Et pour cause: depuis leur nomination, des conflits sont notés entre ces derniers et les ministres qui assurent la tutelle. Et aucun ministère, doté d'un Secrétariat d'Etat, ne fait exception à la règle. Aussi, dans la mise en œuvre des politiques publiques, il y a de réels conflits de compétence entre les ministres et leurs Secrétaires d'Etat, qui, dans les faits, peinent à accomplir correctement leur mission, faute de moyens.
Politique
Réaménagement gouvernemental: Macky va se débarrasser des Secrétaires d'Etat
Macky Sall a décidé de réaménager son gouvernement. Selon le journal Regards, le chef de l'Etat est en train de réfléchir sur un nouveau gouvernement pour davantage accélérer la mise en œuvre de son programme économique axé sur le Plan Sénégal Emergent (Pse). Si le Premier ministre, Mohammad Dionne, va rester à son poste, nombre de Secrétaires d'Etat seront virés du gouvernement, et les plus chanceux, seront reconvertis en ministre-conseiller.
15 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (08:00 AM)Lang Devy Père
En Janvier, 2016 (08:07 AM)C'est pas con comme idée: ça coûtera moins cher au contribuable et ça fera moins de mange-mil à semer la confusion dans l'action gouvernementale.
"nombre de Secrétaires d'Etat seront virés du gouvernement, et les plus chanceux, seront reconvertis en ministre-conseiller.
... depuis leur nomination, des conflits sont notés entre ces derniers et les ministres qui assurent la tutelle. Et aucun ministère, doté d'un Secrétariat d'Etat, ne fait exception"
Ca par contre, c'est très con: c'est comme enlever leurs flingues à des personnes qui veulent s'entre-tuer mais leur laisser leurs machettes pour s'affronter: de toutes façon ça fera des cadavres.
Mansawali Walimansa Mansa 2016
En Janvier, 2016 (08:07 AM)OUI VRAIMENT QUAND ON EST PRIS ENTRE LES FEUX CROISÉS DU FOUR DE SA SA
PROPRE MAJORITÉ COMME DU MOULIN DE SON OPPOSITION ON DOIT BIEN SAVOIR
DOSER SES FORCES POUR REFAIRE LE RÉÉQUILIBRAGE POLITIQUE DE TOUTE LA
FORCE VIVES DE LA NATION. LA STABILITÉ POLITIQUE DE NOTRE PAYS EST A CE PRIX
Anonyme
En Janvier, 2016 (08:13 AM)Au senegal ont a tjrs ete neutre dans les conflit mais macky veut installer l ete durgence comme ca plus d elections plus rien il controllera le pays comme un dictateur et restera sur son fauteuil pour longtemp
Le peuple ne veut plus de macky qu il degage ce voleur, ce dictateur
Diegaan
En Janvier, 2016 (08:45 AM)WAKH DEUGG CE REGIME EST INCCAPABLE DE GERER NOS PROBLEMES
Maky Degage
En Janvier, 2016 (08:59 AM)Foulbés,
En Janvier, 2016 (09:07 AM)Macky Korr Mareme Faye
En Janvier, 2016 (09:08 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:17 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:17 AM)Joe
En Janvier, 2016 (10:01 AM)Joe
En Janvier, 2016 (10:01 AM)Kaw Kaw
En Janvier, 2016 (10:02 AM)En plus à part le cas Affaires Etrangères/ Sénégalais de l'extérieur, je ne vois pas de conflit. Au contraire c'est de l'émulation, de la complémentarité qu'il s'agit, tout ceci pour le bien du Sénégal qui est émergent quoi qu'on dise.
P. A. Konte
En Janvier, 2016 (10:34 AM)• Rassembler les Patriotes,
• Restaurer les Valeurs,
• Rebâtir l’Etat de droit,
• Relancer l’Economie,
Voilà les 4 principes politiques dénommés les 4R du Mouvement TAXAW TEMM. Il y a déjà plus de 3 ans, le Mouvement Taxaw Temm prévenait que Bennoo Bok Yaakar (BBY) n’était pas un ensemble conçu et structuré en 2012 pour gouverner le pays, mais plutôt une réponse conjoncturelle à une situation politique précise de notre pays, donc une dirée de vie limitée à l’atteinte de cet objectif. Les courants politiques qui composent ce BBY sont tellement variés, divers, et antinomiques, que ce n’est tout de même pas surprenant qu’il n’y ait pas de visibilité dans le paysage politique actuel du Sénégal. Ce BBY (Baby=Bébé en anglais) est plutôt un ensemble dans lequel les coups de pied se perdent créant ainsi une énorme confusion au sein et entre les institutions de notre pays. Dans de telles conditions, ce Bébé là ne grandira jamais.
Pourtant bâti par de grandes figures spirituelles et temporelles pour en faire une nation respectable et respectée, notre modèle de gouvernance reposait sur des valeurs républicaines et cardinales qui lui ont toujours garanti stabilité et cohésion, aujourd’hui, malheureusement mises en danger par des lichens et confusionnistes « politiques » hors pairs. Le risque est encore plus grand et plus inquiétant dans un autre registre.
Conduire la destinée d’une nation est un exercice dont les acteurs doivent faire preuve d’une certaine aptitude, parce que l’appareil qu’est l’Etat doit être piloté par des compétences. Il n’est et ne doit pas être le lieu de promotions politiques gratifiantes, mais plutôt l’expression d’une puissance publique au service de la patrie et de ses populations, et non au service de magouilleurs politiques dont les agendas et comportements frisent la trahison du peuple.
Cette conduite doit être guidée par une approche prospective qui promeut le MERITE afin d’entretenir la culture de l’excellence et de la qualité chez les jeunes générations, plutôt que de faire l’apologie de la « MEDIOCRITOCRATIE » au nom de « DANIOUYE POLITIK » ou bien même pire « NIO GAGNE DANIOUYE NGOUROU ». Mais réflechissons un peu quand même. Depuis que nous nous sommes « abonnés » à une telle pratique, la tension sociale ne cesse de prendre des proportions de plus en plus incontrollables.
Lorsque les anciennes générations ne pensent qu’à elles mêmes, ignorant royalement les besoins de la relève, et cherchent par tous les moyens à s’agripper aux faveurs du pouvoir,
Lorsque les jeunes générations sont laissées pour compte à tous les niveaux cruciaux de leur formation citoyenne et civique, étant même à la merci de l’influence destructrice d’une certaine presse appelée « 4ème Pouvoir » qui n’a comme mérite que de la « crétiniser » alors que nous nous targuons d’avoir des instruments de régulation de contenus des programmes de diffusion,
Lorsque des illusions sont vendues à travers des chiffres (croissance sans productivité) pendant que les souffrances socioéconomiques des familles sénégalaises, elles, reviennent au galop, que le taux de chômage des jeunes grimpe (pas de dividende démographique), que le secteur de l’éducation croule sous le coup de tensions qui perdurent que les collectivités locales sont dans un desarroi total,
Alors, comment ne vivrions-nous pas toutes ces sortes de crises ? Crise patriotique, Crise des Valeurs, Crise de l’Etat de Droit, Crise Economique.
Chers compatriotes, RESSAISISSONS NOUS. Ne jouons pas les FATALISTES. Toutes la nations ont une histoire dans laquelle des hommes se sont sacrifiés pour le bénéfice et le bien être des générations futures. Arrêtons de conjuguer au présent et de mépriser le futur (je suis au pouvoir, je suis fort, je fais ce que jeux, je prends ce que jeux, et demain, advienne que pourra). NON. Le Sénégal appartient aussi à des générations qui ne sont pas encore nées. Ayons au moins la décence de leur léguer un pays socialement stable, économiquement durable, et donnons leur la chance de porter haut le flambeau de SUNUGAL.
Anonyme
En Janvier, 2016 (11:09 AM)Mais son réveil sera brutal. On l'attend aux élections de 2017.
Vous les sénégalais qui êtes relégués au second plan au profit des toucouleurs levez vous et dites non
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