Le SUTTAAAS et les Travailleurs de Aviation Handling Services tiennent demain, samedi 03 octobre 2015 un point de presse à partir de 11 h à la bourse du Travail de la CNTS. Cette rencontre fait suite à la plainte déposée, le 28 septembre dernier, par des délégués du personnel contre la Direction générale de Société Aviation Handling Services (AHS) sise à l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar, les délégués du personnel de ladite société envisagent de passer à la vitesse supérieure.
A travers cette plainte, ils demandent l’arbitrage de l’inspection générale du travail suite à une situation d’entrave à la liberté syndicale qui est un délit reconnu et puni par les dispositions légales en vigueur au Sénégal.
En effet, selon un communiqué parvenu à notre rédaction, « depuis une semaine où le collège des délégués s’est vu notifier par la direction de AHS d’un refus de verser les avances Tabaski comme il est de coutume au sein de notre entreprise depuis plus d’une décennie, le collège a entamé un plan d’actions dont le point d’orgue a été la tenue d’une assemblée générale le vendredi 18 septembre 2015 ».
A la suite de cette assemblée, renseigne ce document, il est prévu entre autres actions « un port de brassards rouges décidé par le personnel ainsi que la saisine officielle de l’inspection du travail pour le dépôt d’un préavis de grève en bonne et due forme ».
A travers cette démarche, lit-on dans ce communiqué, les délégués comptent procéder à « la convocation tous azimuts des délégués du personnel à des auditions, des demandes d’explications et d’intimidation » en vue d’avoir satisfaction à leurs doléances.
« Aujourd’hui, la Direction refuse de rencontrer les partenaires sociaux en foulant au pied les règles les plus élémentaires du code du Travail ; Mieux, la direction de AHS refuse de prélever les cotisations syndicales à la source, mute les délégués du personnel sans aucun préalable et tant que partenaires sociaux, nous sollicitons l’arbitrage de l’autorité qui régit le Travail afin d’éviter que l’irréparable ne se produise au sein de AHS », ont-ils averti, avant de demander l’ouverture des négociations au niveau de votre auguste structure.
A travers cette plainte qui, selon eux, « est la finalité d’une longue suite de discussions en interne », malgré le dépôt par notre organisation syndicale d’un préavis de grève, les délégués demandent l’ouverture de négociations au niveau de leur auguste structure.
Tapha TOUNKARA
A travers cette plainte, ils demandent l’arbitrage de l’inspection générale du travail suite à une situation d’entrave à la liberté syndicale qui est un délit reconnu et puni par les dispositions légales en vigueur au Sénégal.
En effet, selon un communiqué parvenu à notre rédaction, « depuis une semaine où le collège des délégués s’est vu notifier par la direction de AHS d’un refus de verser les avances Tabaski comme il est de coutume au sein de notre entreprise depuis plus d’une décennie, le collège a entamé un plan d’actions dont le point d’orgue a été la tenue d’une assemblée générale le vendredi 18 septembre 2015 ».
A la suite de cette assemblée, renseigne ce document, il est prévu entre autres actions « un port de brassards rouges décidé par le personnel ainsi que la saisine officielle de l’inspection du travail pour le dépôt d’un préavis de grève en bonne et due forme ».
A travers cette démarche, lit-on dans ce communiqué, les délégués comptent procéder à « la convocation tous azimuts des délégués du personnel à des auditions, des demandes d’explications et d’intimidation » en vue d’avoir satisfaction à leurs doléances.
« Aujourd’hui, la Direction refuse de rencontrer les partenaires sociaux en foulant au pied les règles les plus élémentaires du code du Travail ; Mieux, la direction de AHS refuse de prélever les cotisations syndicales à la source, mute les délégués du personnel sans aucun préalable et tant que partenaires sociaux, nous sollicitons l’arbitrage de l’autorité qui régit le Travail afin d’éviter que l’irréparable ne se produise au sein de AHS », ont-ils averti, avant de demander l’ouverture des négociations au niveau de votre auguste structure.
A travers cette plainte qui, selon eux, « est la finalité d’une longue suite de discussions en interne », malgré le dépôt par notre organisation syndicale d’un préavis de grève, les délégués demandent l’ouverture de négociations au niveau de leur auguste structure.
Tapha TOUNKARA
13 Commentaires
Maman De Cheikh Ndiaye
En Octobre, 2015 (22:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (22:53 PM)JE PARLE DE CHEIKH NDIAYE ET THIANDOUME VOUS DEVEZ VOUS BATTRE POUR CES GENS LA AU LIEU DE JOUER AU DURE AVEC EUX
Agent Kp
En Octobre, 2015 (00:47 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (06:52 AM)mais en plus faut me dire ahs fait quoi pour motiver les employés a part ces avances tabaski riennnnnnnnnnnnn
Anonyme
En Octobre, 2015 (10:27 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (12:29 PM)Diogal Sakho
En Octobre, 2015 (15:21 PM)Ramp Dkr
En Octobre, 2015 (15:28 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (15:37 PM)Clean
En Octobre, 2015 (15:40 PM)Listo
En Octobre, 2015 (16:42 PM)Entendons nous bien, mon propos n'est politique et contre Karim Wade ni polémique et contre le personnel de Ahs, mon propos est technique et objectif : après la disparition de Air Afrique, le meme personnel de Air Air Afrique, dans le comité provisoire, ou dans Shs première société d'assistance créée aurait pu et dû continuer a faire toute l'assistance escale de Dakar , exactement comme cela est à Abidjan où le trafic est beaucoup plus élevé qu'a Dakar, tout comme à Bamako, Niamey, Cotonou, Lomé etc.
Ahs existe maintenant et ce n'est pas la faute du personnel et l'Etat dont cette activité relève de ses prérogatives au lieu de rester dans l'expectative doit anticiper et prévoir le schéma futur pour le transfert des activités à Aibd, pour decider qui va y faire quoi, en vue de ne laisser aucun personnel sur le carreau et d'en discuter avec les partenaires sociaux : mais c'est maintenant que cela doit se decider, au lieu de laisser tout le monde, sociétés, personnels, syndicats dans le flou et l'incertitude la plus totale.
Listo
En Octobre, 2015 (12:46 PM)1- À la faillite d'Air Afrique, un comité provisoire constitue exclusivement du personnel d'Air Afrique par ailleurs requisitionne par l'Etat car sans cela l'aeroport ne peut, est créé et dirigé par le directeur du Cid , centre industriel de Dakar , lui meme issu de Air Air Afrique !
Cela marchait comme on pouvait s'y attendre à merveille et contrairement à ce que vous dites il n y avait aucun problème !
Dans ce schéma et cette continuation en 3 ans, l'ensemble du personnel d'Air Afrique aurait pu être indemnisé de ces droits sociaux mais ils ont l'erreur de leur en confiant le dossier de Air Afrique Handling à Karim Wade: ce qui a lui a donné l'idée de créer sa société et le comité provisoire à ete dissout!
2- Dans ce secteur d'activité la concurrence n'est ni utile ni souhaitable autrement tous les autres pays que j'ai cités sur mon précédent post auraient fait appel à la concurrence !
C'est un métier très spécifique qui fait à un personnel très spécifique et surtout à un matériel très spécifique et relativement cher à l'achat et à l'entretien !
Avec 2 sociétés sur la meme place se partageant un marché étriqué alors que cela ne le nécessite pas , du coup la place de Dakar se retrouve avec les prix Handling les plus de la région, ce qui évidemment n'amène pas pour autant les avions, mais par contre n'est un avantage ni pour les sociétés , ni pour les sociétés ni pour l'Etat du fait des baisses de recettes.
Anonyme
En Octobre, 2015 (13:46 PM)Participer à la Discussion