Après une suspension de quelques mois due notamment à la pandémie de Covid-19, la rencontre dénommée «Gouvernement face à la presse» reprend ses droits ce jeudi matin. Ce sera à l'hôtel Terrou-Bi.
«Le ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires, Porte-parole du Gouvernement, vous invite à prendre part à l’édition «Gouvernement face à la presse» du jeudi 28 avril 2022, à 10 heures précises», informe un communiqué.
Ainsi, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, celui de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, ainsi que leur collègue du Pétrole et des Énergies, Aïssatou Sophie Gladima, répondront aux questions des journalistes.
D'après Le Soleil qui donne la nouvelle, le débat tournera autour des 100 jours du Train Express régional (TER), des questions d’actualité dans le domaine de la santé et des conséquences de la crise ukrainienne, selon les services du ministre Oumar Guèye.
«Le ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires, Porte-parole du Gouvernement, vous invite à prendre part à l’édition «Gouvernement face à la presse» du jeudi 28 avril 2022, à 10 heures précises», informe un communiqué.
Ainsi, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, celui de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, ainsi que leur collègue du Pétrole et des Énergies, Aïssatou Sophie Gladima, répondront aux questions des journalistes.
D'après Le Soleil qui donne la nouvelle, le débat tournera autour des 100 jours du Train Express régional (TER), des questions d’actualité dans le domaine de la santé et des conséquences de la crise ukrainienne, selon les services du ministre Oumar Guèye.
10 Commentaires
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Crise alimentaire mondiale... absent de ce débat. Plus manque...d'huile probable sur le marché local, un scandale pour l'ex premier producteur d'arachide plus Sonacos endormie en management tournant en rond.
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{comment_ads}Survivre !
En Avril, 2022 (07:31 AM)-
Pourquoi brusquement et mettre en branle presque toute la Presse du Pays contre le cool Ministre Alioune Sarr. Dur fût le covid. C'est le même Racine Sy qui louait les actions " concrètes " du Président de la République...via son Ministre. On l'a vu à la RTS recevoir des chèques et remercier l'état plus les mesures fiscales allégées pour le secteur. Même la DER, curieusement à remis un gros chèque au patron du tourisme Senegalais en Appui au Petites unités du secteur....Le Ministre Alioune Sarr a géré avec bcp de sérénité la crise du covid. Un peu trop inélégant cette campagne médiatique violente contre le Ministre. Ce dernier, connu pour sa réserve naturelle devrait dire sa Vérité au nom des efforts du gouvernement faits durant cette période. Il vient d'inaugurer avec le Président l'une des plus investissement hôtelie du Pays à Pointe Sarène M'bour. Il est vrai que le tourisme depuis le Président Diouf n'est pas à la place qu'il devrait être . Jadis de début d'indépendance jusqu'àu vers les années 80, notre pays était une des premières destinations d'Afrique voire du monde, aujourd'hui, nous sommes descendus du Podium, loin des pays du Maghreb qui pourtant ont vacillé lors des terribles attentats terroristes qu'ils ont connu il ya quelques années, Tunisie, Égypte en particulier. Notre pays n'a pas les infrastructures de " dernière génération" dignes des 5 étoiles dans le monde nécessaires à la clientèle de Luxe. Le Président Sall se plaignait qu'à part " le King Fahd" de... Racine Sy, c'était le désert en la matière. Il faut bien sûr des états généraux du tourisme mais imputer cette situation au Seul Ministre Alioune Sarr c'est bien injuste. I essaie de bien faire son Job sans bruit. Les silencieux sont en général efficaces. NB en Précision: citoyen très loin du Ministre qu'il n'a jamais vu de près , télé Rek lakoye guiss mais grand observateur du secteur depuis très longtemps. NB:
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{comment_ads}Defendez Votre Collègue Alioun
En Avril, 2022 (07:43 AM)-
Eh oui mon cher. Le TER vu du fond des campagnes oubliées du fond du pays. Quelle manque de priorité pour eux. Il est temps de tourner la page du train certes un acquis onéreux (on aurait pu faire mieux en montage financier moindre et équivalent) et passer à autre de futur projet émergent positif pour tout le Senegal. Liaisons ferroviaires en maillage dans tout le Pays et revivre le tracé historique Dakar Bamako et ... Niger. Et acheter un 3 em bateau pour l'axe Ziguinchor-Dakar. Le gouvernement a fait inonder la presse de ce jour d'un emprunt de plus de 309 milliards de FCFA récolté. Félicitations ADD mais grande Occasion de les mettre là vous c'est utile. Sans oublier aussi faire une piqûre financière à la Sonacos pour le sortir de son coma. Elle n'est toujours pas réveillée et .. l'huile commence à manquer dans le monde.
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En Avril, 2022 (08:38 AM)-
Nous qui habitons dans les quartiers situés le long de la voie du TER, nous disons Al Hamdoulilah !
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{comment_ads}Reply_author
En Avril, 2022 (07:41 AM)Le TER est bondé aux heures de pointe. Nous réclamons plus de wagons. Dans chaque train, on doit mettre un wagon sans siège dans lequel les passagers seront debout. Ça permettra de transporter plus de monde.
Des milliers de gens le prennent chaque jour. Des gens laissent leurs voitures à la gare pour le prendre. Le TER a diminué le problème de la mobilité à Dakar. Le BRT arrive. Ceux qui dénoncent cette réalisation n'ont pas de vision et ne mesurent pas les enjeux (service public rendu et emplois créés). Les résultats dans un proche avenir (2 ans à peu près) donneront raison aux concepteurs du TER).
C'est une infrastructure très utile comme l'est l'autoroute à péage.
Est ce que ceux qui critiquent le TER l'ont déjà pris une fois ?
Weddi guiss bokou ci.
Les sénégalais veulent tout simplement un état de droit, même si nous mangeons des insectes..
-Destituer Macky Sall
- rétablir l'état de droit
-Eradiquer la corruption
-Nationaliser les banques et les secteurs clefs de l'économie sénégalaise
- Réconcilier les sénégalais
Ter
En Avril, 2022 (08:23 AM)Pap
En Avril, 2022 (09:49 AM)Nkhson
En Avril, 2022 (10:36 AM)Il faut reconnaitre qu'une gouvernance basée sur les mensonges, le populisme, la démagogie, le pilotage à vue ne pourra jamais prospérer avec le temps. L'escroquerie d'un régime de faussaires, de piètres manipulateurs et comploteurs apparaitra toujours finalement au grand jour, par la force des choses.
Dès lors on pourrait nous épargner les discours insipides, futiles de blablateurs en manque criard d'arguments justes. Ce régime s'est longtemps joué des sénégalais en leurs vendant à prix d'or des éléphants blancs au détriment de leurs priorités vitales de survie. Des mégastructures ont été érigées pour engloutir des centaines de milliards de nos pauvres francs. Entrainant une dette qui explose avec un dépassement du seuil relatif au PIB, autorisé par la CEDEAO. Des projets électoralistes, qui pour la plupart sont conçus et réalisés pour satisfaire prioritairement les intérêts du pays maitre, la France. Mais qui certainement ont permis aussi à une partie de l'élite dirigeante de se sucrer, sur le dos des pauvres goorgoorlus sénégalais. Les marchés de gré à gré, les dessous de tables et autres commissions occultes, y sont consacrés à cœur joie
Bref cet échec de la politique cynique du Macky était bien prévisible. En effet, on ne pourra jamais faire avancer un pays en misant sur une politique d'importation tout azimut. De même on n'a pas cherché à valoriser non plus nos matières premières. Il y'a un échec patent des politiques agropastorales et de la pêche avec des conséquences graves sur l'autosuffisance et la sécurité alimentaire. La crise économique induite par la guerre russo-ukrainienne, ne fait que confirmer la vulnérabilité et la vanité de la gouvernance économique catastrophique du "Macky".
Aujourd'hui, ce régime de faussaires est mis devant ses responsabilités, lui qui a toujours vanté ses réalisations ses performances économiques à travers ses taux de croissance trompe l'œil. Il va falloir désormais qu'il résolve la difficile équation d'approvisionnement du marché intérieur en denrées alimentaires dont certaines commencent à se raréfier. Sa politique de subvention n'étant pas soutenable à terme, la solution ultime demeure en vérité, la réduction drastique du train de vie dispendieux de l'état. Si tenté que pour une fois, ce régime et son chef restent disposés à renier à leur confort et privilèges criminels qui constituent leurs raisons d'être.
Ils devront comprendre que le peuple au bord du précipice, ne leur laisseront plus l'opportunité de verser encore dans leurs sempiternelles manœuvres «politichiennes», destinées à éluder leurs difficultés. A cet effet, les élections législatives à venir vont surement réveiller certains de leur torpeur.
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