Comprenant qu'il serait difficile pour une population pauvre de résister à la vaste campagne de "séduction monétaire" qu'entreprenne des responsables du PDS, Youssou Ndour a trouvé une bonne parade qui risque de faire mouche dans l'esprit de ceux/celles qui ne peuvent point ne pas prendre lol.Dans les temps qui courrent, l'argent se fait rare au Sénégal et ce n'est point le Gorgoorlou qui nous démentira.Lui ou elle, la diambar, qu'on a réduit à la Pitié des "voleurs de la république".
Oui, cette catégorie de personnes répond plus favorablement à ce genre de pratique. Et sachant que plus de 80 pourcent de la population se trouve dans cette situation, des responsables politiques n'hésitent pas à proposer des sommes allant de 2000 fcfa pour assister à un meeting à 25000 francs Cfa pour récuperer une carte d'electeur d'un Sénégalais qui a été affamé par le "system".Face à une telle stratégie, fallait trouver un argument de taille. ce qu'a réussi le " Lionel messi de Macky" pour le second tour.
48 Commentaires
Lmessi
En Mars, 2012 (06:38 AM)Sjou
En Mars, 2012 (06:58 AM)Cela signifie que Le Sénégal s’est comporté de façon de façon irresponsable en pénalisant l’homosexualité.
Non merci
Je ferai savoir autour de moi ce qui se trame si Macky est élu
Clown
En Mars, 2012 (07:05 AM)Mame
En Mars, 2012 (09:46 AM)Maissa
En Mars, 2012 (09:47 AM)Alioune
En Mars, 2012 (09:48 AM)Mboldé
En Mars, 2012 (09:49 AM)Logique
En Mars, 2012 (09:51 AM)Racine
En Mars, 2012 (09:53 AM)Jules
En Mars, 2012 (09:54 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:54 AM)Au-delà, j’ai toujours pensé que Youssou N’dour symbolisait l’idée que je me fais de mon pays. Il doit être possible pour chaque homme de vivre librement de son talent et de son travail. Je pense que les centaines de milliers de sénégalais qui l’ont soutenu dans ce combat l’ont fait non pas pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il a représenté pour nous. Le self-made-man de la Médina n’était qu’un maître chanteur et un vulgaire escroc.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:54 AM)Les prétendues lettres qu’il brandit pour menacer à nouveau les autorités ne font que confirmer tristement tout ce qui précède. Il accuse son entourage, mais c’est ce qui arrive quand on s’entoure d’escrocs et de repris de justice. C’est un mensonge que de prétendre, comme il le fait, qu’il perd des centaines de millions dans l’organisation du bal de Bercy. Youssou N’dour n’en est pas l’organisateur. L’évènement est organisé par Alias production, une structure française, qui loue la salle et paie un cachet au chanteur. Youssou N’dour reçoit en retour un paquet de billets. On voit bien toute la spéculation qu’il y a sur ces billets, pour pousser les clients à les acheter au prix fort, alors que la salle n’est jamais remplie.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:55 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:55 AM)Gage
En Mars, 2012 (09:57 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:58 AM)En réalité, une grande partie de cette fortune qu’il prétend posséder provient de financements souscrits au nom des nécessiteux. Avec l’ambitieux projet Jokko, il avait promis à chaque habitant de la Médina un ordinateur. Cela fait dix ans qu’ils attendent. Il est devenu, selon les mots d’un inspecteur du trésor, un spécialiste des faillites douteuses. Il y a eu la Saprom, ensuite Xippi Inc et le label Jololi, financé par le FPE, aujourd’hui Prince Arts, tenu par son frère.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:58 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:58 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (09:58 AM)Yani
En Mars, 2012 (09:58 AM)Jeunesse
En Mars, 2012 (09:59 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)YOUSSOU NDOUR: MYSTERE AUTOUR DE 1,3 MILLION DE DOLLARS
Lancé en fanfare avec l’appui promotionnel et financier du groupe Benetton, le fonds de microfinance Birima, confié à Youssou Ndour, est loin du compte. Le donateur italien aurait doté le fonds d’un million de dollars, dont le chanteur n’a jamais accusé réception. Le fonds aurait également emprunté plus de 200 000 euros auprès de « micro-investisseurs » qui perdent patience…
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)Interrogé le 30 mars 2008 par le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye, Youssou Ndour allait encore plus loin et déclarait : « J’avais un peu d’argent et je l’ai mis dans ce projet. »
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)Dès son lancement, l’objectif de Birima était ambitieux : « A partir du Sénégal, pays choisi comme projet pilote car il compte parmi les pays les plus stables du continent, l’expérience de microcrédit élaborée par Birima s’étendra ensuite progressivement à d’autres nations africaines », lisait-on dans le dossier de presse de lancement. Sur le blog de ces « micro-investisseurs » commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude de la part d’épargnants qui se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima de 91,68% !Selon Moustapha Ndiaye, coordinateur initial de la structure coopérative, dès le départ « Birima a suscité un grand intérêt, enregistrant plus de 200 adhésions dès la première semaine. L’adhésion s’obtenait alors en fournissant une pièce d’identité, trois photos et 10 000 FCFA de frais (15,2 euros). L’objectif était d’atteindre 5000 membres en une année. »
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:02 AM)Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:07 AM)Un avis que ne partage pas Youssou Ndour, vedette d’un récent forum organisé à Lille intitulé « L’argent responsable : un monde plus éthique est-il possible ? » : « Ce n’est pas une banque en soi, c’est plus une mutuelle avec une démarche totalement différente. Nous avons aujourd’hui près d’un millier de clients », annonçait-il. Toutefois, l’artiste international reconnaît à mi-mot qu’il est nécessaire de « rebooster ce label Birima qui existe déjà et marche bien ». Pour cela, il en appelle aux « bailleurs de fonds qui ont l’habitude de prêter aux banques traditionnelles et qui peuvent aussi, en même temps, prendre en compte le microcrédit ». « Si nous ne trouvons pas des institutions financières, ça va être difficile, au Sénégal comme ailleurs en Afrique », reconnaît celui que Martine Aubry vient de faire citoyen d’honneur de la ville de Lille.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:07 AM)Pour Ibrahima Thioune, ancien directeur général de Birima, qui a quitté la société il y a une année, il est clair « que l’objectif n’a pas été atteint et que le résultat est mitigé ». Pourtant, selon lui, l’absence de garantie demandée aux emprunteurs rend Birima très attractif, à juste titre puisque, statistiquement, 98% des microcrédits contractés au Sénégal sont remboursés. M. Thioune précise qu’il ne souhaite pas communiquer les raisons de son départ de Birima, mais il semble évident qu’il déplore, a minima, le déficit d’activité de l’agence, ainsi que le retard dans l’exécution du business plan. Il souligne également que Birima lève depuis un certain temps « de l’argent dans de nombreux pays, grâce à des réseaux solidaires comme MYC4.com », une plateforme en ligne qui invite les internautes du monde entier à « investir » par tranches de quelques euros dans des projets d’entreprises africaines de leur choix.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:07 AM)Nous nous sommes intéressés de plus près à cette plateforme, qui révèle, en effet, que Birama aurait déjà emprunté à ce jour 211 041 euros(1) à des particuliers, séduits par la notoriété et le discours de la vedette. Mais sur le blog de ces « micro-investisseurs »(2) commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude. Les épargnants se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima, qui atteint à ce jour 91,68% ! A ces plaintes, le directeur du fonds Birima répond que le Sénégal connaît une grave crise économique, que les petits emprunteurs ne peuvent plus rembourser et que des procédures judiciaires sont en cours pour forcer ces petites gens à honorer leurs créances(3). Nous sommes bien loin des déclarations de l’artiste : « C’est une manière pour moi de lutter contre la pauvreté (…). J’ai pensé qu’il fallait partir sur des bases qui respectent nos traditions, la parole donnée. »
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:07 AM)Malgré tout, pour Abdoulaye Dieng, administrateur de Birima, l’affaire se porte très bien avec un flux de 1500 à 2000 comptes ouverts, dont plus de la moitié auraient déjà bénéficié de crédits. « La clientèle est essentiellement constituée de très petits commerçants, comme les vendeuses de poisson, les marchands ambulants, les salons de coiffure et de couture, qui présentent un très bon taux de recouvrement. » Selon M. Dieng, « pour obtenir un crédit chez Birima, il faut ouvrir un compte avec un dépôt minimum de 15 000 FCFA (23 euros) et être client régulier, depuis au moins trois mois ». Les crédits inférieurs à 500 000 FCFA sont attribués par un agent de crédit. Au-delà, ils sont accordés par le comité de crédit.
Avis D'expert
En Mars, 2012 (10:07 AM)Quand les responsables de Benetton ont accepté de financer le projet gratuitement, Youssou N’dour leur a dit qu’il l’appellerait Birima, du nom d’un Damel du Cayor. Ils lui ont demandé pourquoi. Il leur a expliqué que Birima était un homme qui tenait toujours parole !
Réalité
En Mars, 2012 (10:07 AM)Farida
En Mars, 2012 (10:19 AM)Gorgus
En Mars, 2012 (10:29 AM)Loumo
En Mars, 2012 (10:49 AM)Jambar114
En Mars, 2012 (10:53 AM)Superman
En Mars, 2012 (11:08 AM)YOUSSOU NDOUR: MYSTERE AUTOUR DE 1,3 MILLION DE DOLLARS
Lancé en fanfare avec l’appui promotionnel et financier du groupe Benetton, le fonds de microfinance Birima, confié à Youssou Ndour, est loin du compte. Le donateur italien aurait doté le fonds d’un million de dollars, dont le chanteur n’a jamais accusé réception. Le fonds aurait également emprunté plus de 200 000 euros auprès de « micro-investisseurs » qui perdent patience…
Où est passé le million de Benetton ? C’est l’une des questions qui planent sur le fonds Birima, cette société de crédit coopératif née d’un projet du groupe italien, initiée en juin 2007 et visant à développer un fonds africain de microfinance, géré et promu par Youssou Ndour.
Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.
Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.
C’est ainsi que, dans une déclaration à l’AFP datée du 13 février 2008, la star internationale affirmait que le fonds ne disposait, au départ, que d’un capital de 200 millions FCFA (305 000 euros) et laissait entendre qu’il en était lui-même le donateur : « Je ne veux pas de dons, je n’(en) demande pas. (…) C’est une question de dignité pour les Africains », ajoutait-il. Des déclarations reçues avec étonnement chez Benetton qui, depuis sa donation, n’a plus jamais reçu de nouvelles du « griot planétaire ».
Interrogé le 30 mars 2008 par le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye, Youssou Ndour allait encore plus loin et déclarait : « J’avais un peu d’argent et je l’ai mis dans ce projet. »
Quant au rôle de la multinationale italienne, il se serait, selon lui, limité à une campagne de publicité : « Je remercie Benetton, qui m’a fait bénéficier de sa campagne mondiale. (…) Avec cette multinationale, nous bénéficions de son savoir-faire et elle aussi retire un profit. Tout le monde y gagne. »
Espoirs déçus
Dès son lancement, l’objectif de Birima était ambitieux : « A partir du Sénégal, pays choisi comme projet pilote car il compte parmi les pays les plus stables du continent, l’expérience de microcrédit élaborée par Birima s’étendra ensuite progressivement à d’autres nations africaines », lisait-on dans le dossier de presse de lancement.
Sur le blog de ces « micro-investisseurs » commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude de la part d’épargnants qui se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima de 91,68% !
Selon Moustapha Ndiaye, coordinateur initial de la structure coopérative, dès le départ « Birima a suscité un grand intérêt, enregistrant plus de 200 adhésions dès la première semaine. L’adhésion s’obtenait alors en fournissant une pièce d’identité, trois photos et 10 000 FCFA de frais (15,2 euros). L’objectif était d’atteindre 5000 membres en une année. » En ce qui concerne les crédits, Birima s’était fixé initialement un objectif de 500 accords de crédit sur cinq ans, pour une moyenne de 500 000 FCFA par opération.
Aujourd’hui, pour la plupart des professionnels sénégalais de la microfinance, Birima n’a pas rempli sa mission et n’a pas obtenu les résultats attendus. Pour K.C., gérant reconnu d’une structure islamique de microfinance soutenue par la Banque islamique de développement, « Birima ne connaît pas la même popularité que son auteur. Malgré les promesses, il n’y a qu’une seule agence ouverte où les éventuels clients doivent venir effectuer des versements. Le projet n’est pas populaire. J’ai moi-même essayé d’avoir des informations et on m’a rétorqué que Birima travaillera bientôt avec un réseau solidaire européen. » Pour la plupart des professionnels interrogés, Birima a disposé d’un budget initial de 200 millions de FCFA et n’est pas encore opérationnel.
Appel aux bailleurs de fonds
Un avis que ne partage pas Youssou Ndour, vedette d’un récent forum organisé à Lille intitulé « L’argent responsable : un monde plus éthique est-il possible ? » : « Ce n’est pas une banque en soi, c’est plus une mutuelle avec une démarche totalement différente. Nous avons aujourd’hui près d’un millier de clients », annonçait-il. Toutefois, l’artiste international reconnaît à mi-mot qu’il est nécessaire de « rebooster ce label Birima qui existe déjà et marche bien ». Pour cela, il en appelle aux « bailleurs de fonds qui ont l’habitude de prêter aux banques traditionnelles et qui peuvent aussi, en même temps, prendre en compte le microcrédit ». « Si nous ne trouvons pas des institutions financières, ça va être difficile, au Sénégal comme ailleurs en Afrique », reconnaît celui que Martine Aubry vient de faire citoyen d’honneur de la ville de Lille.
Un directeur désenchanté
Pour Ibrahima Thioune, ancien directeur général de Birima, qui a quitté la société il y a une année, il est clair « que l’objectif n’a pas été atteint et que le résultat est mitigé ». Pourtant, selon lui, l’absence de garantie demandée aux emprunteurs rend Birima très attractif, à juste titre puisque, statistiquement, 98% des microcrédits contractés au Sénégal sont remboursés.
M. Thioune précise qu’il ne souhaite pas communiquer les raisons de son départ de Birima, mais il semble évident qu’il déplore, a minima, le déficit d’activité de l’agence, ainsi que le retard dans l’exécution du business plan.
Il souligne également que Birima lève depuis un certain temps « de l’argent dans de nombreux pays, grâce à des réseaux solidaires comme MYC4.com », une plateforme en ligne qui invite les internautes du monde entier à « investir » par tranches de quelques euros dans des projets d’entreprises africaines de leur choix.
Défaut de remboursement
Nous nous sommes intéressés de plus près à cette plateforme, qui révèle, en effet, que Birama aurait déjà emprunté à ce jour 211 041 euros(1) à des particuliers, séduits par la notoriété et le discours de la vedette. Mais sur le blog de ces « micro-investisseurs »(2) commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude. Les épargnants se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima, qui atteint à ce jour 91,68% ! A ces plaintes, le directeur du fonds Birima répond que le Sénégal connaît une grave crise économique, que les petits emprunteurs ne peuvent plus rembourser et que des procédures judiciaires sont en cours pour forcer ces petites gens à honorer leurs créances(3). Nous sommes bien loin des déclarations de l’artiste : « C’est une manière pour moi de lutter contre la pauvreté (…). J’ai pensé qu’il fallait partir sur des bases qui respectent nos traditions, la parole donnée. »
Un bilan officiel hésitant
Malgré tout, pour Abdoulaye Dieng, administrateur de Birima, l’affaire se porte très bien avec un flux de 1500 à 2000 comptes ouverts, dont plus de la moitié auraient déjà bénéficié de crédits. « La clientèle est essentiellement constituée de très petits commerçants, comme les vendeuses de poisson, les marchands ambulants, les salons de coiffure et de couture, qui présentent un très bon taux de recouvrement. » Selon M. Dieng, « pour obtenir un crédit chez Birima, il faut ouvrir un compte avec un dépôt minimum de 15 000 FCFA (23 euros) et être client régulier, depuis au moins trois mois ». Les crédits inférieurs à 500 000 FCFA sont attribués par un agent de crédit. Au-delà, ils sont accordés par le comité de crédit. La période de remboursement varie entre 24 et 36 mois et le montant maximum octroyé est de 10 millions FCFA (15 000 euros). Pour l’administrateur de la société, le volume des encours de crédits octroyés, depuis le démarrage des activités, se situerait « entre 300 et 500 millions FCFA », mais il reconnaît ne pas être tout à fait certain de ces chiffres…
L'inexistant
En Mars, 2012 (11:16 AM)Baxam
En Mars, 2012 (11:30 AM)Beye De Cote D'ivoire
En Mars, 2012 (11:31 AM)Alerte Alerte Alerte
En Mars, 2012 (11:59 AM)La famille de la député "Astou Kane Sall" procéde à des achats de consciences...
La famille de la député "Astou Kane Sall" continue malgré l'arrestation d'un membre de sa famille au premier tour...
ALERTE ALERTE ALERTE
Kli
En Mars, 2012 (12:03 PM)Bouba Ndour
En Mars, 2012 (12:27 PM)Comme toi pingre milliadaire tu es la honte des musulmans je n ai jamais vu mosque Que tu as construit bourses d etudeaux etudiants dispensaire construit tu une honte pourtant ses modou d Italy ou d ailleurs avec leur maigre revenue aide leur pays quand on sine son pays c pas aux elections tu ne fait Que protege tes investissements bidon tu vas timber comme la somalie
Test
En Mars, 2012 (12:46 PM)11.4 Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête couverte, déshonore son chef.
11.5 Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée, déshonore son chef: c'est comme si elle était rasée.
11.6 Car si une femme n'est pas voilée, qu'elle se coupe aussi les cheveux. Or, s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle se voile.
11.7 L'homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l'homme.
11.8 En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l'homme;
11.9 et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l'homme.
11.10 C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité dont elle dépend.
11.11 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme.
11.12 Car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de même l'homme existe par la femme, et tout vient de Dieu.
11.13 Jugez-en vous-mêmes: est-il convenable qu'une femme prie Dieu sans être voilée?
11.14 La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter de longs cheveux,
11.15 mais que c'est une gloire pour la femme d'en porter, parce que la chevelure lui a été donnée comme voile?
11.16 Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas cette habitude, non plus que les Églises de Dieu.
Mon Pays
En Mars, 2012 (13:22 PM)L'indigné
En Mars, 2012 (14:10 PM)WADE DÉGAGE!!!!
Degage Corrompu
En Mars, 2012 (07:14 AM)Neega Mass youssou yen a marre m23 gens nul dan le rap e la vie honte du senegal
Neega Mass youssou yen a marre m23 gens nul dan le rap e la vie honte du senegal
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