Dans un entretien paru ce jeudi dans L’Observateur, le directeur général des Élections, Birame Sène, a assuré que les préparatifs des législatives du 17 novembre sont bouclés à «90-95%». Il assure que le matériel électoral a été acheminé aussi bien au niveau local que pour la Diaspora.
Idem pour les bulletins de vote destinés à l’étranger. Et pour ceux des électeurs inscrits aux Sénégal, la livraison se fait «de manière très satisfaisante» en vue de la date butoir du 7 novembre.
Quid des zones touchées par les crues des fleuves Sénégal et Gambie ? Birame Sène rassure : «L’ensemble des lieux de vote impactés ont été recensés. Sur instruction du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, chargé des élections [Jean-Baptiste Tine], la Dge [Direction générale des élections] travaille en parfaite collaboration avec la Direction générale de l’administration territoriale (Dgat), la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (Bnsp), la Direction de la protection civile (Dpc), entre autres, afin de parvenir à une évaluation permettant un pompage, voire une délocalisation des sites impactés.»
Le directeur des élections est formel : «toutes les mesures seront prises pour permettre aux citoyens concernés d’exercer leur droit de vote le jour du scrutin». Il précise que si une mesure de délocalisation d’un lieu de vote est prise, celle-ci sera juste temporaire. «L’externalisation de quelques bureaux de vote, souvent plus proches, ne saurait être assimilée à l’existence d’un deuxième lieu, prévient Birame Sène. C’est par exemple le cas du lieu de vote de Biscuiterie où cinq bureaux (de 20 à 24) sont délocalisés à l’école Niang.»
Idem pour les bulletins de vote destinés à l’étranger. Et pour ceux des électeurs inscrits aux Sénégal, la livraison se fait «de manière très satisfaisante» en vue de la date butoir du 7 novembre.
Quid des zones touchées par les crues des fleuves Sénégal et Gambie ? Birame Sène rassure : «L’ensemble des lieux de vote impactés ont été recensés. Sur instruction du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, chargé des élections [Jean-Baptiste Tine], la Dge [Direction générale des élections] travaille en parfaite collaboration avec la Direction générale de l’administration territoriale (Dgat), la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (Bnsp), la Direction de la protection civile (Dpc), entre autres, afin de parvenir à une évaluation permettant un pompage, voire une délocalisation des sites impactés.»
Le directeur des élections est formel : «toutes les mesures seront prises pour permettre aux citoyens concernés d’exercer leur droit de vote le jour du scrutin». Il précise que si une mesure de délocalisation d’un lieu de vote est prise, celle-ci sera juste temporaire. «L’externalisation de quelques bureaux de vote, souvent plus proches, ne saurait être assimilée à l’existence d’un deuxième lieu, prévient Birame Sène. C’est par exemple le cas du lieu de vote de Biscuiterie où cinq bureaux (de 20 à 24) sont délocalisés à l’école Niang.»
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