« La Casamance est dans une situation de ni paix, ni guerre », constate Abdoulaye Baldé, ministre d’Etat, ministre des Mines, de l’Industrie… Selon lui, le président de la République a pris le problème à bras-le-corps et demeure en contact très avancé avec certaines personne, qui travaillent discrètement sur le dossier casamançais.
Faisant une comparaison entre les années 80 et 2000, l’édile de Ziguinchor pense qu’un pas important a été fait dans la recherche de la paix en Casamance, même s’il reconnait qu’il reste beaucoup à faire dans le dossier.
« Des avancées significatives ont été faites sur le dossier casamançais. D’ailleurs, le président de la République est en contact avec certains et travaille nuit et jour pour le retour d’une paix définitive dans cette partie sud du pays », avance l’ex ministre des Forces armées, joint au téléphone. Abdoulaye Baldé qui avoue que « c’est un problème difficile à regeler, avec un fort élan culturel, mais aussi de rebellions intérieures », a déclaré que l’ensemble de ces aspects seront pris en compte pour rassembler tous les acteurs et trouver une meilleure issue afin que la Casamance retrouve sa quiétude d’antan.
Toutefois, le premier magistrat de la ville de Ziguinchor est d’avis qu’avec l’installation de beaucoup d’industries et d’usines, la paix sera de retour en Casamance. « Si nous parvenons à installer beaucoup d’entreprises et d’emplois, et en revalorisant notre culture, de tels éléments seront de nature, en tout cas, à ramener la paix en Casamance », a-t-il dit. En outre, l’édile de la capitale du sud croit fortement qu’avec la réinsertion des éléments du maquis dans le tissu socio économique, cela pourrait être un début de solution pour la paix.
Par ailleurs, interpellé sur le retour de la reprise des négociations entre le mouvement et l’Etat, le tombeur de Robert Sagna explique : « Le Premier ministre et le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur sont parfaitement conscients de ce problème. Et, surtout, le chef de l’Etat lui-même, conscient et préoccupé par ce dossier, est en train de cordonner tout cela ».
« Des avancées significatives ont été faites sur le dossier casamançais. D’ailleurs, le président de la République est en contact avec certains et travaille nuit et jour pour le retour d’une paix définitive dans cette partie sud du pays », avance l’ex ministre des Forces armées, joint au téléphone. Abdoulaye Baldé qui avoue que « c’est un problème difficile à regeler, avec un fort élan culturel, mais aussi de rebellions intérieures », a déclaré que l’ensemble de ces aspects seront pris en compte pour rassembler tous les acteurs et trouver une meilleure issue afin que la Casamance retrouve sa quiétude d’antan.
Toutefois, le premier magistrat de la ville de Ziguinchor est d’avis qu’avec l’installation de beaucoup d’industries et d’usines, la paix sera de retour en Casamance. « Si nous parvenons à installer beaucoup d’entreprises et d’emplois, et en revalorisant notre culture, de tels éléments seront de nature, en tout cas, à ramener la paix en Casamance », a-t-il dit. En outre, l’édile de la capitale du sud croit fortement qu’avec la réinsertion des éléments du maquis dans le tissu socio économique, cela pourrait être un début de solution pour la paix.
Par ailleurs, interpellé sur le retour de la reprise des négociations entre le mouvement et l’Etat, le tombeur de Robert Sagna explique : « Le Premier ministre et le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur sont parfaitement conscients de ce problème. Et, surtout, le chef de l’Etat lui-même, conscient et préoccupé par ce dossier, est en train de cordonner tout cela ».
1 Commentaires
Casa Di Mansa
En Novembre, 2010 (21:36 PM)Participer à la Discussion