« On fait du fétichisme autour de la date du 28 juillet, des élections coûte que coûte, au prix d’élections bâclées, en prenant le risque d’un chaos électoral le 28 juillet », a prédit le désormais ex-candidat à la présidentielle malienne, Tiébilé Dramé qui a annoncé son retrait de la course.
Pour lui, « il faudra prendre le temps de faire des élections propres, crédibles, dont les résultats seront acceptés », a suggéré, dans un entretien à Rfi, le président du Parena.
Convaincu que le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, est le « directeur des élections au Mali ». Notant « des difficultés de toute nature » qu’il n’est pas possible de les résoudre avant le 28 juillet, il martèle : « les conditions d’une élection régulière et crédible ne sont pas réunies pour le 28 juillet. Les habitants de Kidal sont des Maliens et doivent prendre part au choix du président de la République ».
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