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Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

Réforme constitutionnelle : L'intégralité du discours de Macky Sall

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Photo : Seneweb.com

Sénégalaises, Sénégalais,

Mes chers compatriotes,

Dans mon message du 31 décembre 2015, je vous avais entretenu du projet de révision de la constitution que je compte soumettre au référendum.

Conformément à l’article 51 de la constitution, j’ai saisi pour avis, le Président de l’Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel.

À la suite de l’avis du Président de l’Assemblée nationale transmis par lettre en date du 18 janvier 2016, le Conseil constitutionnel vient de me notifier la Décision n° 1/C/2016 du 12 février 2016 portant sur le projet de révision constitutionnelle.

Mes chers compatriotes,

Je me dois de rappeler ici l’objet et la finalité de la réforme que je vous soumettrai.

Il s’agit de moderniser et de stabiliser nos institutions, de consolider notre démocratie et la forme républicaine de l’État, de renforcer l’État de droit et d’améliorer la gouvernance des affaires publiques.

Dans le projet de révision que j’ai soumis à l’examen du Conseil constitutionnel, j’ai tenu à réaffirmer mon engagement pour la restauration du quinquennat de manière irréversible.

Cet engagement traduit ma conviction profonde qu’ il est bon et sain que le peuple puisse faire entendre sa voix dans des délais raisonnables, en élisant le Président de la République tous les cinq ans. De plus, le quinquennat est plus conforme aux standards internationaux en matière électorale pour une démocratie qui se veut majeure et moderne comme la nôtre.

J’ai donc proposé dans la réforme une disposition transitoire à l’article 27 de la constitution prévoyant que la durée de cinq ans du mandat du Président de la République s’applique au mandat en cours.

Ayant, par-dessus toute considération, le souci de respecter et de faire respecter la constitution et les lois de notre pays et, en tant que gardien de la constitution et garant du fonctionnement régulier des institutions, j’ai demandé au Conseil constitutionnel de m’indiquer si l’ensemble du projet de révision de la constitution était conforme à l’esprit général de la constitution du 22 janvier 2001 et aux principes généraux du droit.

Le Conseil, dans sa Décision précitée, a conclu à la régularité de la procédure de révision.

Il a également estimé que le contenu de la révision est conforme à l’esprit général de la constitution et aux principes généraux du droit, sous réserve des observations qu’il a formulées. Ainsi, sur l’application de la réduction au mandat en cours du Président de la République, le Conseil constitutionnel considère que cette disposition doit être supprimée, au motif qu’elle n’est conforme ni à l’esprit de la constitution ni à la pratique constitutionnelle.

Se fondant sur l’histoire constitutionnelle de notre pays et l’expérience d’autres États partageant la même tradition juridique, le Conseil constitutionnel considère que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, dont la durée, préalablement fixée dans le temps, et par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle.

S’agissant des dispositions non susceptibles de révision, le Conseil juge nécessaire de réduire la liste des matières concernées.

J'en ai pris bonne note. Je ne proposerai donc comme dispositions non susceptibles de révision dans le texte final à soumettre au peuple, que la forme républicaine de l'État, disposition déjà consacrée par la constitution, le mode d’élection du Président de la République, le quinquennat, ainsi que le nombre de mandats présidentiels consécutifs limité à deux.

Enfin, concernant l’augmentation du nombre des membres du Conseil constitutionnel, la haute juridiction estime que la rédaction de l’article 89 nouveau de la constitution doit être revue pour tenir compte de cette augmentation.

J’entends me conformer à la Décision du Conseil constitutionnel.

En conséquence de quoi, le mandat en cours du Président de la République connaitra son terme en 2019.

Au demeurant, l’article 92 de la constitution m’y oblige, en ce sens qu’il prescrit que, je cite : « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucune voie de recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles » fin de citation.

Je ne saurais déroger à cette règle, sachant que c’est l’autorité attachée aux délibérations de notre système juridictionnel qui donne force et crédibilité à nos institutions, condition sine qua non d’une démocratie majeure et apaisée et d’un État de droit vigoureux et durable.

Je veillerai donc à ce que tous les aspects de la révision constitutionnelle soient conformes à la Décision du Conseil constitutionnel.

Mes chers compatriotes,

À la lumière de ce qui précède je convoquerai le référendum le dimanche 20 mars 2016.

Si j’ai préféré cette voie, en lieu et place de la voie parlementaire, c’est parce que le référendum reste le meilleur gage d’une appropriation populaire de la réforme.

Je considère, en effet, que parmi les formes de gouvernance établies entre les hommes, la démocratie veut que le dernier mot revienne toujours au peuple, comme fondement et source de légitimité du pouvoir.

Seule donc, en définitive, votre voix compte, parce que seul le peuple est souverain.

En nous rendant au référendum du 20 mars, après ceux de 1963, 1970 et 2001, nous ferons ainsi revivre, pour la quatrième fois depuis notre accession à la souveraineté internationale, une vieille tradition démocratique de notre pays.

Le 20 mars, mes chers compatriotes, chacun de nous aura donc son mot à dire dans la décision que nous prendrons ensemble sur la voie de notre destin commun.

Ce destin nous engage.

Ce destin, je le vois grand, comme est grande l’ambition que nous nourrissons tous pour notre démocratie.

C’est pourquoi je souhaite que nous nous mobilisions tous ensemble pour voter Oui au projet de révision constitutionnelle.

Oui, pour un État de droit renforcé ;

Oui, pour un nouveau souffle démocratique,  adapté au rythme de notre temps ;

Oui, enfin, pour des institutions fortes, crédibles et stables.

Voilà, mes chers compatriotes, ce que je vous propose au référendum du 20 mars pour conforter nos idéaux partagés, pour consolider notre démocratie, et pour qu’ensemble nous continuions notre marche ferme et résolue vers notre destin commun.

Vive la République !

Vive le Sénégal !



53 Commentaires

  1. Auteur

    Don

    En Février, 2016 (21:02 PM)
    Soyons zen et attendons 2017 aux législatives pour donner.reponses
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    Salamont

    En Février, 2016 (21:02 PM)
    Où va la république quand ceux qui nous gouvernent se de disent sans cesse
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    Salamont

    En Février, 2016 (21:02 PM)
    Où va la république quand ceux qui nous gouvernent se de disent sans cesse
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    Salamont

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    Où va la république quand ceux qui nous gouvernent se de disent sans cesse
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    Salamont

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    Où va la république quand ceux qui nous gouvernent se de disent sans cesse
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    Où va la république quand ceux qui nous gouvernent se de disent sans cesse
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    Salamont

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    Salamont

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    Don

    En Février, 2016 (21:02 PM)
    Soyons zen et attendons 2017 aux législatives pour donner.reponses
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    Salamont

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    Salamont

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    Souleymanes

    En Février, 2016 (21:50 PM)
    Ki dou goor,



    On l'attend aux legislatives.



     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Alassane

    En Février, 2016 (22:03 PM)
    Vous aurez beaucoup de mal à sortir vos pays de la misère et de la pauvreté avec tous ces despotes que vous avez qui vous exploitent et qui s'accrochent au pouvoir. Tous les prétextes sont bons pour rester. Bon courage...
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    Anonyme Poil

    En Février, 2016 (22:18 PM)
    Personne n'est dupe...Cela dégageait cette farce de mauvais goût dès la première année passée. Le "porte parole" du Quotidien a "vendu" la mèche depuis ce matin......Aujourd'hui, ils nous servent l'arme du Conseil Constitutionnel alors qu'en 2012, ils ont brûlé le pays pour contester la décision du CC.WAX WAXEET VIA CONSEIL CONSTITUTIONNEL.........
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    Anonyme

    En Février, 2016 (22:21 PM)
    merci monsieur le président yalna gui fi yague
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    Sopp Macky

    En Février, 2016 (22:28 PM)
    UN BON PRESIDENT ET EXEMPLAIRE AGIT COMME VOUS
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    David

    En Février, 2016 (22:46 PM)
    Je ne suis membre d'aucun parti. J'estime que le Président Macky ne s'est pas dédit. Le Conseil constitutionnel a dit le droit. Nous sénégalais nous voulons prendre nos désirs pour des réalités. On n'est prêt torpiller le droit sous prétexte de respecter des promesses électorales. On oublit volontairement que le serment constitutionnel est au dessus des promesses électorales. Arrêtons de manipuler le peuple sénégalais. Mieux, le candidat avait fait des promesses plus importantes, celles relatives aux cent mille emplois. Merci les poticiens en mal de popularité avec une presse ignorante ont voulu imposer au Sénégalais une élection anticipée. Il faut qu"on travaille pour développer ce pays. Ayons le courage de laissons nos institutions faire la preuve leur force et de leur faiblesse.
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    Anonyme

    En Février, 2016 (22:53 PM)
    Où se trouve donc le problème puisque c'est le peuple qui va décider le 20 mars ?  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Ayoub

    En Février, 2016 (23:02 PM)
    cher amis et fréres svp votons oui pour nos bien le bien notre cher teranga ( sunugal).
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    Ayoub

    En Février, 2016 (23:02 PM)
    cher amis et fréres svp votons oui pour nos bien le bien notre cher teranga ( sunugal).
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    Ayoub

    En Février, 2016 (23:02 PM)
    cher amis et fréres svp votons oui pour nos bien le bien notre cher teranga ( sunugal).
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    Assy

    En Février, 2016 (23:19 PM)
    Sur l’avis du Conseil Constitutionnel et la décision du Président de la République

    Relire le texte de Feu Guy Carcassonne, éminent constitutionnaliste, sur la constitution sénégalaise

    « En effet, il n’y a nulle rétroactivité mais seulement application de la loi dans le temps (approche juridiquement tout à fait erronée).

    Sans entrer dans plus de détail que nécessaire, l’élection n’est rien d’autre qu’une forme particulière de nomination, ce que Marcel Prélot appelait un « acte-condition », rappelant que « des volontés orientées dans le même sens s’additionnent en vue de produire un effet de droit» . Ainsi, lorsque les électeurs ont désigné l’intéressé (les « volontés orientées dans le même sens »), celui-ci accède à un statut déterminé (« l’effet de droit »).

    Ce statut ne résulte en rien d’un contrat négocié et conclu entre électeurs et élu. Il est celui que déterminent les lois et règlements en vigueur et, pour le chef de l’Etat, la Constitution elle-même.

    Dès lors, nul titulaire d’une fonction élective ne peut prétendre avoir acquis des droits qui lui seraient personnels. Il a simplement accédé au statut applicable à la fonction pour laquelle il a été choisi, et ce statut peut à tout moment évoluer, dès lors qu’il le fait selon les formes et conditions prescrites.

    Pour raisonner sur une hypothèse d’école, s’il prenait demain la fantaisie au constituant, qu’il soit ici sénégalais ou français, de supprimer le poste de Président de la République, par exemple pour le remplacer par un organe collégial (Comme c’est le cas en Suisse), celui en exercice ne saurait prétendre demeurer en fonction pour cela seul qu’il avait été élu pour un mandat, de sept ou cinq ans et disposerait de ce fait d’un droit à le mener à son terme. Ce serait là une conception patrimoniale de la fonction, qui n’aurait ni fondement ni justification.

    Comme tous les corps constitués, le Président de la République n’a nuls autres droits que ceux que la Constitution lui confère et qu’elle peut tout aussi bien lui retirer ou amputer. En d’autres termes, il n’est que l’occupant de la fonction, il n’en est pas le propriétaire.

    Dans ces conditions, si change un élément quelconque du statut que la Constitution a prévu pour le Président de la République, ce changement est immédiatement applicable, sauf disposition expresse contraire, laquelle ne peut être prise que par le constituant lui-même.

    Ici, il n’y a donc pas de rétroactivité, pas plus, au demeurant, qu’il n’existe de réel conflit d’application de la loi dans le temps : c’est la Constitution en vigueur qui s’applique à tout moment dont, en l’occurrence.



    Par ailleurs, «

    Puisque, sauf précision constitutionnelle contraire, le passage de sept à cinq devait jouer dès son adoption, il pourrait être tentant d’en déduire que, de la même manière, le nouveau passage de cinq à sept devrait lui aussi jouer dès son adoption.

    Mais il est nécessaire de résister à une telle tentation pour la simple raison que ces deux opérations, en droit, ne sont pas symétriques.

    Dans le premier cas, en effet, celui du passage de sept à cinq ans, seule la situation du chef de l’Etat eût été affectée par une application immédiate. Or, on sait qu’un Président de la République ne dispose d’aucun droit au maintien du statut que la Constitution avait prévu au moment de son élection mais qui peut évoluer ensuite, y compris durant le mandat (supra, 8).

    Au contraire, la situation des électeurs, elle, n’eût pas été affectée si le quinquennat s’était appliqué aussitôt. Ils eussent conservé leur droit à désigner le chef de l’Etat et eussent simplement été appelés à l’exercer plus tôt qu’initialement prévu, exactement comme cela peut se produire dans d’autres circonstances – démission, empêchement définitif, décès – qu’évoque le second alinéa de l’article 31.

    Très différente serait l’hypothèse d’une prorogation du mandat en cours qui, initialement confié pour cinq ans, serait porté à sept. Là, ce n’est plus seulement la situation du chef de l’Etat qui se trouverait affectée, mais celle des électeurs eux-mêmes, donc du peuple sénégalais qui s’exprime par le suffrage universel.

    Ce dernier, contrairement au chef de l’Etat, n’est pas un des corps constitués dont l’article 6 dresse la liste. Il est, comme cela est proclamé dès le début du préambule, « le peuple du Sénégal souverain ». C’est à lui, comme l’énonce l’article 3, que « la souveraineté nationale appartient ».

    Rien, dans ces conditions, ne saurait lui être imposé à quoi il n’ait pas formellement consenti.

    Certes, il a consenti, en adoptant la Constitution, à ce que celle-ci puisse être modifiée selon la procédure prévue à cet effet. Certes encore, cette procédure peut se dérouler sans que le suffrage universel y participe et les deux procédures concurrentes prévues par l’article 103 – référendum ou Congrès – sont l’une et l’autre également conformes à la loi fondamentale, sans qu’il y ait lieu à les hiérarchiser en droit, même si elles sont d’essences différentes en termes politiques.

    Mais la révision de la Constitution ne saurait priver le suffrage universel de pouvoirs qui n’appartiennent qu’à lui. Elle peut lui en conférer davantage, comme a fait le nouveau second alinéa de l’article 27, mais on ne saurait imaginer, par exemple, qu’une révision de la Constitution opérée par la voie seulement parlementaire ait pour objet un jour de confier une présidence à vie à un Président en fonction, même s’il a été régulièrement élu auparavant.

    En d’autres termes, la Constitution, bien qu’étant la norme suprême, ne peut offrir que ce qui relève d’elle et qui est considérable. Mais ne relève pas d’elle la possibilité de faire en sorte qu’un Président précédemment élu pour une durée donnée soit valablement considéré comme élu pour une durée supérieure, quelle qu’elle soit. Ainsi même la Constitution ne pourrait-elle faire qu’un Président élu pour cinq ans le soit pour sept ».

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    Auteur

    Lepatriote

    En Février, 2016 (23:20 PM)
    C'est très fort d'entendre cela:

    "Je ne saurais déroger à cette règle, sachant que c’est l’autorité attachée aux délibérations de notre système juridictionnel qui donne force et crédibilité à nos institutions, condition sine qua non d’une démocratie majeure et apaisée et d’un État de droit vigoureux et durable."
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (23:25 PM)
    REFERENDUM N'A PLUS DE SENS.BOYCOTTONS TOUS CE REFERENDUM CHERS CITOYENS.



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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (06:21 AM)
    Vend appartement3chambres2salles de bain1salon1balcon a HannesMaristes Dakar.22millions fcfa Facilites paiements ok Appeler mr mbaye USA 2018786328
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    Mansawali Walimansa Mansa 2016

    En Février, 2016 (09:08 AM)
     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">  

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    ICI, NOTRE DERNIER MOT C’EST DE METTRE ET REMETTRE CE PAYS AU TRAVAIL POUR DE BON

    ICI, LA PROMESSE ÉLECTORALE DE MACKY A FONDU COMME BEURRE SOUS LE SOLEIL DE MIDI

    NON A LA RÉDUCTION DU SEPTENNAT ET OUI AU BLOCAGE A VIE DE QUINQUENNAT EN VUE



    Macky « débouté »

    Mais Macky debout

    Oui le débat est clos





     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :fbhang: 

     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :fbhang: 
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    Auteur

    Boy Fanta

    En Février, 2016 (09:12 AM)
    tu profites tjs dun evenement pour plaire au president soce diop tu es une grande comploteur mais a khougheul ce ne sera pas la meme chose il yaura une recomposition politique chez nous fanta est plus populaire que toi assane diop aussi meme djigo ils vont reunir leur force car tu divise pour mieux regner
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    Auteur

    Korsiga

    En Février, 2016 (09:21 AM)
    rire! il viens d'entrée dans l'histoire à reculons! au moins son père avait osé regarder les sénégalais en face et leur dire ma waxoo waxéet !

    ce que je retiens du discours d'hier du prési ce n'est pas ce qu'il a dis mais son comportement pendant il le disait! en effet , hier g vu un président de la république mal à l'aise , l'aire pas convaincu de ce qu’il disait et qui tentait malgré maladroitement de convaincre son peuple d'où la maladresse de convoquer l'article 92 de la constitution appliqué exclusivement aux décisions rendues en contentieux par le conseil constitution dans les matières de sa compétence juridictionnelle pour rappel le conseil rendue deux formes de décision

    1- des avis

    2- des arrêts les matière de sa compétence définies justement dans le premier alinéa de l'article 92 comme suit:"Le Conseil constitutionnel connaît de la constitutionnalité des règlements intérieurs des Assemblées législatives, des lois et des engagements internationaux, des conflits de compétence entre l'exécutif et le législatif, ainsi que des exceptions d'inconstitutionnalité soulevées devant la Cour suprême.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (09:21 AM)
    Merci Monsieur le Président. Vous avez pu prendre vos responsabilités en tant que première institution du pays. Votre devoir c'est de respecter la constitution. Trop de politique dans ce pays.Maintenant la fin de la recréation étant sonnée, remettons nous tous au travail et attendons 2019 inchallah pour nous prononcer. Wa Salam! :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (09:31 AM)
    c'est décevant et indigne d'un président

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    Auteur

    Taloubé Maky

    En Février, 2016 (10:01 AM)
    Voici que je me tiens à la porte et que je frappe.

    C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton coeur, jour et nuit.

    Même quand tu ne m'écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être Moi, c'est Moi qui suis là.

    J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part, le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer chez toi.

    Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, je vais réellement venir.

    Je serai toujours là, sans faute.

    Silencieux et invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour.

    Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner, de te guérir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ;

    Un amour au-delà de toute compréhension,

    un amour où chaque battement du coeur est celui que j'ai reçu du Père même.

    Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé.

    Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

    Je vais t'apporter ma lumière. Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton coeur.

    Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et de porter tous tes fardeaux.

    Je viens avec ma grâce pour toucher ton coeur et transformer ta vie.

    Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sérénité à ton âme.

    Je connais tout de toi. Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés.

    Rien de ta vie est sans importance à mes yeux.

    Je connais chacun de tes problèmes, de tes besoins, des tes soucis.

    Oui, je connais tous tes péchés,

    mais je te le redis une fois encore : Je t'aime, non pas pour ce que tu as fait,

    non pas pour ce que tu n'as pas fait.

    Je t'aime pour toi même, pour la beauté et la dignité que mon Père t'a données en te créant à son image et à sa ressemblance. C'est une dignité que tu as peut-être souvent oubliée, une beauté que tu as souvent ternie par le péché, mais je t'aime tel que tu es.

     :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Rimbalh

    En Février, 2016 (10:01 AM)
    Que faire de la demission qui est à la fois une réponse juridique et politique car l'engagement de Macky Sall devant Sarkozy n'engageait pas le peuple sénégalais.Ce débat ne s'est jamais pose avant dans notre pas.Je vais réduire est différente de je vous demande si je peux...Ainsi il a usé de subterfuges pour trouver une voie légale pour se tirer d'affaire(goure d'affaires nekh)pour deux ans encore 8 Milliard de fonds politique plus tout le nickel qui est prêt à lâcher ça ?En tout cas pas la dame qui nomme les ministres.Maintenant il appartient au peuple d'apporter les sanctions et de se fier qu'à lui même .Aujourd'hui il n'existe ni opposition ni presse privée .Les premiers sont riches avec Wade,ils ne peuvent plus supporter les lifs et les prisons tandis que les autres sont devenus tous des RTS et ils ont été promus futurs bureaucrates du palais .Des peps ont été éparpillées dans les cours de leur rédaction à la veille de ce mensonge d'état et leur bec s'est brusquement ramollis.Les unes de ce matin à part deux quotidiens montrent leur état d'esprit actuel.Ils ne nous avaient pas habitué de cette façon du temps de Wade.
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    Auteur

    Citoyencric

    En Février, 2016 (10:06 AM)
    Merci Monsieur le président d'avoir respecter la constitution et de le faire respecter. Merci pour cette marque de considération a l'endroit du peuple. Nous te devons respect et admiration
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    Auteur

    Taouloube Maky

    En Février, 2016 (10:07 AM)
    Voici que je me tiens à la porte et que je frappe.

    C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton coeur, jour et nuit.

    Même quand tu ne m'écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être Moi, c'est Moi qui suis là.

    J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part, le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer chez toi.

    Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, je vais réellement venir.

    Je serai toujours là, sans faute.

    Silencieux et invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour.

    Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner, de te guérir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ;

    Un amour au-delà de toute compréhension,

    un amour où chaque battement du coeur est celui que j'ai reçu du Père même.

    Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé.

    Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

    Je vais t'apporter ma lumière. Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton coeur.

    Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et de porter tous tes fardeaux.

    Je viens avec ma grâce pour toucher ton coeur et transformer ta vie.

    Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sérénité à ton âme.

    Je connais tout de toi. Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés.

    Rien de ta vie est sans importance à mes yeux.

    Je connais chacun de tes problèmes, de tes besoins, des tes soucis.

    Oui, je connais tous tes péchés,

    mais je te le redis une fois encore : Je t'aime, non pas pour ce que tu as fait,

    non pas pour ce que tu n'as pas fait.

    Je t'aime pour toi même, pour la beauté et la dignité que mon Père t'a données en te créant à son image et à sa ressemblance. C'est une dignité que tu as peut-être souvent oubliée, une beauté que tu as souvent ternie par le péché, mais je t'aime tel que tu es.

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    Auteur

    Anonyvoici Que Je Me Tiens à L

    En Février, 2016 (10:09 AM)
    Voici que je me tiens à la porte et que je frappe.

    C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton coeur, jour et nuit.

    Même quand tu ne m'écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être Moi, c'est Moi qui suis là.

    J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part, le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer chez toi.

    Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, je vais réellement venir.

    Je serai toujours là, sans faute.

    Silencieux et invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour.

    Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner, de te guérir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ;

    Un amour au-delà de toute compréhension,

    un amour où chaque battement du coeur est celui que j'ai reçu du Père même.

    Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé.

    Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

    Je vais t'apporter ma lumière. Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton coeur.

    Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et de porter tous tes fardeaux.

    Je viens avec ma grâce pour toucher ton coeur et transformer ta vie.

    Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sérénité à ton âme.

    Je connais tout de toi. Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés.

    Rien de ta vie est sans importance à mes yeux.

    Je connais chacun de tes problèmes, de tes besoins, des tes soucis.

    Oui, je connais tous tes péchés,

    mais je te le redis une fois encore : Je t'aime, non pas pour ce que tu as fait,

    non pas pour ce que tu n'as pas fait.

    Je t'aime pour toi même, pour la beauté et la dignité que mon Père t'a données en te créant à son image et à sa ressemblance. C'est une dignité que tu as peut-être souvent oubliée, une beauté que tu as souvent ternie par le péché, mais je t'aime tel que tu es.

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    Auteur

    Beug Maky

    En Février, 2016 (10:10 AM)
    Voici que je me tiens à la porte et que je frappe.

    C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton coeur, jour et nuit.

    Même quand tu ne m'écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être Moi, c'est Moi qui suis là.

    J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part, le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer chez toi.

    Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, je vais réellement venir.

    Je serai toujours là, sans faute.

    Silencieux et invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour.

    Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner, de te guérir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ;

    Un amour au-delà de toute compréhension,

    un amour où chaque battement du coeur est celui que j'ai reçu du Père même.

    Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé.

    Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

    Je vais t'apporter ma lumière. Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton coeur.

    Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et de porter tous tes fardeaux.

    Je viens avec ma grâce pour toucher ton coeur et transformer ta vie.

    Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sérénité à ton âme.

    Je connais tout de toi. Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés.

    Rien de ta vie est sans importance à mes yeux.

    Je connais chacun de tes problèmes, de tes besoins, des tes soucis.

    Oui, je connais tous tes péchés,

    mais je te le redis une fois encore : Je t'aime, non pas pour ce que tu as fait,

    non pas pour ce que tu n'as pas fait.

    Je t'aime pour toi même, pour la beauté et la dignité que mon Père t'a données en te créant à son image et à sa ressemblance. C'est une dignité que tu as peut-être souvent oubliée, une beauté que tu as souvent ternie par le péché, mais je t'aime tel que tu es.

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    Watt

    En Février, 2016 (10:39 AM)
    il aime bien prendre son peuple comme des guignols, maitrisant le contenu de la constitution bien avant sa candidature aux présidentielles, ce TANE BOMBE abuse au quotidien de son peuple en se prenant pour un petit dieu.

    je me souvient encore de cette phrase lâché entre les 2 tours des présidentielles, reprise en Chine, en France, au États Unis et mème au Sénégal quand il était bien assis.

    En cette date du 16 Février 2016, l'histoire retiendra qu'un homme aveuglé par pouvoir aurai menti à son peuple avec la plus grande arrogance et le plus grand mépris.

    le conseil constitutionnel n'est pas le peuple, il n'a fait qu'un rappel des dispositions constitutionnelles, rien d'autre. Par contre si Macky Sall était franc avec sa conscience et avait du respect pour son peuple, il aurait consulté le conseil administratif de la justice qui allai l'éclairer sur le chemin à prendre pour aboutir à son souhait.

    Mais puisque c'était du leurre, il est vrai qu'il est plus intelligent de se réfugier derrière ceux qui n'auront rien à nous apprendre.

    Continuez à lire ce qui est déjà su mais tôt ou tard, il y aura couché du soleil et tous ces va nus pieds iront en taule pour avoir menti et trahi le peuple.

    Un menteur ne peux pas être à la tète de la CEDEAO. Je vois mal comment ce macaque pourrait donner des leçons de morale à Yaya DIAME !
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (11:09 AM)
    Un enfant demande à son papa: "explique moi ce qu'est la politique ". Le papa répond: " c'est très simple. je vais te donner un exemple : dans notre famille, c'est moi qui rapporte de l'argent et le chef, je suis donc le président. Ta maman gère cet argent, elle est donc le gouvernement. Grand père vérifie si tout ce passe bien : il est donc le parlement. La bonne est la classe ouvrière. Nous n'avons qu'un seul but : ton bien être, tu es donc le peuple. Ton petit frère encore dans le berceau nous dirons qu'il est l'avenir."

    L'enfant a bien écouté! la nuit tombe chacun s'en va au lit. L’enfant dans le sommeil entend son petit frère qui pleure. Il se lève et va voir. En fait, le petit frère a fait caca dans son lange! Que faire? il va dans la chambre de ses parents et s'aperçoit que la maman est seule au lit et dort. Ne voulant pas la réveiller, il va à la chambre de la bonne et là! il trouve son papa dans le lit de la jeune fille. Il voit le grand-père qui regarde par la fenêtre. Ayant peur, il va se recoucher et s'endort.

    Le lendemain le papa demande: " alors mon fils tu as réfléchis et compris?" Le garçon répond " oui papa ta définition est claire : le président profite de la classe ouvrière pendant que le gouvernement dort et le parlement regarde sans rien dire. On s'en fout de ce que pense le peuple et l'avenir est dans la merde..."
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (11:47 AM)
    Un énieme coup de poignard dans le dos.

    Dieu n'aime pas les traitres.
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    Auteur

    Zad

    En Février, 2016 (12:42 PM)
    Je ne suis d'aucun parti politique, le remarque que dans notre pays il n'y a pas d'opposition constructive car je pense que dans un état de droit on doit respecter les institutions
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    Zada

    En Février, 2016 (12:55 PM)
    En 2012 les politiciens exigeaient le respect de la constitution et aujourd'hui ils demandent le contraire. Mais dans notre pays tout le monde est spécialiste de tout ?
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    Goor Goor Lou

    En Février, 2016 (13:19 PM)
    ET SI MACKY SE REFUSAIT UN DEUXIÈME MANDAT !

    Il n’ y a pas de doute que Macky Sall a été plébiscité en 2012 pour la seule raison que les Sénégalais voulaient démettre Wade. Cela fut fait avec éclat.

    La 3° génération incarnée par Macky inspirait plus que de l’espoir. Un nouveau Sénégal était possible !

    Hélas ! La real-politik des politiciens a ses raisons que la Morale réfute et bannit. Les promesses tenues, cela aurait permis à Macky, fort du soutien de la majorité des Sénégalais, n’aurait pas besoin de battre campagne pour se faire ré-élire, ce même peuple lui aurait forcé un autre mandat… Les élucubrations et virevoltes ont certes entaché son parcours et rendu cette évidence chancelante.

    Faute d’un 2° mandat aujourd’hui très aléatoire, Macky semble préférer s’arc-bouter et se suffire de son mandat en cours jusqu’en 2019 avec tous les avantages et autres prébendes dont les jouissances sont à leur comble pour lui et ses ouailles.

    En définitive, mieux vaut 7 ans de festins que 10 ans de dur labeur au service exclusif du Sénégal…

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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (14:00 PM)
    wiiri wiiri diaari ndaary 2017 ak 2019 nioo thie yamm dieroul goudal diele
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (14:14 PM)
    Maa yeureum sa ma bopp té yeureum sénégalai yi. Mais gayi néé léén ma da may guenté waay. Digué bou metti bi yeup fii laye moudjié. cheuuuuuuuu teu teu teut................
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    Auteur

    Lebonsens

    En Février, 2016 (14:44 PM)
    Jugeons nos politiques par leurs comportements. Nous ne pouvons pas confier la réforme de notre constitution à un Wax-Waxeet qui glorifie la transhumance, qui met le parti et ses proches avant la Patrie. Boycottons ce référendum ou Votons NON.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (14:56 PM)
    They Senegal wax waxèt reck dama skh rouss
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (16:59 PM)
    Méfiez-vous de ces journaux de propagande

    le « Soleil », « Walf Grand Place » racheté par Serigne Mboup, par ailleurs président de l’union des chambres de commerce du Sénégal ; « Direct Infos », sous la coupole de l’homme d’affaires Cheikh Amar et du Directeur général du Port autonome de Dakar, Cheikh Kanté ; « L’Observateur », qui appartient à son ministre-conseiller Youssou Ndour ; « Libération », propriété de son secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye ; « Le Populaire » de son allié Bara Tall, leader du mouvement « Yémalé » ; « Le Témoin » sous la coupe de Abdoulaye Bamba Diallo qui est, comme le patron du « Quotidien, Madiambal Diagne, un de ses « journalistes » ; « Rewmi », qui appartient à Mbagnick Diop, le président du Mouvement des entreprises du Sénégal, qui tient à plaire à tous les régimes, « L’As », puisque son Directeur Thierno Talla est le frère du Directeur de la Rts Racine Talla,« L’Enquête » de Mamoudou Wane, la gazette de Abdou Latif Coulibaly, « Libération » du Ministre amadou ba



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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (19:38 PM)
    j'ai été decu d'entendre le prési nous faire une ultime bafouille. décidément Mr Sall est parti pour nous mettre plein la vue. arrete stp meunoulo teh doo bayi en plus il a peur, peur de perdre le pouvoir en 2017(autant pour moi 2019 maintenant ). gamewoul gnour gui ko yalla dioh a travers le peuple. na geum yalla teh kham neh lepp daye dieh toooooot ou taaaaaard.
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    Auteur

    Weaver

    En Février, 2016 (20:30 PM)
    les cinq saï saï du conseil constitutionnel et Macky Sall ont violé le Sénégal.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (20:36 PM)
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