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Politique

Vote militaire et paramilitaire à Diourbel : Une participation insignifiante

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Vote militaire et paramilitaire à Diourbel : Une participation insignifiante
L’Etat leur a beau donné 48 heures pour qu’ils expriment leur vote, les militaires et paramilitaires de la région de Diourbel auront, eux, choisi, dans leur écrasante majorité, de rester chez eux. Un fait, à la fois, étonnant et surprenant ! Sur 577 inscrits sur l’ensemble de la région de Diourbel, seuls 168 militaires et paramilitaires ont exprimé leur vote. Ce nombre inclut 11 votants qui ont exprimé leur choix en tant que mandataires et qui ont porté le nombre d’inscrits à 588.

Mises à part celles signalées samedi, le département de Diourbel a enregistré ce dimanche 19 nouvelles voix exprimées. Du côté de Bambey, seules 10 personnes se sont ajoutées à la liste d’hier pendant qu’à Mbacké 34 votants répondaient à l’appel.

En terme de pourcentage, les suffrages exprimés sont de 28,57 %. Un taux jugé extrêmement faible par les observateurs du landerneau politique local. Un paramilitaire qui s’est abstenu de voter justifiera son acte par sa certitude que l’élection par les civils ne se fera jamais .



Mamadou Moustapha MBAYE
(APPEL)



12 Commentaires

  1. Auteur

    Diambar

    En Février, 2012 (22:18 PM)
    BOYCOTT DES MILITAIRES!!!!!!BOYCOTT DES MILITAIRES!!!

    BOYCOTT DES MILITAIRES

    BOYCOTT DES MILITAIRES

    LES MILITAIRES ONT BOYCOTTE LES URNES!!!

    LA REVOLUTION EST EN MARCHE!!!!
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  2. Auteur

    Fbi

    En Février, 2012 (22:25 PM)
    Prenez le pouvoir   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  

    Vive l armée sénégalaise prenez le pouvoir :sn: 
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    Auteur

    2012

    En Février, 2012 (23:06 PM)
    opposition mediocre qui improvise + presse hypocrite et mercantile = malheur





    sn: :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha: 
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    Auteur

    Héééééééééééééé

    En Février, 2012 (23:32 PM)
    Waw bébé ngom seuy way woté u nu leu ?
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    Auteur

    789999

    En Février, 2012 (23:49 PM)
      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :-D   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">   :hun:  :cry:  :love:  :sn:  :down:  :up:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad:  :sad: 
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    Auteur

    Crv

    En Février, 2012 (00:39 AM)
    A qui profite le crime ?

    Le peuple sénégalais subit, depuis quelques jours, des bourdonnements effroyables parfois proches, parfois lointains entrainant même des morts . La cabale est sournoise : le complot tourne à plein régime et les activistes recrutés par Idrissa Seck se réjouissent des belles provocations qui poussent partout dans leurs sanctuaires. Les auteurs, 200 anciens militaires recrutés par le maire de Thiès sont payés 20 000 f par jour. Ils montent des brigades dans les différents quartiers de Dakar et tentent de mettre le feu. Les jeunes manifestants organisés en brigade reçoivent 10 000 f par personne et par jour. Parmi eux le faux policier qui a balancé une grenade lacrymogène dans la Zawya. Chers concitoyens voilà le coup monté par Idrissa Seck . Sachant qu’il ne peut pas gagner par les urnes, IDY s’adosse sur de pauvres innocents pour faire basculer le pays dans le CHAOS . Restons vigilent.
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    Auteur

    Vooul

    En Février, 2012 (01:04 AM)
    un autre mort a keur maye fall. 2 morts pour ce dimanche un a rufisque et un a keur mbaye fall.

    Ce n'est ni la presse ni l'opposition, c'est le PEUPLE.

    Wade il est temps de quitter, yaa waxoon waxeet. DEGAGE
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    Auteur

    Lavéritéavantlapaix

    En Février, 2012 (01:09 AM)
    Au lieu de boycotter les élections et de croiser les bras après, je vous conseille de se battre du côté du peuple pour chasser Wade et ses amis.

    Je pense que c est plus utile. Car certains d'entre vous ont voté. Et il se peut que ce soient des militiares qui ont choisi Wade.

    Donc Wade va profiter du boycott de la majorité des militaires. Ce serait plus efficace si les militaires se battent dès maintenant en soutenant le peuple. Ainsi, il y aura moins de morts, moins de blessés, moins de dégâts... du côté du peuple et du côté de la police.

    LES POLICIERS ne sont pas d'accord de taper sur le peuple, mais ils n ont pas d autres moyens.

    Limitons les dégâts et rejoignez le peuple pour finir vite le travail entamé par le peuple très vaillant, désarmé.

    Dans la plupart des régimes durs, la police et la gendarmerie sont du côté du régime.

    Les militaires sont soit neutres, soit soutiennent le peuple.

    Venez nous aider, chers soldats. Sinon, votre boycott ne sert à rien. Vous ne renforcez que le régime en place avec un boycott non suivi d'actes. Wade aimerait bien que les opposants boycottent comme vous les urnes. Comme ça, il va se proclamer vainqueur sans honte.
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    Auteur

    Boy Para

    En Février, 2012 (01:29 AM)
    je fus militaire.J`ai quitte l`armee depuis de longues annees.Mais je vous assure que nos militares ne font pas le poids.C`est une honte que des civils dictent aux militares ce qu`ils doivent faire.Les vrais militaires que j`ai connu dans les annees 60 ne sont plus dans l`armee.Ils sont tous a la retraite.Alors ceux la c`etait des militaires.ILs n`hesitaient pas mm devant la mort.C`etaient des hommes a qui on pouvait compter.La plupart avaient fait la guerre d`Algerie ou le Vietnam sous les couleurs de l`armee francaise.Vive les anciens.Vive les anciens.







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    Auteur

    Lavéritéavantlapaix

    En Février, 2012 (01:46 AM)
    A boy para,

    Je suis à 100% d'accord avec vous.

    Mais reconnaissez que vos camarades militaires n'ont pas bien calculé leur geste consistant à boycotter : boycotter = laisser le régime en place continuer à faire la fête sur le dos du peuple.

    Je préfère que les militaires votent clairement, même pour Wade s ils le veulent. Mais je suis contre le boycott. En Afrique, nos dirigeants remercient Dieu, quand il y a des gens qui boycottent.

    Les dirigeants sans vergogne vont se frotter les mains.

    Je suis conte Wade. Mais s il ne s agit que de boycotter et de rester à la maison, il vaut mieux voter pour Wade pour que son score soit net et claire, sans contestation.

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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (08:05 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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    Auteur

    Dou

    En Février, 2012 (13:18 PM)
    je pense sur le faible tôt de participation des militaires et paramilitaires au vote du week end c'est que beaucoup de gens non pas pu voté à cause de leurs positions actuel qui lés sa trouvé dans une zone ou il doivent pas voté c'est à dire ils ne sont pas inscrit dans ces zones du fait des affectations et missions donc je pense pas que c t'un boycott de mon point de vu
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