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Abdoul MBAYE : « Corriger les images négatives et les amalgames sur l’ Islam »

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Abdoul MBAYE : « Corriger les images négatives et les amalgames sur l’ Islam »

Le Premier ministre, Abdoul Mbaye a présidé, hier, le colloque international sur « Sociétés musulmanes et mondialisation ».  Il estime que les images négatives et les amalgames sur l’Islam doivent être corrigés.  La rencontre qui se tient sur trois jours est organisée par  l’Alliance des forums pour une autre Afrique (Alfaa).

 

«Sociétés musulmanes et mondialisation». C’est le thème du colloque international ouvert, depuis hier, à Dakar. Il est organisé par l’Alliance des forums pour une autre Afrique (Alfaa), un cercle de réflexion créé en 2005, à Paris. Ouvrant les travaux, le Premier ministre a indiqué que le message éternel de l’Islam est un message  de paix qui doit être revisité, soutenu et défendu, partout dans le monde, pour corriger les images négatives et les amalgames réducteurs que les illuminés, les terroristes et les ennemis de toutes sortes de l’Islam véhiculent faussement avec malheureusement et souvent, une complicité active ou passive des medias de la mondialisation. 

Dans ce contexte, dit-il, il convient de saluer l’initiative de Alfaa qui vise à prendre pleinement toute la mesure d’événements récents et de leurs causes profondes, et à tenter de les décrypter. «Les gouvernants ont toujours besoin de réflexions, d’analyses et d’études pertinentes et, surtout, orientées vers l’action. Le caractère multidimensionnel de ces événements démontre que les sociétés musulmanes sont en perpétuel mouvement, poussées par leur propre dynamique, mais aussi sous l’effet d’influences extérieures», a déclaré Abdoul Mbaye. Selon lui, s’il est urgent et nécessaire de se pencher sur les sociétés musulmanes et leurs mutations, il nous faut parallèlement aborder la question des économies de nos pays, de leur niveau d’épanouissement et de leur degré de retard par rapport à leurs concurrentes. «Les crises, les frustrations sociales, la pauvreté et le dénuement, le sentiment d’impasse face à l’avenir, tout cela peut servir de terreau à des formes d’extrémisme alimenté par des discours sommaires et sectaires», explique Abdoul Mbaye.  C’est la raison pour laquelle, poursuit-il, les sociétés musulmanes doivent se donner de nouvelles causes, de nouveaux «djihad», et affronter courageusement leurs principaux handicaps structurels.  Ces handicaps, dit-il, ont pour noms : insuffisances de nos systèmes éducatifs ; absence d’idéal et donc de futur proposé à nos jeunesses ; coexistence entre richesses individuelles extrêmes et extrême pauvreté ; inégalité de développement; absence de mise en œuvre de grands projets d’intégration régionale afin de favoriser un sentiment fédérateur.

 

Se donner de nouvelles causes

De tels défis, selon lui, comptent assurément davantage aux yeux du monde et de notre Dieu unique que couper mains et pieds, ou brûler science et bibliothèques. Il estime que les penseurs et chercheurs doivent agir aux côtés des politiques comme des vigies, ou mieux encore comme la lanterne de Diogène, pour éclairer le chemin de l’avenir. «Sans prendre ma part à vos réflexions, je voudrais simplement souhaiter que vous vous rappeliez que l’Islam, religion de paix, l’est également de justice et de partage. La lutte contre la pauvreté dans toute société s’en réclamant, mais également au sein de la Ummah, doit toujours constituer un axe fort de politique publique, de coopération, de choix de projets et programmes », souligne Abdoul Mbaye. Il soutient que l’univers islamique peut et doit assumer sa part dans la promotion des valeurs et idéaux qui restaurent l’éminente dignité de l’homme. Les sociétés musulmanes ont aussi, à son avis, le devoir de contribuer, à l’échelle du monde, à défendre la paix, à protéger l’environnement commun, pour tout dire, à prendre leur place et leur part, dans l’histoire du monde qui se construit et s’écrit en même temps.  Prenant la parole, Ousmane Blondin Diop, président de Alfaa, déclare que le monde musulman est à un tournant de son histoire et il doit saisir cette occasion pour apporter sa contribution originale à la définition d’un nouveau « siècle spirituel » comme contre poids ou complément à la mondialisation matérialiste. Selon M. Diop, l’image de l’Islam est dénaturée dans le monde en même temps qu’elle est souvent utilisée à des fins politiques par des moyens allant jusqu’au terrorisme. La rencontre prend fin le 7 avril prochain. 

 

Hommage aux guides religieux sénégalais

 

Le chef du gouvernement s’est félicité de la tenue, dans notre pays, du colloque « Sociétés musulmanes et mondialisation ». «Cette terre qui vous accueille peut, en effet, être retenue comme exemple de dialogue pacifique entre les religions, et particulièrement de dialogue islamo-chrétien », a-t-il dit aux participants. Selon Abdoul Mbaye, sous ce rapport, notre pays, le Sénégal, a depuis toujours, donné les gages d’une coexistence harmonieuse, entretenue et vivifiée par des autorités religieuses éclairées et soucieuses du sort de leurs coreligionnaires et au delà d’eux, du sort de tous leurs compatriotes des autres religions et pour tout dire, du sort de tous les hommes. «Le pays qui vous accueille est également modèle servant à démontrer qu’une société majoritairement musulmane, et dont le premier président fut chrétien, peut également faire le choix de vivre et d’entretenir une démocratie forte et durable », a ajouté le Premier ministre. Il n’a pas manqué de saluer l’œuvre exceptionnelle de nos vénérés guides qui a permis, dans notre pays, de donner à l’Islam, son identité originelle de religion de paix, de fraternité et d’ouverture à un monde de différences et de complémentarités.

 

La lutte contre la pauvreté, un combat pour tous les musulmans


La lutte contre la pauvreté doit être un axe fort de politique publique, a dit le Premier ministre, représentant le chef de l’Etat, Macky Sall, président sortant de l’Organisation de Coopération Islamique (OCI) après le dernier sommet du Caire, en Egypte.

Le chef du gouvernement n’a pas manqué de rappeler aux participants que l’Islam est une religion de paix, mais également de justice et de partage. « La lutte contre la pauvreté dans toute société qui s’en réclame, mais également au sein de la Ummah, doit toujours constituer un axe fort de politique publique, de coopération, de choix de projets et programmes », a martelé Abdoul Mbaye. Il ajoute : « il est singulièrement contrastant de voir le niveau et le volume de richesses au sein des sociétés musulmanes et, paradoxalement, d’y compter les populations parmi les plus pauvres de la planète. Pourtant, l’eternel message de solidarité et l’exhortation au soutien et au partage entre les hommes restent d’une vivante actualité dans l’enseignement divin du Coran et la pratique léguée par le Prophète Seydina Mouhammad (Psl) ». Face aux défis du monde moderne et de la mondialisation, a-t-il poursuivi, et avant tout par la lutte contre la pauvreté, l’univers islamique peut et doit assumer sa part dans la promotion des valeurs et idéaux qui restaurent l’éminente dignité de l’homme et confortent sa vie et sa place dans une société de liberté, de respect des droits et de plein épanouissement.

Selon le Premier ministre, les sociétés musulmanes ont aussi le devoir de contribuer, à l’échelle du monde, à défendre la paix, à protéger l’environnement commun, pour tout dire, à prendre leur place et leur part dans l’histoire du monde qui se construit et s’écrit en même temps.

 

 El Hadji Abdoulaye THIAM et Aliou KANDE



14 Commentaires

  1. Auteur

    Fans

    En Avril, 2013 (23:50 PM)
    la coepouse de ndane ndiane ,, ne peut rien corrige car il est en plei dedans ,, celui a deja terni l image du senegal mais , celle de l islam ,, personne ne pourra la tenir ,, je dis personne ,, il n y a qu ALLAH qui peut la ternir ,, pas un etre humain ou pas il a meme terni l image de l afrique
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  2. Auteur

    Le Thiedo

    En Avril, 2013 (23:54 PM)
    La sociologie du Sénégal de ces cinquante (50) dernières années peut se résumer en une triptyque machiavélique:



    _ La phase Senghorienne avec sa politique du dialogue avec la carotte et le bâton: C'est à partir de ce moment qu'on a appris aux Sénégalais à se mentir entre eux, et aussi le début des frustrations car à cette époque le leitmotiv de la RIAC était sans équivoque: "Ne jamais nommer à un poste-clé quelqu'un dont on peut faire l'éloge des ancêtres", semant ainsi la zizanie, la suspicion et la méfiance parmi les valeurs sûres de la patrie qui, pourtant étaient de vrais républicains. Aussi disparaitront-elles de la république après juste le temps d'une vie active, soit 25 à 30 ans, et leurs enfants seront écrasés au bas de l'échelle sociale. Et l'école est passée par là. Car, si certains sont étouffés dans leur coquille, les uns sont découragés en cours de route juste après leurs premiers balbutiements, et les autres plus tenaces et plus coriaces ne seront acceptés qu'après maintes humiliations. C'est ainsi que là où on devait avoir un général preux et patriote, on en fait un psycholoco ou un socioloco ou un philodoff; là où on devait avoir un bon fabricant de djembés, on en fait un grand quelqu'un avec les honneurs et la distinction usurpés: et là où on devait avoir un sage pertinent, on a un hypocrite majeur et menteur invétéré.

    Plus une négativ'action qu'une discrimination positive. Et cela dura vingt (20) ans.



    _ La phase Diouffiène avec son maître slogan: "Ce que tu refuses, dix (10) de tes pairs l'accepteraient avec joie", en toute connaissance de cause car le sang ne ment pas.

    Ce fut le début de coquinisation de la république-banania avec ses détournements massifs de deniers publics, ses crimes non résolus, l'emballement de la négativ'action et le haro sur la république-banania par de sinistres individus aux desseins bien dissimulés mais très clairs pour peu qu'on ait un tant soit peu d'entendement. L'on se rappelle des nombreux comités de soutien à l'action du Président Abdou Diouf (COSAPAD) et le début d'un multipartisme qui évoluera sans nul doute dans le mauvais sens, plus pour distraire et divertir le peuple que pour son véritable bien.

    C'est pendant cette période que l'on assista au crime crapuleux politique, le plus odieux de tous les temps, pour lequel le plus vil mensonge d'état fut servi au peuple pour on ne sait quelle raison! Certainement la toute puissance des obédiences occultes qui foisonnent dans ce pays! Aussi, l'indemnisation de cette mort brutale,suivie de la loi Ezzan, ne devrait ni surprendre, encore moins entraîner la cacophonie corolaire. N'étaient-ils pas tous complices? État brigand, justice lâche et pourrie, et politiciens véreux sans éthique. Ainsi, c'était un évènement malheureux banal et personne n'était responsable! Ou l'encanaillement de la république-banania avec la complicité de la France, face à un peuple qui pourtant réclamait justice. Rien n'y fera. En lieu et place, une véritable comédie judiciaire lui avait été servie. La suite restera toujours cocasse. L'Arnaque de la Conscience et de la Mentalité des peuples fera le reste car le despotisme, la corruption et la gabegie croissants d'un système dictatorial excèderont plus tard un peuple surmanipulé aboutissant au départ prématuré (?) du Président Abdou Diouf, sous l'égide d'une France invisible qui le récompensera rapidement par la Présidence de la Francophonie.

    Seulement, il n'y avait rien de démocratique dans la transition de l'an 2000, entre un homme qui avait tout à perdre en s'agrippant au pouvoir et un homme qui était prêt à mettre le pays à feu et à sang sous le prétexte d'un hypothétique tripatouillage électoral. Oh Peuple! Quand te réveilleras-tu? 20ans encore!



    _ La phase Wadienne ou de l'Alternance à la transparence opaque qui, en fait est le peaufinement des deux systèmes précédents, royalement servie sur des plats en or massif après une douce transition (?)Pouvait-il en être autrement (?) sur fond de deal politikchien sur le dos des peuples surmanipulés et tenus dans l'ignorance totale. Le scrutin dit "universel", une des pires infamies qu'on ait transplantée en Afrique, y est passé. Toujours est-il que le nouveau Représentant Indigène de l'Administration Coloniale suscitait beaucoup d'engouement, d'espoirs et de rêves pour les peuples manipulés qui étaient très loin de se douter que le pire était à venir, entre gabegie, violences d'état tous azimuts, je-m'en-foutisme et ma-teï institutionnalisés, aggravation aigue de la négativ'action avec inversion accrue des rôles étendue à tout le territoire sénégalais, au vu et au su des populations divisées et snobées au nom de la république, avec intimidation à la clé. Où tout cela risque-t-il de nous mener? Qui vivra verra!

    Le visionnaire et patriote Lamine Coura Gueye avait très tôt prévenu la nation devant la dangerosité du système discriminatoire mis en place dans ce pays dans le cadre d'un vaste Complot contre les Peuples, notamment contre les valeurs pures et sûres de ce pays. Que ce qu'il redoutait soit réalisé quarante (40) ans plus tard et que le système mis en place décide de le commémorer, relève plus d'un snobisme mal placé que du respect de la grandeur de cet éminent visionnaire plus que patriote.

    En effet, s'il faut trois (3) anonymes, deux (2) apatrides, trois (3) synonymes, et deux (2) homonymes pour faire une république-bananière, il en faudrait beaucoup plus que ceux-là pour un vrai et réel patriotisme..

    Loin de moi toute idée et/ou tout sentiment de racisme, de xénophobie, d'ethnophobie, de castophobie et/ou de toutes autres phobies complexes non encore définies mais le sentiment qu'on nous prend pour des cons après s'être joué de nos pères, avoir trompé nos grands-parents et menti à nos ancêtres a pris le dessus sur tout bémol qui aurait pu bénéficier aux différents systèmes-cons mis en place dans ce pays depuis cent-quinze (115) ans avec leur emballement frénétique de ces cinquante (50) dernières années qui a fini par transformer des terres des Hommes d'Honneur Intègres en une terre de basse abjection et de pourriture dominée par la corruption, la magouille, le clientélisme, le dilettantisme et le larbinisme, la lâcheté et l'Excellence de l'Incompétence, tous résultats de la discrimination sociale fondée sur la Roture et la Caste prônée dans ce pays par la négativ'action des valeurs sûres et l'inversion des rôles.



    C'est ainsi qu'à dix-sept (17) ans, après l'arrivée au pouvoir du Président-héritier Abdou Diouf, je m'étais dit que c'est "l'homme qu'il nous fallait". J'ai dû déchanter un (1) an plus tard, en janvier 1982 après le premier anniversaire de son investiture pour des raisons personnelles: lui aussi avait un programme qui nous prenait pour des cons. Ce sont ces mêmes raisons personnelles qui m'ont habité en 1989 à vingt-six (26) ans. Car si, à vingt- cinq (25), j'étais manipulé comme tout bon Sénégalais à l'idée de changement "Sopi" de Me Abdoulaye Wade de 1988, je dus me résoudre à la conviction certaine que je n'avais fi à aucun de ceux qui s'entre-tuaient pour diriger la nation. Heureusement que je n'avais jamais milité dans un quelconque parti politique, et jusqu'à présent. Gloire à Dieu!



    En effet, je n'ai ni exemple, ni modèle et encore moins de référence dans l'échiquier politique pourri de ce pays qui ne fait qu'emprunter ses idées et ses réflexions; c'est-à-dire rien d'originalité et de propre! Sinon appliquer les directives de connardisation du peuple. Pourtant le génialissime Me Abdoulaye Wade, de par son ingéniosité me fait beaucoup sourire pour peu que nous avons eu beaucoup de similitudes d'idées, notamment:



    - sur la ceinture d'eau qui entoure le Sénégal (1993),-le référendum, non pas pour une nouvelle constitution, mais pour la république, quitte à en proclamer une deuxième (ou plutôt la vraie première) définie et déterminée par les peuples avec une constitution forte intouchable pendant au moins un quart (1/4) de siècle. Ce qui mettrait fin à la sale guerre en Casamance.



    - la provincialisation, une parmi les nombreuses politiques qui peuvent sauver la république et permettre l'épanouissement des peuples par un mieux-être et une meilleure gestion des affaires et deniers publics.



    - l'érection d'une deuxième capitale; à ce titre, beaucoup de propositions ont été énoncées, toutes aussi fausses et futiles que distractives et clownesques. La seule et vraie capitale d'un Sénégal digne et fier ne peut et ne doit être que dans la Principauté du Djoloff originel, même si la république créée par le Blanc et entretenue par ses différentes Représentations indigènes de l'Administration Coloniale en ont fait un bled pourri et oublié poussant même le dédain jusqu'à la maintenir au stade de simple département sans aucune infrastructure. Pour mieux la tuer. Pourtant, non seulement le département de Linguère est le centre du Sénégal mais mieux, il est seul à pouvoir bénéficier de pistes de production permettant à la fois l'accès rapide au Fouta, au walo, Ndiambour, Baol, Cadior, Sine-Saloum et au Boundou. Ce que la République par cynisme refuse de voir.Pourtant le devin et stratège Ndiadiane Ndiaye, provenant de la rive droite du fleuve Sénégal dans le Walo, sacré dans le Sine l'avais choisi comme Capitale. En effet sans carte de géographe ni boussole, il s'était établi dans ce lieu qui, en fait était le centre de ce qui sera son futur Empire, le Djoloff.



    Ou les Représentants Indigènes de l'Administration Coloniale ne lui arrivaient pas à la cheville ou elles étaient à mille lieues des aspirations du bien-être des populations sublimées de respect aucun. ( Que Dieu bénisse tous les Empereurs et Rois du Djoloff et leurs descendances ! ). De véritables stiff necked fools qui n'ont même pas pu sauvegarder le Walo dans son intégralité, bradant plus de la moitié de son territoire. Il est vrai que pour tuer un arbre, on n'a pas besoin de l' abattre, il suffit tout simplement de lui couper les racines et le temps fera le reste. …









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    Le Thiedo

    En Avril, 2013 (23:55 PM)
    _ La phase Diouffiène avec son maître slogan: "Ce que tu refuses, dix (10) de tes pairs l'accepteraient avec joie", en toute connaissance de cause car le sang ne ment pas.

    Ce fut le début de coquinisation de la république-banania avec ses détournements massifs de deniers publics, ses crimes non résolus, l'emballement de la négativ'action et le haro sur la république-banania par de sinistres individus aux desseins bien dissimulés mais très clairs pour peu qu'on ait un tant soit peu d'entendement. L'on se rappelle des nombreux comités de soutien à l'action du Président Abdou Diouf (COSAPAD) et le début d'un multipartisme qui évoluera sans nul doute dans le mauvais sens, plus pour distraire et divertir le peuple que pour son véritable bien.

    C'est pendant cette période que l'on assista au crime crapuleux politique, le plus odieux de tous les temps, pour lequel le plus vil mensonge d'état fut servi au peuple pour on ne sait quelle raison! Certainement la toute puissance des obédiences occultes qui foisonnent dans ce pays! Aussi, l'indemnisation de cette mort brutale,suivie de la loi Ezzan, ne devrait ni surprendre, encore moins entraîner la cacophonie corolaire. N'étaient-ils pas tous complices? État brigand, justice lâche et pourrie, et politiciens véreux sans éthique. Ainsi, c'était un évènement malheureux banal et personne n'était responsable! Ou l'encanaillement de la république-banania avec la complicité de la France, face à un peuple qui pourtant réclamait justice. Rien n'y fera. En lieu et place, une véritable comédie judiciaire lui avait été servie. La suite restera toujours cocasse. L'Arnaque de la Conscience et de la Mentalité des peuples fera le reste car le despotisme, la corruption et la gabegie croissants d'un système dictatorial excèderont plus tard un peuple surmanipulé aboutissant au départ prématuré (?) du Président Abdou Diouf, sous l'égide d'une France invisible qui le récompensera rapidement par la Présidence de la Francophonie.

    Seulement, il n'y avait rien de démocratique dans la transition de l'an 2000, entre un homme qui avait tout à perdre en s'agrippant au pouvoir et un homme qui était prêt à mettre le pays à feu et à sang sous le prétexte d'un hypothétique tripatouillage électoral. Oh Peuple! Quand te réveilleras-tu? 20ans encore!

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    Le Thiedo

    En Avril, 2013 (23:56 PM)
    _ La phase Wadienne ou de l'Alternance à la transparence opaque qui, en fait est le peaufinement des deux systèmes précédents, royalement servie sur des plats en or massif après une douce transition (?)Pouvait-il en être autrement (?) sur fond de deal politikchien sur le dos des peuples surmanipulés et tenus dans l'ignorance totale. Le scrutin dit "universel", une des pires infamies qu'on ait transplantée en Afrique, y est passé. Toujours est-il que le nouveau Représentant Indigène de l'Administration Coloniale suscitait beaucoup d'engouement, d'espoirs et de rêves pour les peuples manipulés qui étaient très loin de se douter que le pire était à venir, entre gabegie, violences d'état tous azimuts, je-m'en-foutisme et ma-teï institutionnalisés, aggravation aigue de la négativ'action avec inversion accrue des rôles étendue à tout le territoire sénégalais, au vu et au su des populations divisées et snobées au nom de la république, avec intimidation à la clé. Où tout cela risque-t-il de nous mener? Qui vivra verra!

    Le visionnaire et patriote Lamine Coura Gueye avait très tôt prévenu la nation devant la dangerosité du système discriminatoire mis en place dans ce pays dans le cadre d'un vaste Complot contre les Peuples, notamment contre les valeurs pures et sûres de ce pays. Que ce qu'il redoutait soit réalisé quarante (40) ans plus tard et que le système mis en place décide de le commémorer, relève plus d'un snobisme mal placé que du respect de la grandeur de cet éminent visionnaire plus que patriote.

    En effet, s'il faut trois (3) anonymes, deux (2) apatrides, trois (3) synonymes, et deux (2) homonymes pour faire une république-bananière, il en faudrait beaucoup plus que ceux-là pour un vrai et réel patriotisme..

    Loin de moi toute idée et/ou tout sentiment de racisme, de xénophobie, d'ethnophobie, de castophobie et/ou de toutes autres phobies complexes non encore définies mais le sentiment qu'on nous prend pour des cons après s'être joué de nos pères, avoir trompé nos grands-parents et menti à nos ancêtres a pris le dessus sur tout bémol qui aurait pu bénéficier aux différents systèmes-cons mis en place dans ce pays depuis cent-quinze (115) ans avec leur emballement frénétique de ces cinquante (50) dernières années qui a fini par transformer des terres des Hommes d'Honneur Intègres en une terre de basse abjection et de pourriture dominée par la corruption, la magouille, le clientélisme, le dilettantisme et le larbinisme, la lâcheté et l'Excellence de l'Incompétence, tous résultats de la discrimination sociale fondée sur la Roture et la Caste prônée dans ce pays par la négativ'action des valeurs sûres et l'inversion des rôles.



    C'est ainsi qu'à dix-sept (17) ans, après l'arrivée au pouvoir du Président-héritier Abdou Diouf, je m'étais dit que c'est "l'homme qu'il nous fallait". J'ai dû déchanter un (1) an plus tard, en janvier 1982 après le premier anniversaire de son investiture pour des raisons personnelles: lui aussi avait un programme qui nous prenait pour des cons. Ce sont ces mêmes raisons personnelles qui m'ont habité en 1989 à vingt-six (26) ans. Car si, à vingt- cinq (25), j'étais manipulé comme tout bon Sénégalais à l'idée de changement "Sopi" de Me Abdoulaye Wade de 1988, je dus me résoudre à la conviction certaine que je n'avais fi à aucun de ceux qui s'entre-tuaient pour diriger la nation. Heureusement que je n'avais jamais milité dans un quelconque parti politique, et jusqu'à présent. Gloire à Dieu!



    En effet, je n'ai ni exemple, ni modèle et encore moins de référence dans l'échiquier politique pourri de ce pays qui ne fait qu'emprunter ses idées et ses réflexions; c'est-à-dire rien d'originalité et de propre! Sinon appliquer les directives de connardisation du peuple. Pourtant le génialissime Me Abdoulaye Wade, de par son ingéniosité me fait beaucoup sourire pour peu que nous avons eu beaucoup de similitudes d'idées, notamment:



    - sur la ceinture d'eau qui entoure le Sénégal (1993),-le référendum, non pas pour une nouvelle constitution, mais pour la république, quitte à en proclamer une deuxième (ou plutôt la vraie première) définie et déterminée par les peuples avec une constitution forte intouchable pendant au moins un quart (1/4) de siècle. Ce qui mettrait fin à la sale guerre en Casamance.



    - la provincialisation, une parmi les nombreuses politiques qui peuvent sauver la république et permettre l'épanouissement des peuples par un mieux-être et une meilleure gestion des affaires et deniers publics.



    - l'érection d'une deuxième capitale; à ce titre, beaucoup de propositions ont été énoncées, toutes aussi fausses et futiles que distractives et clownesques. La seule et vraie capitale d'un Sénégal digne et fier ne peut et ne doit être que dans la Principauté du Djoloff originel, même si la république créée par le Blanc et entretenue par ses différentes Représentations indigènes de l'Administration Coloniale en ont fait un bled pourri et oublié poussant même le dédain jusqu'à la maintenir au stade de simple département sans aucune infrastructure. Pour mieux la tuer. Pourtant, non seulement le département de Linguère est le centre du Sénégal mais mieux, il est seul à pouvoir bénéficier de pistes de production permettant à la fois l'accès rapide au Fouta, au walo, Ndiambour, Baol, Cadior, Sine-Saloum et au Boundou. Ce que la République par cynisme refuse de voir.Pourtant le devin et stratège Ndiadiane Ndiaye, provenant de la rive droite du fleuve Sénégal dans le Walo, sacré dans le Sine l'avais choisi comme Capitale. En effet sans carte de géographe ni boussole, il s'était établi dans ce lieu qui, en fait était le centre de ce qui sera son futur Empire, le Djoloff.



    Ou les Représentants Indigènes de l'Administration Coloniale ne lui arrivaient pas à la cheville ou elles étaient à mille lieues des aspirations du bien-être des populations sublimées de respect aucun. ( Que Dieu bénisse tous les Empereurs et Rois du Djoloff et leurs descendances ! ). De véritables stiff necked fools qui n'ont même pas pu sauvegarder le Walo dans son intégralité, bradant plus de la moitié de son territoire. Il est vrai que pour tuer un arbre, on n'a pas besoin de l' abattre, il suffit tout simplement de lui couper les racines et le temps fera le reste. …



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    Kit

    En Avril, 2013 (01:24 AM)
    Croit-il en ce qu'il dit ?
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    Sunna 2

    En Avril, 2013 (04:07 AM)
    Sunna, arabise et defenseur des arabes. Ferme ta bouche. Qu'est-ce que abou Bakr et Ali et les autres ont de plus que Serigne Touba, Malick Sy et autres, sinon que leur peaux et date de naissance. Complexé et arabisé! Sois fier de tes ancetres. Penses-y!
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    Terreau

    En Avril, 2013 (07:07 AM)
    «Les crises, les frustrations sociales, la pauvreté et le dénuement, le sentiment d’impasse face à l’avenir, tout cela peut servir de terreau à des formes d’extrémisme alimenté par des discours sommaires et sectaires».

    J’ESPÈRE que la lutte forcenée pour imposer des "valeurs" antiislamiques telles que l’homosexualité peut être classée dans l'une de ces rubriques proposées par A. M'BAYE.
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    Baladoo

    En Avril, 2013 (07:07 AM)
    Le Sénégal est sérieusement menacé par l'islamisme, le djihad est présent dans le pays. A Dakar, a Kaolack, a Touba, a Mbour, il y a plusieurs groupes salafistes durs dont les autorités se soucient peu. Comme d'habitude on laisse faire avec l'insouscience, et maintenant l'inconscience caractérisant les autorités du SN. Ces groupes connus s'organisent tranquillement et surement et ont des arguments auprès des jeunes au chômage et désorientés par des religieux sectaires préoccupés par l'argent bien plus que par l'islam. Tous les vols, cambriolages et attaques en série depuis quelques mois (surtout à Mbour) sont liés aux islamistes (étrangers et sn) en grande partie, il faut de l'argent pour le djihad ! Les pseudos chefs religieux qui ne prennent que des positions timides et évasives sur ce sujet, auront le retour du bâton car ces islamistes les considèrent comme très « haram » et ils seront la cible première dans les années à venir. Qui ne dit mot consent ! Le problème au SN c'est qu'une partie de la population (6%) est acquise aux thèses islamiques par une déformation de l'islam, un obscurantisme raciste et évolutif, une éducation en régression (par le fait des enseignants inciviques). Le terreau est fertile et le sn va payer cher son inconscience du problème. Il faut une police et une gendarmerie puissante, formée et équipée au service du citoyen et non a son service avec tolérance « 0 » pour la corruption. Une armée est impossible, un seul avion de combat équipé c'est le 1/4 du budget du SN avec la maintenance et les formation, il vaut mieux un bon accord de défense et investir des des écoles, des hôpitaux et des routes. Il reste quelques mois pour déloger ses salafistes après ce sera trop tard et les moyens manqueront, la population muette à ce jour doit participer et dénoncer ces arriérés, tueurs coupeurs de main et violeurs, c'est un débat citoyen et civique !
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    La Sounah

    En Avril, 2013 (10:30 AM)
    LES MARABOUTS DES TARIKHA ( MALICK SY,SERIGNE TOUBA,BAYE NIASS,ETC...)N'ONT FAIT QUE LEUR PROPRE PROMOTION !!! ILS ETAIENT A LA RECHERCHE DE GLOIRE ET D'ADEPTES ! ILS N'ONT PAS TRAVAILLE DANS LA VOIE DE L'ISLAM ET DE LA SOUNNA !!!

    CEUX QUI SUIVENT CES MARABOUTS ,JE LE JURE SUR LE SAINT CORAN , SONT DANS UN EGAREMENT GRAVE, ET....TRES ....EVIDENT... !!!!......KOUMOU...NEKHOULE......, DEMAL...DJANGUI.....WATHE.....!

    RETOURNONS A LA SOUNNA DU PROPHETE ET DES SAHABAS !

    LES ABOU BAKR,OMAR,OUSMANE,ALI N'ONT MONTRE QUE LA VOIE DU CORAN ET DE LA SOUNNA ET POURTANT ILS ETAIENT DE TRES LOIN DES MILLIARDS DE FOIS MEILLEURS QUE CES MARABOUTS !

    LE SEUL ISLAM....,C'EST LE CORAN , ET LA SOUNNA DU PROPHETE...Mohamed (..sawsm..)..!..SUIVONS CELA !
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    • Auteur

      Reply_author

      En Mars, 2024 (15:09 PM)
      Tu parles bien le français malheureusement tu parles très mal on sent fougue de jeunesse 
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    Auteur

    123

    En Avril, 2013 (11:51 AM)
    La grandeur de l'islam dépasse de loin le debat arabe, senegalais, indou, chinoi. L'islam n'est pas de l'anarchie y'a des musulmens pieux qui suivent les enseignement du prophet paix et salu sur lui et qui ne connaisse pas bamba et c semblable. Tu te rappel de celui qui demandai si bamba etais un ancien jours coupe du monde 2002. Reveillez vous l'islam depasse vos tarikhas a la leger. svp chercher un autre debat
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    Senegal En Danger

    En Avril, 2013 (14:07 PM)
    @ Sounnah ,aille beaucoup de patience à l'egare des egarés ,c'est des gens ne non pas foi .suit ton chemin dans la sincerité tu reussiras.tout homme qui lutte le mal ( satan) subiras des epreuves ,comme le cas mohamed (PSL) ,comme JEZUS (PSL) ,comme Moses (PSL) ,comme d'autre prophets (PSE).chers senegalais tous ce mal du pauys est du aux mauvais comportement des fils du pays.revoyons les comportements ,dans les foyers, dans les rues ,dans les etablissement administraiefset scolaires. :sn:  :sn: 
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    Zizi

    En Avril, 2013 (16:37 PM)
    n'oubliez pas de parler des homo pour édifier les sénégalais
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    Muslim4

    En Avril, 2013 (16:51 PM)
    Imam Moustapha GUEYE used to say "YALLAH Reka Kham". So for you to describe les societes muslmanes, we don't have no problemes. But actually Islam in the western world equates terrorism, alors que comme tu l'as dit Nous sommes une religion de paix, de justice. We still don't know how USA is asking Iran to stop its nuclear program, while they feel threatenened by north Korea and ISREAL has a nuclear weapeon. Prix mondial de la Paix.











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    Fans

    En Avril, 2013 (21:45 PM)
    abdul mbayblanchisseur ne peut rien corriger car ,, il est le premier a ternir l image du senegal ,, il est le premier blanchisseur d argent sale dans le monde ,, que google soit en connivence avec lui c est affaire , ,, tout le monde fait la remarque ,,, abduulll ,, mbaye est un grand homseuel ,,, il essaie de faire du mal a idy ,,, idy n a rien a dire a un esclave ,, un truand ,, un blanchisseur d argent sale de certains leaders suivez mon regard ,,,,,,,,
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