L'Union Diocésaine des Associations des Femmes Catholiques et Machalah Rewbé Fouladou conjuguent leurs efforts face aux changements climatiques. Un changement de comportement et une adaptation à ce nouveau contexte sont les chevaux de bataille de ces associations féminines qui s'activent pour l'autorisation des femmes du Fouladou.
Face a cette nouvelle donne, ces structures de femmes travaillent à l'accès des femmes à la terre pour mener des activités génératrices de revenus. Une manière pour madame Gueye née Antoinette Nzallé et ses camarades d'assurer une résilience contre ces catastrophes naturelles. C'est dans le cadre du projet "Voix et leadership de femmes au Sénégal" que ces associations ont exprimé le besoin aux autorités de mieux prendre en compte les préoccupations des femmes dans ce monde en pleine mutation. Ce projet mis en oeuvre par le CECI, est soutenu par Affaires Mondiales Canada dans le sens de l'adaptation de la femme à ce nouveau contexte par son accès aux ressources naturelles sans discrimination. Pour ce faire, pendant plusieurs jours, des campagnes de sensibilisation et de plaidoyer ont été menées pour convaincre aussi les décideurs à accepter ce cri de coeur. Les femmes et filles sont invitées à s'approprier de ces éléments qui rendent honorable la couche féminine dans ses activités. Ici, les femmes ont exprimé leur ferme volonté de vivre leurs différents droits. Étant entendu que dans cette région classée l'une des plus pauvres du pays, les activités des femmes sont d'un apport considérable dans la lutte contre la pauvreté.
4 Commentaires
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Parfaitement raison et c'est toujours les mêmes qui profitent de la misère de ceux qui travaillent.
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Signalier
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En Avril, 2022 (05:14 AM)Participer à la Discussion