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Politique

Woré Sarr : "Ce qui guette Macky…"

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Woré Sarr : "Ce qui guette Macky…"

La députée du Groupe parlementaire "Liberté et Démocratie" qui regroupe le Pds (Parti démocratique Sénégalais) et ses alliés, prévient son ancien camarade de parti devenu président. "Macky est notre frère", a soutenu Woré Sarr. Dressant un tableau noir de la situation du pays, la responsable libérale invite le successeur de Wade à faire attention parce que "c'est ce qui guettait ce dernier (avant 2012) qui le guette aujourd'hui…".



7 Commentaires

  1. Auteur

    Papis

    En Mars, 2018 (12:03 PM)
    Khame nguène si dara
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  2. Auteur

    Ddr

    En Mars, 2018 (12:32 PM)
    Depuis quand Woré Sarr se soucie des problèmes de Macky Sall? Mais je croyais, son souhait à elle et à ses frères du PDS, c'est que MS soit battu par KW en 2019.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (12:45 PM)
    c'est le syndrome de la FRANCE UN PRESIDENT UN MANDAT qui guette le SENEGAL ET MACKY SALL
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    Auteur

    Comment J'ai Mis Ma Mère Encei

    En Mars, 2018 (12:56 PM)
    Comment j'ai mis maman enceinte - chapitre 1

    par Argine





    C’est la lueur de la lumière du couloir qui m’a réveillé, car à cause de la chaleur de cette nuit d’été, j’ai laissé la porte de ma chambre ouverte. Les yeux grands ouverts, j’aperçois l’ombre d’une silhouette qui se dirige vers la chambre de maman. Tiens, me dis-je, elle a dû se lever et elle va se recoucher. J’essaye de me rendormir, mais un léger remue-ménage en provenance de la chambre maternelle agace ma curiosité, et me force bientôt à aller voir ce qui se passe dans cette pièce qui m’est habituellement interdite. Étant le seul garçon de la famille, puisque mon père nous a abandonnés ma mère, ma sœur et moi, il y a des endroits comme les chambres, dont l’accès m’est proscrit. J’ai 12 ans, et je suis un enfant sage, trop sage disent parfois les gens qui me connaissent, et je suis trop jeune pour jouer le rôle de l’homme dans la maison.

    Ma sœur ainée de 2 ans, aide beaucoup notre mère, qui a eu du mal à supporter le départ de son chéri, et qui a sombré dans une sorte d’apathie, dont elle n’arrive pas à sortir.



    Intrigué par les bruits que je perçois, je m’approche prudemment de la porte restée ouverte de la chambre de maman, et d’où sort la lueur diffuse d’une lampe de chevet. Accolé contre le chambranle, je me risque à jeter un œil vers la pièce, prêt à m’excuser si je me fais prendre, mais ce que j’y vois me laisse pantelant de surprise. Naty, ma sœur, est assise sur le lit, les cuisses entourant la tête de notre maman qui manifestement dort d’un sommeil profond. Mon ainée lui murmure des mots doux que je ne comprends pas tant elle parle tout bas, et elle a une main posée sur les cheveux blonds de sa génitrice, tandis que de l’autre, elle lui pelote doucement le sein droit. Toutes deux sont parées d’une courte nuisette de nuit, et je me surprends à regarder les jambes de ma mère que sa position a dévoilées intégralement jusqu’à la petite culotte assortie. J’ai dû faire un peu de bruit, car Naty relève la tête, me voit et me fait chut en plaçant son doigt sur ses lèvres.

    Intrigué par ce qui se passe, je m’avance dans la chambre, sans réaliser que je ne porte sur moi qu’un court tee-shirt. Mais ma sœur a repris ses caresses en me disant d’une voix douce.



    - Maman a du mal à bien dormir, et ce que je fais lui permet de mieux récupérer !

    - Ah bon, m’étonné-je ne pouvant détacher mon regard du corps maternel que je vois aussi peu couvert, pour la première fois de toute ma vie.



    Subjugué, je détaille la belle poitrine que ma sœur malaxe tendrement dans sa main libre, la taille fine, et aussi le ventre doucement rebondi où je découvre des formes, des creux, des vallées de chair jamais observés. Et je sens une chaleur commencer à irradier le bas de mon ventre, ce que constate aussitôt ma frangine qui me demande, désignant mon sexe.



    - Ben Simon, qu’est-ce que tu fais ? Ton zizi devient tout raide !



    Aussi surpris que Naty, je regarde mon sexe, jusqu’alors flasque, former une barre de chair perpendiculaire à mon ventre.



    - Ben je ne sais pas, lui avoué-je, ça me fait tout chaud !

    - C’est rigolo, s’amuse-t-elle en le soulevant du bout de son doigt, on dirait un joujou.



    À peine ma sœur a-t-elle touché le bout de mon sexe que je ressens des sensations bizarres et je m’aperçois qu’il grossit davantage et même qu’il relève la tête en palpitant.



    - Qu’est-ce qu’il m’arrive, lui demandé-je comme si elle s’y connaissait plus que moi sur ce qui se passe ?

    - Je ne sais pas, dit-elle en touchant maintenant mes boules sous la tige, mais je trouve ça cool. Ça te fait mal ?

    - Non c’est cool aussi pour moi, fais-je en admirant toujours le corps de ma maman qui dort toujours.

    - Peut-être que tu bandes, propose ma frangine qui ne cesse de jouer avec ma tige de chair. J’ai entendu des garçons en parler…

    - Et c’est grave tu crois ?

    - Mais non idiot, se moque-t-elle, ça leur plait beaucoup au contraire. Je crois que tu bandes sur maman qui est presque à poil, c’est ça ?

    - Elle est belle comme ça, apprécié-je. J’aime bien ses jambes, sa petite culotte et ses nénés aussi ! Mais, si elle se réveille, elle va nous crier, non ?

    - T’inquiète, cligne-t-elle d’un œil complice, elle a pris du somnifère ! Tu peux la toucher aussi !

    - Tu crois, hésité-je malgré ma forte envie ?

    - Mais oui bêta, me lance-t-elle en prenant ma main pour la poser sur le sein libre de maman, quelle nouille tu fais !



    Sous ma paume, je découvre une masse de chair à la fois dure et molle, avec le téton que je distingue tant il est plus dur. Délicatement, j’imite mon ainée, et je prends beaucoup de plaisir à malaxer ce globe charnu sous le tissu de la nuisette. La chaleur au bas de mon ventre s’amplifie d’autant que ma sœur me tient toujours dans sa main, et je ressens brusquement comme une décharge électrique qui me part des reins pour exploser dans ma nuque, accompagnée par des frissons sur tout mon corps. J’ai dû fermer les yeux car je les rouvre en entendant Naty qui se plaint.



    - Oh tu es dégueu, tu m’as fait pipi dessus….

    - Pardon grande sœur, je ne sais pas ce qui m’est arrivé, mais c’était agréable !

    - Tiens non, rectifie-t-elle en percevant la texture de ce que j’ai sorti de mon gland, ce n’est pas du pipi, c’est plus épais et tout blanc !

    - C’est quoi alors ?

    - Je ne sais pas, mais je trouve ça cool, et en plus ça sent bon, ajoute-t-elle en portant ses doigts poisseux à ses narines. Eh, tu redeviens tout mou !



    En effet, une douce fatigue m’envahit, et je vois comme elle, que mon zizi est redevenu tout flasque. Aussi je m’en retourne vers mon lit, en disant.



    - Je vais faire dodo, à plus, Naty.

    - Fais de beaux rêves, frangin, me lance-t-elle avant d’éteindre la lampe de chevet et de regagner sa chambre !



    Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’essaye de voir sur le visage de maman des traces de ce que nous avons fait avec Naty, mais elle est souriante, enjouée, preuve de la qualité de son sommeil et d’absence de tous souvenirs de nos gestes. Ma sœur et moi n’échangeons aucun commentaire, et nous passons la journée à l’école, comme si de rien, jusqu’au soir, après manger, quand, alors que nous regardons la télévision, elle me donne un coup de coude complice avec un geste du menton vers notre mère. Celle-ci est attablée à la cuisine, où elle compte ses médicaments qu’elle extrait du blister avec ce bruit si caractéristique, et elle nous lance avant de les avaler.



    - Allez, les enfants, il est l’heure d’aller vous coucher !



    Comme tous les soirs, en bons enfants obéissants, nous lui faisons un bisou avant de regagner notre chambre. Je me suis déshabillé, et j’attends sur mon lit que notre mère aille se coucher, avec le secret espoir que Naty va me rejoindre avant d’aller recommencer comme la veille. Je ne suis pas déçu, car ma sœur entre sans bruit dans ma chambre pour s’asseoir sur mon drap. Elle porte sur elle la même nuisette qu’hier, et je me mets à la détailler, percevant la douce chaleur revenir au bas de mon ventre en voyant ses cuisses, et surtout la petite culotte qu’elle me montre sans pudeur, assise en tailleur. D’une voix douce, elle m’informe.



    - Tu sais, frangin, je me suis renseignée à l’école. Ce qui t’est arrivé hier soir, ça s’appelle bander quand ton zizi devient tout dur. Et tu as juté du sperme, le jus blanc…

    - Ah bon, mais je ne suis pas malade, si ?

    - Mais non bêta, c’est naturel chez les garçons de ton âge ! C’est parce que tu as été excité en voyant maman en nuisette. Et, ajoute-t-elle en désignant mon slip, tu bandes encore, là !



    Effectivement, la vue de mon ainée a fait durcir mon sexe qui forme un chapiteau sur mon slip. Je trouve cette sensation très agréable, d’autant que Naty se relève et m’entraine vers la chambre maternelle. Je regarde son dos, son fessier sur lequel bouge le bas de la nuisette. Arrivés dans la pièce interdite, je repère que ma sœur est plus à l’aise et déterminée que moi, car après s’être assurée du sommeil de notre génitrice, elle allume la lampe de chevet et reprend sa place de la veille, la tête de maman entre ses cuisses. En me souriant, elle commence à caresser sur le tissu le sein gauche de notre mère, qui aussitôt se met à gémir.



    - Tu vois, me fait-elle, ça lui fait du bien. Et toi ça te plait, on dirait !



    Ses yeux sont posés sur mon chapiteau qui remue, tellement mon sexe est à l’étroit dans mon caleçon. Après avoir pris ma main pour la poser sur l’autre sein maternel, elle fait glisser mon slip libérant mon sexe qui est à la verticale.



    - Hi, hi, hi s’amuse-t-elle en donnant des chiquenaudes dessus, tu bandes ! Et je crois que c’est d’abord pour moi, non ?

    - Oui peut-être, admet-je, tu sens le tété de maman ? Il est doux et dur à la fois, c’est cool !

    - Tu sais moi c’est pareil, minaude-t-elle en prenant carrément ma tige entre ses doigts.

    - Ah bon, m’étonné-je en regardant son torse où en effet apparaissent deux monticules pointés sous le tissu ? Ah oui on dirait, mais c’est tout petit !

    - Bah, c’est normal, m’explique-t-elle, mes nichons vont grossir comme ceux de maman ! Tu veux les voir ?

    - Je veux bien, oui, fais-je les yeux grands ouverts quand elle relève sa nuisette.



    Avec une sensualité rare, ma sœur a ôté sa nuisette, offrant à mon regard une magnifique paire de petits seins d’une chair laiteuse, avec des tétons qui pointent vers le ciel. Les mamelons à peine rosés, sont tout gonflés, preuve que leur croissance n’est pas terminée. Consciente de l’effet qu’elle produit sur moi, elle s’amuse et joue de son charme.



    - Hi, hi, hi, ta bite palpite comme un oiseau ! Tu aimes mes nichons, frangin ?

    - C’est les plus beaux que j’ai jamais vus !

    - Et tu en as vu beaucoup déjà ?

    - Non, avoué-je piteusement, ce sont les premiers, mais je les aime beaucoup !

    - Tu crois que tu vas juter, s’inquiète-t-elle en décalottant mon gland rouge cerise ?

    - Je ne sais pas, sœurette, lui réponds-je fixant ses tétons d’un rose plus prononcé.



    J’ai l’impression que ses bouts de seins ont grossi davantage quand elle a commencé à me branler la queue, me donnant des vibrations de désir dans tout le corps. Dans son mouvement, elle m’a attiré vers elle, et sans réfléchir, je pose ma main en conque sur son sein le plus près de moi. Il est d’une incroyable fermeté, et d’une douceur incomparable. Sur ma paume, je sens combien son téton est dur et érigé, et ce contact charnel me déclenche une décharge électrique dans les reins, et je sens que j’éjacule violemment sans qu’elle arrête son mouvement. Aussi surpris qu’elle, je vois la première giclée de sperme atterrir sur sa poitrine, la barrant d’une zébrure blanche :



    - Hi, hi, hi, tu viens de juter sur mes nénés, frérot, s’enthousiasme-t-elle en recevant une deuxième jutée sur le cou !

    - Je suis désolé, fais-je piteusement du résultat, mais heureux des sensations que cela me procure !

    - J’aime bien, fait-elle en lâchant ma tige pour étaler ma crème sur ses seins. Il parait que c’est bon pour les poitrines des filles !



    Je reste les bras ballants, comme anéanti par le plaisir, regardant ma sœur, les mains poisseuses de ma semence. Et comme ma bite se met à dégonfler, elle me demande avec espièglerie, tout en relevant la nuisette de notre mère.



    - Je crois que tu vas encore bander en voyant les nichons de maman !



    Lorsque le vêtement maternel est entièrement remonté, je découvre une paire de seins énormes, avec de larges aréoles et des tétons en érection. C’est magnifique de beauté taboue, et je sens ma tige qui se remet à gonfler.



    - Hi, hi, hi, je le savais ! Tiens, à toi maintenant, branle-toi, frangin, m’ordonne-t-elle en palpant les seins de notre maman, qui se remet à gémir, en ouvrant inconsciemment les cuisses.



    Machinalement, je prends ma bite en main, et les yeux rivés sur ce spectacle hyper excitant, je commence à me branler, regardant les mains de ma sœur donner du plaisir à notre génitrice en sommeil. Je vois aussi les seins de Naty qui sont couverts de mon jus luisant sur ses nichons. De plus en plus vite, guidé par mes sensations, j’active ma branlette, ralentissant puis accélérant la cadence quand je sens monter le désir. Ma sœur ne se prive pas non plus, car de temps en temps elle lâche un sein pour prendre le sien et le malaxer. C’est terriblement érotique, et bientôt je ne peux me retenir et j’ai une deuxième éjaculation, qui atterrit sur la poitrine de maman et que mon ainée s’empresse d’étaler sur les globes de chair offerts. Je suis tout à coup submergé par une douce fatigue qui me fait tituber, et je suis content quand Naty recouvre le buste de notre mère endormie, et sort du lit en disant, avant de me claquer une bise sur la joue.



    - C’était trop bien, frérot !

    - On laisse maman comme ça, lui demandé-je en désignant mon jus sur les seins maternels ?

    - Oui, me rassure-t-elle en m’entrainant vers ma chambre, c’est bon aussi pour les seins des femmes, et t’inquiète, maman ne se rendra compte de rien !



    Anéanti par la jouissance, je sombre rapidement à mon tour dans un sommeil profond, appréhendant quand même le petit déjeuner du lendemain.

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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (14:12 PM)
    Bien dit. Elle a alerté comme tout bon député du peuple.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (16:00 PM)
    deuk bi yakkouna
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    Auteur

    Anonyme Fans

    En Mars, 2018 (17:10 PM)
    L OPPOSITION DOIT FAIRE ATTENTION SUR LE PIRATAGE DES ELECTIONS PAR DES INTERNAUTES LE VOTE DOUBLE AVEC LES CARTES DENTITES NUMERISEES ET LES ANCIENNES LE VOTE DES NON SENEGALAIS DE GAMBIE GUINEE BISSAU DE MAURITANIE A QUI ON A REMIS DES CARETES VOTE SENEGALAISES L INSTALLATION DES BUREAUX FICTIFS ET DES VOTES ANTICIPES IL FAUT QUE LES REPRESENTANTS DE L OPPOSITION DANS LES BUREAUX DE VOTE SOIENT INCORRUPTIBLES IL FAUT CHAQUE CITOYEN DISPOSE SA CARTES D IDENTITE NUMERISEE IL FAUTR QUE L OPPOSITION AIT DES REPRESENTANTS DANS TOUS LES BUREAUX DE VOTE INSTALLES A L ETRANGER NE JAMAIS FAIRE CONFIANCE A LA COUR SUPREME NI AU MINSTRE DE L INTERIEUR NI AUX PREFETS ET SOUS PREFETES LA POLICE LA GENDARMERIE L ARMEE NE DOIVENT ETRE MANULES POUR TUER DES CITOYENS PENSONS AUX 3 PREMIERES NIUTS DE VOS TOMBES PERSONNE NE VOUS VOIENDRA AU SECOURS QUANT AUX MAGISTRATS RAPPELEZ VOUS CE QUE QU AVAIT CHEIKH A TIJANE SY PARMI TOUS LES MAGISTRATS MORTS IL N Y A QU UN QUI NE SOUFFRE PAS TOUS LES AUTRES VIVENT DES SOUFFRANCES INTENSES PRIONS POYUR EUX LA BAS LES MILLIARDS NE SERVIRONT A RIEN ET CHACUN SERA COMPTABLE DE SES ACTES DANS LA TOMBE
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