Le mal est profond et pernicieux. Entre juin et juillet, une importante quantité de cocaïne a été saisie au Sénégal, plus précisément au port de Dakar, mais cela ne signifie nullement, prévient le quotidien Source A, que notre pays sera, désormais, à l'abri des narcotrafiquants qui vont jusqu'à régenter, parfois, les choix politiques chez certains de nos voisins.
Car selon Thomas M. Harrigan, chef des opérations de la Drug enforcement administration (Dea), l'Agence américaine de lutte contre la drogue, les saisies actuelles réussies au Sénégal, en Guinée-Bissau, au Cap-Vert ou en Côte d'Ivoire, soit une dizaine de tonnes, ne constituent même pas 1% de la drogue qui doit transiter par l'Afrique de l'Ouest".
il faut lutter contre l'utilisation et la vente de yamba, mais arrêter de le criminaliser. le yamba, ce n'est pas la cocaïne ni l'héroïne. et un petit fumeur ou petit vendeur de yamba ce n'est pas un dealer international de drogues dures exploitant des mules et des revendeurs et causant la mort de mlliers de personnes
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il faut lutter contre l'utilisation et la vente de yamba, mais arrêter de le criminaliser. le yamba, ce n'est pas la cocaïne ni l'héroïne. et un petit fumeur ou petit vendeur de yamba ce n'est pas un dealer international de drogues dures exploitant des mules et des revendeurs et causant la mort de mlliers de personnes
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