La banlieue dakaroise constitue un vivier ou un grenier électoral important. Elle devient ainsi le passage obligatoire des acteurs politiques de l’opposition et du pouvoir.
Dans ce sens, le Premier ministre Mouhammad Bounn Abdallah Dionn a fait le déplacement, hier, dans le département de Guédiawaye, pour visiter les différents chantiers du maire de la ville, Alioune Sall.
Selon « Grand-Place », la visite est loin d’être de simple courtoisie, car dégageant une forte odeur de scrutin référendaire, en vue de prendre la température du département et surtout sonder l’Etat d’esprit de la population sur la prochaine consultation citoyenne.
Politique
10 Commentaires
Mansawali Walimansa Mansa 2016
En Mars, 2016 (08:04 AM)NOTRE CONSIGNE DE VOTE C’EST DE VOTER « OUI »
VOTER « OUI » ICI C’EST VOTER UTILE POUR MACKY
VOTER OUI C’EST VOTER UTILE POUR NOTRE PAYS
VOTER «OUI» C’EST VOTER UTILE POUR LA PATRIE
VOTONS «OUI» POUR REFUSER TOUT WAX-WAXEET
VOTONS OUI CONTRE WAXWAXAAT &WAXWAXEET
VOTONS « OUI » POUR DIRE OUI AU QUINQUENNAT
Ceux qui hier voulaient voter « non » parce que simplement ils en veulent fort à Macky
à mort ou à tort ne disaient-ils pas déjà ailleurs pour d’autres raisons beaucoup encore
plus inexplicablement irraisonnables que, aujourd’hui, en 2016, le président Macky Sall,
c'est-à-dire le magistrat suprême qui, pour prendre service, en tant que président de la
république du Sénégal avait bien prêté serment ici pour respecter en tout et pour faire
respecter partout la constitution de l'État de droit et de droiture et non plus ce si simple
candidat Macky Sall qui avait formulé, en 2012, sa promesse politique ou politicienne à
polémiques doit ici se réserver le droit de passer outre l’avis du conseil constitutionnel.
ne voilà-t-il pas vraiment l’une des raisons principales pour lesquelles l’on rappelle trop
souvent à l’esprit républicain ou militant que, en pratique politique et démocratique pure
et dure à cuire, mieux vaut, assez souvent, énoncer clairement les mots de ce que l’on
veut dire pour pouvoir ou devoir expliquer plus utilement l’essentiel des utilités politiques,
civiques, éthiques ou juridiques de tout ce que l’on veut dire à l’adresse de la conscience
nationale afin de ne pas affirmer ici des boutades politiciennes de manière non seulement
tout aussi gratuite mais, aussi et surtout, afin de jeter en pâture la vacuité insondable de ces
formules lapidaires sans autre forme de procès d’intentions d’auto jugement de critique ou
de préjugés d’états d’âme. Oui tous votons oui pour voter utile devant la nation sénégalaise
Oui, voter c’est un acte en devoir civique, politique,
Éthique de l’ordre républicain citoyen dans le cadre
Des lois en rigueur et des règlements en vigueur de
L’État de droit et de droiture de la république laïque
Démocratique du Sénégal notre Pays et notre Patrie.
Watt
En Mars, 2016 (08:55 AM)Pour ces seules contre valeurs, il est bien de lui envoyer un carton jaune synonyme de NON NON NON, ce qui lui permettra de comprendre qu'il déraille.
Anonyme
En Mars, 2016 (10:01 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (10:07 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (10:55 AM)Usa
En Mars, 2016 (11:00 AM)Koursa
En Mars, 2016 (15:02 PM)Police
En Mars, 2016 (16:49 PM)Plan
En Mars, 2016 (17:26 PM)Parti Sirou
En Mars, 2016 (18:05 PM)Le Parti Socialiste vit des moments de turbulences pour ne pas dire d’opposition d’intérêts.
Senghor a managé le parti avec le pouvoir, de même que Abdou Diouf.
Aujourd’hui, Tanor, après 12 années éprouvantes dans l’opposition est dans un dilemme sérieux. Et pour cause ! La gestion d’un parti de la trempe du PS requiert de sérieux moyens matériels et financiers que lui procure sa position de parti «au pouvoir». Ce qui n’est pas forcément le cas avec Khalifa Sall qui gère, après tout, un budget municipal de la grande ville de Dakar.
Cela peut expliquer le dysfonctionnement noté ces jours derniers où le Parti est plutôt dans une position confortable contrairement aux apparences :
Dans la perspective du référendum, le PS de Tanor est favorable au «oui», alors que le PS de Khalifa Sall est pour le «non», ce qui explique le « oui-non » du Parti Socialiste.
Ainsi, il faut remarquer que si le «oui» l’emporte, le PS aura son droit de revendiquer son gain dans le camp du pouvoir, et, a contrario, si le «non» gagne, ce même PS gagne dans le camp de l’opposition. Cette position hybride donne des remous au Parti Socialiste qui, ainsi, perd de sa consistance et de son bloc de solidarité dans la camaraderie, mais gagne dans le landerneau politique comme une organisation qui compte quel que sera le résultat.
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