Sous le regard attentif des journalistes membres du Groupe de recherche environnement et presse (Grep), le représentant de l’agence nationale d’aquaculture (Ana), Abdoulaye Diallo, a fait visiter une des stations piscicole de ladite structure située à proximité du point Emile Badiane. Et le technicien en a profité pour appeler les pêcheurs et investisseurs à miser sur ce secteur. Il a auparavant alerté les acteurs et décideurs politiques sur la surexploitation des ressources halieutiques et la dégradation progressive de la mangrove.
Selon lui, l’aquaculture peut être une alternative pour protéger l’environnement et l’écosystème marin et surtout contribuer à approvisionner les populations sénégalaises en protéines d’origine animales. En chine, indique-t-il, « les poissons aquacoles représentent 60 de la consommation. Les chinois élèvent ce qu’ils mangent. Et cela a le mérite de participer au repos biologique », a-t-il signalé.
Au Sénégal, c’est tout à fait le contraire, la pisciculture ne représente, selon lu, qu' 1% de la production. Cette tendance est selon lui à renverser pour un développement durable. D’ailleurs, c’est dans ce sens qu’il en appelle aux bailleurs de fonds à appuyer ce sous-secteur pour booster la production.
Au Sénégal, c’est tout à fait le contraire, la pisciculture ne représente, selon lu, qu' 1% de la production. Cette tendance est selon lui à renverser pour un développement durable. D’ailleurs, c’est dans ce sens qu’il en appelle aux bailleurs de fonds à appuyer ce sous-secteur pour booster la production.
Car, ajoute-t-il, même si certains Sénégalais préfèrent le poisson d’eau de mer, il n’y a pas de grande différence avec le poisson d’eau douce. « Tout dépend des talents du cuisinier », ajoute-t-il plus légèrement.
S’adressant aux autorités, il leur demande de subventionner l’aliment de poisson (le son de riz, phytoplanctons, etc). « Les pêcheurs manifestent de l’intérêt pour cette activité mais pour eux ce n’est pas évident. Il faut des subventions et un accompagnement pour faciliter leur reconversion », a-t-il conclu.
Rappelons que le sous-secteur souffre au Sénégal de nombreuses contraintes qui entrave jusqu’ici son développement. Il s’agit, entre autres, de la faiblesse des financements, de l’absence de cadre juridique et fiscal, de l’harmonisation des interventions de l’Etat ou encore de la faiblesse des capacités techniques et des espaces aménagés.
S’adressant aux autorités, il leur demande de subventionner l’aliment de poisson (le son de riz, phytoplanctons, etc). « Les pêcheurs manifestent de l’intérêt pour cette activité mais pour eux ce n’est pas évident. Il faut des subventions et un accompagnement pour faciliter leur reconversion », a-t-il conclu.
Rappelons que le sous-secteur souffre au Sénégal de nombreuses contraintes qui entrave jusqu’ici son développement. Il s’agit, entre autres, de la faiblesse des financements, de l’absence de cadre juridique et fiscal, de l’harmonisation des interventions de l’Etat ou encore de la faiblesse des capacités techniques et des espaces aménagés.
6 Commentaires
Anonyme
En Août, 2015 (15:44 PM)et même mieux je vous fais confidence mieux que tout nègre sénégalais
Anonyme
En Août, 2015 (15:58 PM)Anonyme
En Août, 2015 (16:51 PM)Prenons la transformation des mangues qui pourrissent en Casamance, pourquoi ne pas les transformé en fruits secs et en jus par une compagnie nationale dont le capital sera ouvert à tous les sénégalais. On serait tous investisseurs avec droit de regard sur la gestion et le choix des hommes.
Patriot
En Août, 2015 (17:31 PM)Anonyme
En Août, 2015 (23:08 PM)Rien de serieux n est fait depuis et on fait de l"aquaculture une des mamelles du pse...pardon PSE !!!
Anonyme
En Août, 2015 (17:14 PM)Participer à la Discussion