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Les chiffres de l’avortement sont ahurissants

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Les chiffres de l’avortement sont ahurissants

À ce rythme autant légaliser l’avortement médicalisé, semblent dire les membres de l’Association des femmes médecins du Sénégal (Afems). C’est que les chiffres de l’interruption volontaire de grossesse sont ahurissants :

le Sénégal a enregistré en 2012, un total de 51 500 cas d’avortement. Les interventions à risque causant 3,6% des décès chez les femmes qui mettent au monde.

Autre conséquence de l’interdiction légale de l’avortement : 3% des femmes en prison sont détenues pour infanticide. D’où l'appel d’associations comme l’Afems, l’Ajs (femmes juristes) et le réseau Siggil djiguène, pour la légalisation de l’avortement médicalisé en cas de viol et d’inceste.

(Source : Le Populaire)



18 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (08:09 AM)
    Sénégal émergent !



    des femmes chaque jour lors d'accouchement, sans parler de celles qui mettent leur vie en danger du fait de l'interdiction d'avorter légalement.

    que la religion ne se mêle pas du corps des femmes, il leur appartient !

    quand ce ne sont pas des infanticides, ce sont des morts par manque de structures sanitaires dignes de ce nom.



    J'oubliais....les daaras recueillent les enfants que les parents ne peuvent assumer....



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  2. Auteur

    Deug

    En Octobre, 2016 (08:14 AM)
    L'avortement de ces filles est surtout lié au dévergondage ; l'inceste et viol n’étant qu'une infime partie. éduquez vos filles au lieu de nous emmerder avec votre AVORTRMEMNT MEDICALISé !! 9a ne passera jamais au Sénagal; C'est la porte ouverte à toutes dérives  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (08:18 AM)
    On n'a pas encore de VRAIE politique sociale. Il faut y travailler plus sérieusement. La vie est sacrée, il faut la protéger. La femme est fragile, il faut la protéger. Les enfants ont besoin de la protection des adultes pour grandir harmonieusement. Les personnes âgées sont à protéger.Les handicapés sont vulnérables, ils ont besoin des autres pour vivre normalement. Etc..
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (08:20 AM)
    Le Sénégal pays d arriérés il y a longtemps que l avortement aurais du être légalisé, au moins pour les viols et les problèmes de santé
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (08:28 AM)
    Thiey...

    Yaaleu néna na niou yaar khalé pour niou bagna ndiaalo..et nous ont dit non il faut légaliser...



    Le pire c'est que légui même les couples mariés font de l'avortement...
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (10:21 AM)
    :



    le Sénégal a enregistré en 2012, un total de 51 500 cas d’avortement. D'où vient ce chiffre puisque ce sont des avortements clandestins et donc cachés pour la grande majorité?



    AVORTEMENT MEDICALISE : QUE FAUT-IL EN PENSER ?

    On peut comprendre que l’association des juristes sénégalaises ait le souci des avortements clandestins, car ces avortements entraînent trop de morts, de maladies et de stérilité. Il faut donc à tout prix, faire quelque chose pour ces femmes et ces jeunes filles qui avortent clandestinement. Mais que faut-il faire ?

    L’avortement médicalisé n’est absolument pas une solution. D’abord, comme le terme le dit, c’est un avortement. Et il est clair médicalement que l’enfant a commencé à vivre dans le ventre de sa mère, et donc qu’avorter c’est supprimer une vie humaine. Or dans toutes les religions, en particulier dans le judaïsme, le christianisme et dans l’islam, que Moïse a dit au nom de Dieu « Tu ne tueras pas ». Il ne s’agit pas là seulement d’un interdit, mais au contraire d’un appel à défendre la vie, à la protéger et à aider tous les gens, et surtout les bébés qui ont commencé à vivre dans le ventre de leurs mères, à vivre le mieux possible et dans les meilleures conditions.

    C’est vrai que l’avortement médicalisé permet de faire l’avortement dans de meilleures conditions d’hygiène et de sécurité, mais cela reste un avortement. Et si cet avortement médicalisé permet d’éviter un certain nombre de dangers et de problèmes au niveau physiologique, il ne supprime pas les conséquences psychologiques de l’avortement. Une femme qui a avorté, même si c’est à l’hôpital et d’une façon médicalisée, ne peut pas oublier ce qu’elle a fait, et elle aura des tas de problèmes psychologiques, conscients ou inconscients ce qui est encore pire. On veut autoriser l’avortement médicalisé pour les femmes dont la grossesse pose des problèmes psychologiques, mais légaliser l’avortement ne va que multiplier ces problèmes.

    Alors que faut-il faire ? Pour les femmes dont la grossesse pose problème, c’est de les aider, de les soutenir et de leur donner les moyens de garder leur grossesse. Et cela, c’est notre responsabilité à nous tous. Cela ne demande pas de grands moyens financiers mais simplement de l’amitié, des conseils, de la tendresse, de la compassion. C’est cela dont nous manquons le plus dans notre société sénégalaise moderne. Et justement, ce sont ces valeurs que l’on va attaquer par l’avortement médicalisé. Ce n’est pas seulement une question de religion, il s’agit tout simplement de revenir à nos valeurs traditionnelles sénégalaises au lieu de se laisser coloniser par des pays occidentaux, qui eux-mêmes commencent à réfléchir sérieusement aux conséquences de ce qu’ils ont décidé et voté, en particulier au sujet de l’avortement. Lorsqu’on aura aidé ces femmes et jeunes filles à accoucher, si vraiment elles ne veulent pas ou elles ne peuvent pas garder leur enfant, la société, en particulier un certain nombre d’association d’orphelinats, de pouponnières et de maisons pour l’enfant, sont prêtes à prendre en charge ces bébés, et ensuite à leur trouver une famille. Ces associations ne manquent pas au Sénégal, heureusement.

    Une autre chose qu’il faut bien voir, c’est que l’avortement médicalisé est une déformation très grave de la médecine, et qui aura des conséquences sur toute la société. La médecine n’est pas faite pour tuer et supprimer la vie, elle est faite pour soigner, guérir et protéger la vie. Et c’est bien pour cela que les médecins n’ont pas le droit, jusqu’à maintenant, de faire des avortements, sauf dans des cas très précis, contrôlés par la justice et avec de nombreuses conditions, comme vous le signalez vous-même dans votre article : « que la vie de la mère soit vraiment menacée, qu’elle puisse être sauvée par cette intervention, que l’autorisation soit attestée par trois médecins experts aux tribunaux, etc. » C’est bien pour cela qu’un certain nombre de médecins refusent absolument, par objection de conscience, de faire ces avortements médicalisés, même lorsqu’ils sont autorisés par la loi.

    En plus, cette autorisation n’est qu’une illusion. En effet, on s’est aperçu que dans les pays occidentaux qui ont légalisé l’avortement, les avortements médicalisés se sont multipliés, mais cela n’a pratiquement pas diminué le nombre des avortements clandestins. Pourquoi cela ? Parce qu’il y a toujours des femmes et des jeunes filles qui sont enceintes, mais qui veulent cacher leur grossesse, pour des tas de raisons. Elles n’iront donc jamais avorter dans un hôpital, elles continueront à le faire clandestinement, avec toutes les conséquences que cela peut avoir. Légaliser l’avortement n’est pas une solution. Encore une fois, la seule solution c’est de soutenir les femmes et les jeunes filles dont la grossesse pose problème.

    Il faut bien voir que ces projets de lois ont des conséquences sur toute la société, et sur la vie du monde. Nous venons d’assister à la rencontre très importante à Paris des Nations Unies du COP 21, pour la protection de l’environnement. Le Pape François a écrit une lettre très importante sur cette question (Loué sois-Tu) où il affirme avec force qu’on ne peut pas lutter en vérité pour l’environnement, si en même temps on autorise l’avortement. Parce que si tu luttes pour la vie, tu dois lutter pour la vie dans tous ses domaines, et d’abord au niveau des hommes. Tu ne peux pas défendre la vie des plantes et des animaux, et supprimer la vie d’un bébé innocent qui n’a commis aucune faute, et qui n’a aucun moyen de se protéger et de se défendre.

    Enfin, ces femmes qui veulent faire autoriser l’avortement médicalisé, si leur mère avait avorté, seraient-elles là pour manifester ?

    Après ces quelques réflexions qui faudrait bien sûr développer davantage et pour lesquelles je peux apporter tous les arguments nécessaires, je voudrais revenir plus précisément à votre article Vous écrivez que ce projet s’appuie sur le Protocole de Maputo de 2004, qui veut donner accès à l’avortement médicalisé aux femmes et aux filles porteuses de grossesse, suite à un viol, à l’inceste ou à une autre agression sexuelle. Mais comment se limiter à ces cas-là ? Lorsqu’on vote une loi, elle s’applique à tout le monde. On nous dit bien que « la loi ne va pas concerner les filles dévergondées qui assument leur sexualité en faisant ce qu’elles veulent jusqu’à contracter une grossesse ». Mais qui empêchera ces filles dévergondées de prétendre qu’elles ont été violées ou simplement agressées sexuellement, pour pouvoir avorter à l’hôpital ? C’est la porte ouverte à toutes les déviations.

    On nous dit que le Protocole de Maputo ne s’applique que lorsque la santé mentale ou physique de la femme ou de la fille enceinte est en danger. Mais justement avorter va entraîner encore plus de problèmes de santé mentale, comme je l’ai expliqué plus haut.

    On continue en disant que le Protocole de Maputo autorise l’avortement seulement lorsqu’il y a des risques pour la vie de la femme, de la fille enceinte ou du fœtus. Mais en fait, avec les progrès modernes de la médecine, il n’y a pratiquement plus de dangers au moment de la grossesse. Et s’il y a un danger, il y a toujours la solution de la césarienne, et non pas de supprimer une vie par un avortement.

    Je lis ; Les femmes juristes affirment : « Ceci pour que soient respectés les droits des femmes et des filles, et qu’elles n’aient plus comme alternative la mort ou la prison ». Et l’enfant qui a commencé à vivre dans le ventre de sa mère, est-ce qu’il n’a pas de droits ? Le Sénégal a pourtant signé la convention des droits de l’enfant. Et on n’a jamais le doit de supprimer une vie. Comment des juristes peuvent-elles l’oublier. Et pour cet enfant, il n’a pas d’alternative. Mais seulement la mort !

    Ensuite on nous présente un certain nombre de chiffres qui, personnellement me posent vraiment problème.. Etant moi-même visiteur de prisons, je n’accepte pas qu’on publie ainsi les chiffres et les proportions des femmes qui sont emprisonnées pour des questions d’avortements et d’infanticide. Ces femmes ont droit au respect et beaucoup plus à la compassion qu’à la condamnation. D’ailleurs, je trouve qu’il y a à ce sujet une confusion très grave.

    On nous dit qu’il faut médicaliser l’avortement, parce qu’il y a trop de femmes en prison pour avortement. Mais si nous légalisons l’avortement, nous supprimons des vies humaines, nous sommes nous-mêmes responsables d’avortements. Ce sont donc tous ceux qui soutiennent la légalisation de l’avortement et sa médicalisation, qui devraient être mis en prison eux aussi pour soutien et promotion de l’avortement !

    Il est absolument évident qu’on ne peut pas accepter que des jeunes filles ou des femmes mariées soient violées, même si elles ne se retrouvent pas enceintes d’ailleurs. Mais celui qu’on doit punir, ce n’est pas le bébé dans le ventre de sa mère, qui est absolument innocent et qui n’a rien fait de mal, c’est le violeur, surtout s’il est responsable d’un inceste.

    Enfin, il y a une contradiction interne absolue dans ce que l’on affirme. On nous parle de la loi sur la santé de la reproduction, pour autoriser l’avortement médicalisé. Mais l’avortement c’est justement le contraire de la reproduction. Ce n’est pas mettre des enfants au monde dans des bonnes conditions, c’est les supprimer. Ce n’est pas la santé, c’est la mort. Il faut réfléchir à ce que l’on dit, et fait. C’est une loi qui va enfoncer les femmes enceintes qui ont des problèmes, dans des difficultés encore plus grandes. C’est une loi qui va tuer la société au lieu de la sauver. On met ainsi en place une société de mort, et non pas une société qui défend la vie. Excusez-moi si ces termes vous semblent trop forts, mais c’est parce que le problème est vraiment très grave. Il faut qu’on y réfléchisse sérieusement, en conscience, à partir de nos valeurs, et non pas en nous laissant entraîner par des pays occidentaux qui ont perdu le sens de la vie. D’ailleurs, même dans ces pays, beaucoup de citoyens et de médecins s’opposent à ces avortements médicalisés. Là encore, il ne faut pas nous laisser tromper.

    Par contre, je suis tout à fait d’accord qu’il faut arrêter de mettre en prison les femmes qui ont avorté. Elles n’ont pas besoin de condamnation. D’abord elles savent elles-mêmes que ce qu’elles ont fait est mauvais, et elles se culpabilisent déjà trop elles-mêmes. Elles ont besoin d’être déculpabilisées, et non pas d’être emprisonnées. Ce n’est certainement pas en prison qu’elles vont pouvoir vivre une vie nouvelle et changer leur comportement, emn se retrouvant en pleine promiscuité avec d’autres personnes qui ont commis des choses encore plus graves. Il faut donc à tout prix arrêter de mettre ces femmes en prison, mais leur assurer un suivi psychologique et social pour qu’elles puissent redémarrer dans la vie. Et attaquer les vraies causes de ces avortements et de ces infanticides, et trouver une solution aux problèmes qui les ont amenées à avorter : en particulier la pauvreté et le manque d’éducation sexuelle. Mais légaliser l’avortement c’est du laisse- aller, ce n’est pas de l’éducation. Et ce n’est pas cela qui va résoudre nos problèmes de pauvreté.



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    Soigneur De Fous

    En Octobre, 2016 (10:46 AM)
    C'est reparti. Comme d'habitude on commence à façonner l'opinion publique et comme d'habitude, on met la presse à contribution. Cette méthode es éculée et nous l'avons déjà subie avec la liberté provisoire accordée à Thione SECK, à Taïb SOCE, ect... grâce à des articles commandités dans Seneweb via des "codétenus" qui attiraient l'attention des autorités sur "l'état de santé alarmantes" de ces détenus VIP !!!.

    Que ces bonnes dames qui oeuvrent inlassablement pour une loi sur l'IVG (interruption volontaire de grossesse loi Simone VEIL version sénégalaise), sachent que pareille loi est contraire à nos valeurs africaines et à nos croyances religieuses (chrétiennes et islamiques). Les ONG au nom de qui elles parlent ne sont que les courroies de transmission d'associations étrangères qui n'osant pas nous demander de troquer notre religion moyennant des financements, utilisent des moyens feutrés pour vider nos croyances de leurs fondamentaux. Chères mesdames puisque le modèle social européen vous plait tant, déménagez en Europe, laissez nous avec nos convictions et croyances religieuses et arrêtez de jouer le Cheval de Troie de l'Occident.

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    Auteur

    Citoyen Exigent

    En Octobre, 2016 (10:47 AM)
    Légalisez l'avortement tout court. Quelques points:

    - les pays où l'avortement est légal leur nombre diminuent

    - informer les filles et femmes sur les enjeux de la sexualité et tous les modes de contraception diminue le risque de grossesse hors mariage et permet de la planifier

    - aborder ces questions par l'éducation et non par des incantations est plus efficace

    - arrêter de mettre en prison les femmes coupables d'infanticides sachant le rôle de la société dans de cet acte

    - plus les filles sont éduquées plus elles comprennent leur corps, prennent en main leur avenir et deviennent des mamans qui sauront protéger leur famille

    - insulter une femme, c'est insulter toutes les femmes: mères, soeurs, gand-mères, tantes, badiènes, épouses et ses propres filles
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (10:59 AM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (11:13 AM)
    yen a certain ki lou djougu rek gnou comenté, san savoir le fon du problém. kan on parle d'avortemen, dou pour kou fo wala takhawalou ba sa khol séde. Fi gnata nit lagn fiye violé? des cas d'inceste you doywar, gnata femme gnoy perdre la vie en accouchan? et pourtan docteur yi di nagn kham k grossesse bi mom douko antane, ou c a ho risk, ou dina ame complication mai il préfére sacrifié la mére et parfoi mm la vie de la mère et d lenfan just parsk lavortemen nest pas permi. Ce st pour ces cas la gnou beug légalisé avortement médicalisé mais pas pour kou djoug rek avorter, les autres noron ka assumé leurs actes.

    Nguéne balma souma waxé lou gnawe

     :bindeu:  :bindeu:  :bindeu:  :bindeu:  :bindeu: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (13:10 PM)
    Utilisons nla raison...... en dehors des affaires religieuses ça c'est bizarre vraiment.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (13:32 PM)
    la personne sur la photo peut etre reconnue.....

    enlever
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (14:45 PM)
    Si vs n'aimez pas les présos, pratiquez le retrait à temps avant danou, sinon catastrophe. et achetez du savon pour nettoyer vos draps c'est moins cher qu'une IVG.
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    Auteur

    Waddle

    En Octobre, 2016 (15:02 PM)
    DEEEJAY TU M'AS TUE BILAY
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    Auteur

    Mamebamba

    En Octobre, 2016 (15:35 PM)
    IL FAUT AUSSI PARLER AUX HOMMES... NIOU DENTIEU SEYY COYI DANS LEUR TIAYA.. BEUGEU NANIOU JIGEN TOROP... TEH AMOUNIOU BENN NDIARIGNE.. MAIS JE BLAME LES FEMMES QUI OUVRENT LEURS PATTES. :frustre:  :frustre: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (15:46 PM)
    TOUT LE MONDE SAIT QUE LES SÉNÉGALAIS SONT DES ILLETTRÉS(L'ÉCOLE S EST UN LUXE) EN GRANDES MAJORITÉS ALORS UTILISÉS AU MOINS LES RÉSERVATIFS!!

    LE GOUT EST LE MÈME :taz-smile: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (16:24 PM)
    quelle honte dans un pays qui se dit musulman, c'est très grave
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2016 (18:48 PM)
    tapez en recherche avortement médicalisé risques vous verrez qu au lieu d ameliorer la la santé de la femme cette pratique l a gravement mise en danger et dégradé en occident et lisez les revelations du DR maurice caillet a ce sujet et regardez et regardez le documentaire le cri silencieux vous verrez que ces femmes

    juristes pour des interets perso et financiers nous cachent la catastrophe vers laquelle elles veulent nous mener a tarvers ce projet de légalisation
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