrastructures en Afrique, est-ce pour faire contrepoids à la banque asiatique d’investissement dans les infrastructures créée par la Chine ?

    La France depuis des dizaines d’années investit au Sénégal, accompagne le pays. Nous sommes un partenaire fiable. L’Afd était présente dès 1942 ! Les engagements de l’Afd envers le Sénégal s’élèvent à 5 pour cent de son Pib. Je suis très heureux que d’autres, et notamment la Chine mais aussi l’Union européenne ou les Etats-Unis apportent également leurs concours.

    L’Afd finance une gamme très large de projets, de l’aéroport aux maternités, des rizières aux écoles, de l’adduction d’eau aux bananeraies, du Ter aux projets de la diaspora. Que les entreprises choisies soient françaises ou pas. Et puisque vous parlez de la Chine, nous avons noué, avec Pékin, des discussions pour construire ensemble des partenariats, examiner des cofinancements.



    Il y a une nette amélioration des conditions de délivrance des visas mais il reste encore l’énorme quantité de paperasse à fournir et souvent leur manque de précision. Que comptez-vous faire dans ce sens pour améliorer cette délivrance de visas ?

    Il y a eu effectivement de gros progrès enregistrés. Je suis heureux que vous les ayez perçus. Deux chiffres : deux tiers des visas sont accordés ; hors période de pointe, le délai de délivrance est de 48 heures. Le recours à un prestataire extérieur a permis de rendre beaucoup plus facile la constitution du dossier, la ‘’paperasse’’, comme vous dîtes. Ces documents au passage, les règles européennes les imposent à tous les pays Schengen. Rien de plus, rien de moins. Et au fond, n’est-il pas légitime de s’assurer que le séjour se fera dans les meilleures conditions ?



    Alors oui, même si ces efforts doivent être reconnus et poursuivis, sous l’égide du Consul général, il y a toujours une marge d’amélioration. C’est pourquoi j’ai souhaité que tous les efforts soient faits dans les trois domaines suivants: augmentation du nombre de visas de circulation d’une durée de cinq ans pour ceux qui ont des raisons d’aller souvent en France – maire, députés, hommes d’affaires, enseignants, médecins, Ong, créateurs, sportifs ; augmentation sensible du nombre de visas pour les étudiants – nous en avons déjà délivré cette année 2300; maintien tout au long de l’année, même l’été, d’un délai de délivrance raisonnable.



    Pouvez-vous nous faire le point sur le portage des droits sociaux des retraités sénégalais établis en France ?

    Ce sujet est l’un des thèmes de discussion d’une commission mixte franco-sénégalaise qui doit mettre à jour une convention qui couvre l’ensemble des sujets de ce type signée en 1974. Cette convention s’est réunie à plusieurs reprises récemment et nous espérons arriver à un accord rapidement. Nous en discutons étroitement avec le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur. Je pourrais, quand l’accord sera signé, revenir vers vous et détailler toutes les avancées dans ce domaine qui touche très directement les citoyens de nos deux pays.



    La relation franco-sénégalaise est longue de plusieurs siècles et embrasse les domaines politique, culturel, économique, militaire, historique et social. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?

    Le Sénégal et la France ont plus de 350 ans d’histoire commune, avec sa part d’ombres et de drames, de tragédies, mais aussi de liens inébranlables, de valeurs communes, de solidarité. Au-delà de cette histoire très forte, de cette attirance réciproque, je vais vous donner des manifestations très concrètes de l’intensité de ces liens, de leur actualité, de leur potentiel. Près de 200.000 sénégalais vivent en France ; 10.0000 y étudient ; 25.000 français séjournent ici. 100 villes ou départements français ont des accords avec des collectivités sénégalaises. Et moi qui suis un ingénieur polytechnicien, je suis fier de savoir que chaque année, 5 sénégalais rentrent à l’X ! 350 soldats français forment chaque années 3.000 soldats sénégalais. 200 chercheurs français travaillent main dans la main en agronomie, en sciences sociales avec les instituts de recherche sénégalais… Vous le voyez, tous les domaines sont couverts.



    Dans cette relation d’une intimité rare, faite de confiance et de respect mutuel, tous les sujets sont abordés au quotidien, de la lutte contre le terrorisme jusqu’au numérique, en passant par la culture. Un homme symbolise, incarne la force, la sincérité de cette relation : permettez-moi d’évoquer le souvenir, la mémoire d’Ousmane Sow. J’ai assisté, aux côtés de sa famille et du président Macky Sall, à la cérémonie funèbre. Sénégalais, Français, nous étions ensemble, commémorant l’homme, le génie créateur, mais aussi le meilleur de notre relation, ce lien unique entre la France et le Sénégal.



    Recueillis par Alassane DIAWARA



    Last modified on mercredi, 21 décembre 2016 15:40

    - See more at: http://www.lesoleil.sn/2016-03-22-23-17-43/item/59201-cooperation-senegal-france-sept-accords-strategiques-signes.html#sthash.WLiVqRYx.uQU1HM6r.dpuf

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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (13:41 PM)
    Ce TAS sera une surprise pour le maquis en 2019... Irréprochable jusque là, c'est qu'il est bien conseillé et a un plan de route bien défini.

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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (13:49 PM)
    il a TAS de casseroles il n'a qu'a se tenir tranquille ,
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    Auteur

    Dex

    En Mai, 2017 (14:05 PM)
    Mais boun mo meuna doul
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (14:09 PM)
    TSF = TOUT SAUF TOTAL !



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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (14:19 PM)
    Heureusement que TASca refusé de signer. Sinon en cas de pépin c'est son nom qui sera livré à une certaine presse comme unique responsable tel le cas de Ngouye Ndiaye aujourd'hui avec le quotidien.
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    Auteur

    Macky

    En Mai, 2017 (15:05 PM)
    ce n'est pas a sa famille que le peuple demandera des comptes cette article est bidon je ne vois comment ils peuvent parler au nom de thierno alassane sall s'il a quelque chose a dire .et je tiens a préciser que tas fait toujours parti de benno bokk yakar
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (16:14 PM)
    INVOCATION POUR ÊTRE ABSOUS DE TOUS SES PÉCHÉSCOMME UN NOUVEAU-NÉ

    Celui qui récite cette invocation,après la prière du matin, aura la rémission de tous ses péchés (il sera comme un nouveau-né, sans péché). Il sera aussi à l’abri de soixante douze (72) fléaux dont la syphilis (siti) et la lèpre (ngaana) sont les moins graves. Il lui sera adjoint soixante dix (70) anges qui demanderont pardon en sa faveur jusqu’au coucher du soleil. LIEN DE LA VIDÉO: youtu.be/3fEc1Mz7_qQ
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (16:24 PM)
    profite en, bientôt les sénégalais vont t 'oublier  :contaan: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (18:33 PM)
    ay macky gaz sall. boun gaz ndione et alioune gaz sall maylèniou diam wala dou sèd sen cotè, yèn 3 yoyou dinguen poupe gaz dè
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    Auteur

    Anonymebill

    En Mai, 2017 (18:36 PM)
    COURAGE ALASSANE. POURQUOI TU NE PARLES PAS? LES PROCHES NE SONT PAS CRÉDIBLES OU BIEN ?
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (20:27 PM)
    pourquoi TAS REfuse-t-il de parler? c'est un manque de courage , cela ne ressemble pas à l'individu. la politique c'est autre chose soit on fait ce que le chef veut, soit on quitte. TAS il ne faut pas vouloir une chose et son contraire.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (20:41 PM)
     :brawoo:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (03:16 AM)
    Je connais très bien Thierno Alassane Sall. C'est un petit frère et ami. Je suis avec lui pendant plus de 45 ans. Nous avons fait l'école Coranique, Lycée Malick Sy et les études supérieures ensemble et beaucoup d’autres choses que nous avons partagées pendant tout ce temps.



    Tout ce que je peux dire c’est que Thierno comme que je l’appelle est homme honnête, sincère, véridique et a été toujours constant. Il a des principes et des valeurs qui lui ont été inculqués depuis le bas âge par ses parents. C’est indéniable. Nul ne pourra le nier.



    Je n’ai pas parlé avec Thierno mais je sais qu’il ne peut pas comprendre les mutations que Macky Sall a subies après être devenu Président de la République. La seule vérité est que Macky Sall a complètement perdu la tête et a trahi le peuple Sénégalais.



    Pour avoir participé dans le combat contre le régime de Wade pendant plus de 10 ans, ce que j’ai vu et constate apres cette alternance c’est que Macky Sall est un ingrat de pure espece.



    Bocar Moussa Ba

    Nouvelle Vision Africaine

    Washington-DC
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2017 (11:22 AM)
    ya wah deug macky mbame la diame la thimmmmmmmmmmm
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    Auteur

    Anonyme

    En Juin, 2017 (15:06 PM)
    cet tree garave
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