Les responsables du Pds assurent que Wade sera à Dakar ce lundi à 15 heures. Mais à l’heure actuelle c’est le flou total à propos du plan de vol de l’ancien chef de l’État, tête de liste nationale de la coalition Wattù Senegaal pour les législatives.
Aucune autorisation d’atterrir n’a été délivrée à l’avion privé à bord duquel le pape du Sopi compterait voyager. Pourtant, indique Oumar Sarr, le coordonnateur du Pds, la compagnie de Wade a déposé une demande d’autorisation depuis vendredi dernier et que d’ordinaire le traitement d’une telle requête prend 72 heures, voire une heure.
Le responsable libéral informe aussi qu’hier, dimanche 9 juillet, une autre demande a été déposée sans plus de succès. Mais visiblement, le directeur des Aéroports du Sénégal, Pape Maël Diop, ne prend en compte que la demande faite hier. À l’en croire jusqu’à vendredi soir, Wade n’avait pas sollicité une autorisation d’atterrir et s’il l’a fait ce dimanche, il ne faut pas espérer qu’il obtienne une suite favorable pour ce lundi.
«Un vol privé doit suivre des normes, souligne Pape Maël Diop. Il y a des autorisations qui doivent être envoyées au niveau de l’Asecna et de l’Anacim et après, il y a un plan de vol qui est validé. Ce n’est pas à 24 heures de l’arrivée d’un vol privé que l’on envoie des demandes.»
Dans tous les cas, les membres de la coalition Wattù assurent que l’avion de Wade atterrira à l’aéroport Léopold Senghor «de gré ou de force».
23 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2017 (07:37 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (08:38 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (09:03 AM)Ndiaye
En Juillet, 2017 (09:07 AM)Ndiaye
En Juillet, 2017 (09:07 AM)Ndiaye
En Juillet, 2017 (09:07 AM)Ndiaye
En Juillet, 2017 (09:07 AM)Ndiaye
En Juillet, 2017 (09:07 AM)Kegbo
En Juillet, 2017 (09:10 AM)un homme averti en vau deux mais toi tu en vaut 98
Anonyme
En Juillet, 2017 (09:14 AM)Mody Niang Bis
En Juillet, 2017 (09:26 AM)Citoyen
En Juillet, 2017 (09:29 AM)Attention, je ne suis ni de l'APR, ni du PS et encore moins d'un autre parti de la mouvance présidentielle. Et comme beaucoup de sénégalais, je pense que Macky n'a rien changé au pays sur les pratiques de Wade et des alternoceurs. Macky continue dans le même sens et ruine le pays.
Pour revenir au sujet, Wade est un vrai danger pour la stabilité de notre pays. Wade et ses alternoceurs ont non seulement ruiné et détruit notre pays, ce qui leur a valu leur mémorable fessée de 2012, mais n'ayant pas réussi à placer son fils au pouvoir, ils cherchent maintenant à installer le chaos dans notre pays.
Que les sénégalais refusent de se faire manipuler par ces voleurs et pyromanes qui veulent destabiliser le pays.
Wade, Macky avec leurs alternoceurs ont ruiné notre pays et doivent quitter le pouvoir et traduit devant la justice !!!!!
Anonyme
En Juillet, 2017 (09:39 AM)Chanter Wade avec les lettres de l’alphabet, partant de la lettre « A » à la lettre « W », c’est-à-dire de Abdoulaye à Wade.
Ambitieux, vous êtes une figure emblématique de l’Afrique
Brave défenseur des intérêts africains
Commandant de la jeunesse et du peuple africain
Défenseur infatigable de cette Afrique mère qui pleure
Essuyez nos larmes et apportez votre soutien à cette Afrique qui vous sourit
Fracassez les montagnes et réalisez l’unité africaine
Germe de l’herbe rampante qui doit unir les peuples et les régions d’Afrique
Habitants jadis, d’une même demeure que les colons ont rasé
Insistez car nous pressentons que vous pouvez y arriver
Jusqu’au bout et derrière vous, nous vous disons : en avant ABDOULAYE
Kébémer votre ville natale est derrière vous
Libérez notre continent parce que vous en avez les capacités
Missionnaire infatigable de l’Afrique, de la plume à la parole
Nul ne doute de vous car vous n’avez jamais douté des capacités des africains
Ouragan de l’Afrique qui va à la conquête du monde
Porte-parole de ce message qui se veut convainquant
Qualifié comme ne l’est personne d’autre pour être notre messager
Rationnel et Réfléchi, vous êtes l’espoir de tout ce peuple d’Afrique
Serviteur inlassable de l’Afrique, nous vous disons encore : en avant ABDOULAYE
Tonnerres et pluies ne doivent vous arrêter
Unissez l’Afrique et nous vous en serons reconnaissant
Vive l’AFRIQUE, et en avant ABDOULAYE
WADE
Ce sont les lettres qui vous chantent et j’en suis la main
Ce sont les paroles qui vous font des éloges et j’en suis la bouche
Ce sont les Hommes de Dieu qui vous remercient et j’en suis le messager
Ce sont les griots qui vous immortalisent et j’en suis le témoin
Ce sont vos parents qui se vantent de vous et j’en suis un
Ce sont les sénégalais qui vous remercient et ‘en suis le rapporteur
Longue vie grand-père car votre VIE a un SENS.
MERCI !!!!!!
saa kadior
Anonyme
En Juillet, 2017 (09:58 AM)A son age gnou beug ko indi pour qu'il soit tête de liste national di daw suis apolitique mais moy lolou.
Mom tamite ken démoul mou ndess
Hollandais
En Juillet, 2017 (10:07 AM)Wa hira Waantanaméraaaaaaaaaa!
Anonyme
En Juillet, 2017 (10:16 AM)Ma Tey
En Juillet, 2017 (10:26 AM)Rien à foutre des lois et règlements : chassez le naturel il revient au galop !!
Ma tey...on vous emmerde : avec ces raisonnement on a un citoyen qui va voter sans carte d'identité, on explose les terres protégées, on siphonne des FESMAN, on porte aux nues des incapables fourbes et voraces..
Anonyme
En Juillet, 2017 (10:50 AM)s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit Ce passage de l'état de nature à l'état civil produit dans l'homme un changement très remarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, et donnant à ses actions la moralité qui leur manquait auparavant. C'est alors seulement que, la voix du devoir succédant à l'impulsion physique et le droit à l'appétit, l'homme, qui jusque-là n'avait regardé que lui-même, se voit forcé d'agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison amant d'écoute, ses penchants. Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses. idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son âme tout entière
Jean-Jacques Rousseau (1762), Du contrat social ou Principes du droit politique 17
s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit autrui que ce qui n'est pas à soi. JJROUSSEAU
Anonyme
En Juillet, 2017 (10:51 AM)De L'etat Civil
En Juillet, 2017 (11:18 AM)s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit Ce passage de l'état de nature à l'état civil produit dans l'homme un changement très remarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, et donnant à ses actions la moralité qui leur manquait auparavant. C'est alors seulement que, la voix du devoir succédant à l'impulsion physique et le droit à l'appétit, l'homme, qui jusque-là n'avait regardé que lui-même, se voit forcé d'agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison amant d'écoute, ses penchants. Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses. idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son âme tout entière
s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit autrui que ce qui n'est pas à soi. JJROUSSEAU
Anonyme
En Juillet, 2017 (11:36 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:52 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (15:07 PM)Participer à la Discussion