Loin d'être d'accord avec la destruction de leurs maisons et cantines dans le cadre du programme de désencombrement de la voirie et des espaces publics, les populations de la cité Baraque de Dalifort-Forail sont très remontées contre le maire de la localité, Idrissa Diallo. Comme le révèle "Zoom Infos", les déguerpis accusent le maire de faire du forcing, démolissant leurs habitations. Ce dernier nie les accusations en soutenant qu'il avait bel et bien donné des sommations de quitter les lieux.
"Les autorités municipales ont démoli nos maisons et nos cantines. Nous n'avons plus où passer la nuit et où faire notre petit commerce. Elles sont venues nous déguerpir sans nous avertir, nous n'avons reçu aucune sommation. C'est vraiment une décision inacceptable", a déclaré Khokhane Faye, porte-parole des déguerpis.
"Les autorités municipales ont démoli nos maisons et nos cantines. Nous n'avons plus où passer la nuit et où faire notre petit commerce. Elles sont venues nous déguerpir sans nous avertir, nous n'avons reçu aucune sommation. C'est vraiment une décision inacceptable", a déclaré Khokhane Faye, porte-parole des déguerpis.
Il se radicalise: "Le maire nous avait vendu des cantines. Nous avions également fait des investissements pour disposer de ces cantines et maisons, aujourd'hui, tout cela a été réduit à néant. Nous voulons qu'il nous rende notre argent, sinon nous allons porter plainte contre lui".
Interpellé, le maire Idrissa Diallo soutient : "nous n'avons demandé de l'argent à personne. Nous n'avons pas vendu des terrains et encore moins loué des cantines à ces occupants. Nous avons juste trouvé un compromis avec ces populations de notre commune". "C'étaient des occupations illégales. Nous avons été élus en tant qu'autorités pour travailler dans l'amélioration des conditions de vie des populations", a également déclaré celui qui affirme avoir bel et bien transmis des sommations aux déguerpis.
Interpellé, le maire Idrissa Diallo soutient : "nous n'avons demandé de l'argent à personne. Nous n'avons pas vendu des terrains et encore moins loué des cantines à ces occupants. Nous avons juste trouvé un compromis avec ces populations de notre commune". "C'étaient des occupations illégales. Nous avons été élus en tant qu'autorités pour travailler dans l'amélioration des conditions de vie des populations", a également déclaré celui qui affirme avoir bel et bien transmis des sommations aux déguerpis.
9 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (10:09 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (10:20 AM)BIENTOT,IL FAUDRAIT PAYER UN TICKET POUR VOIR ET ACCEDER A LA MER
Sall Nguary
En Novembre, 2015 (10:52 AM)Vraiment merci et surtout qu'il y ait un suvit afin que ce ne soit pas temporaire
en avant, en vue l’émergence tant espérée.
Sall Ngary
En Novembre, 2015 (10:56 AM)Vraiment merci et surtout qu'il y ait un suvi afin que ce ne soit pas temporaire
en avant, en vue l’émergence tant espérée.
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:01 AM)Les populations qui veulent de l'ordre, du respect du voisinage, d'une cite digne de son nom... vous dissent bravo!!!!!
Faut Sanctionner Le Journalist
En Novembre, 2015 (11:06 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:11 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:37 PM)ALORS POURQUOI NE PAS LES INTERDIRE DES QUE CELA COMMENCE.
ON LAISSE ACTUELLEMENT FAIRE AUTOUR DU ROND POINT CAMBERENE SOUS LE PONT DE L'AUTOROUTE. DEMAIN ON VA SE METTRE A DEGUERPIR AVEC DIFFICULTÉ.
IL VAUT MIEUX PREVENIR QUE GUERIR.
NOUS AVONS TOUS VU COMMENT A GROSSI LE MARCHE HLM, LE MARCHE PEYTAVIN ET AUTRES
EN ETANT PREVOYANT, TOUT CECI NE SERAIT PAS Y COMPRIS LES ETALS A MEME LA CHAUSSE.
Talla
En Novembre, 2015 (19:31 PM)Dalifort et vous etes en train de faire un bon travail..vive le maire de Dalifort
Associazione des immigres de Dalifort
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