
Comité directeur de l'Expo Dubaï 2020 : La Suisse et le Sénégal aux manettes
Les postes de président et vice-président du comité directeur de l'Expo Dubaï 2020 échoient à la Suisse et au Sénégal. C'est la principale décision issue de l'Assemblée générale du Collège des commissaires généraux au nombre de 192, représentants les 192 pays participants, qui étaient en conclave à Paris.
À l'issue de cette rencontre, un Comité directeur (steering committee) de 32 membres élus par leurs pairs a été mis en place. Un second vote, qui a eu lieu après, a permis d'élire le président du comité directeur (commissaire général de la Suisse) et le vice-président (commissaire général du Sénégal, Dr Malick Diop).
Bureau international des expositions : Le Sénégal intègre le Comité exécutif
La capitale française a aussi accueilli l'Assemblée générale du Bureau International des Expositions (BIE) dont le Secrétaire général est Dimitri Kerkenses. Une rencontre à l'issue de laquelle le Sénégal -qui était représenté par le Directeur général de l'Asepex, Dr Malick Diop en sa qualité de Délégué permanent-, a fait son entrée dans le sélect Comité exécutif du BIE.
Le Sénégal, qui devient ainsi le premier pays africain à ce niveau, a été élu pour un mandat de 6 ans. Après ce sacre, Dr Malick Diop a rendu compte à l'Ambassadeur du Sénégal à Paris, El Hadji Maguette Sèye. À noter que les 12 membres du Comité exécutif du BIE, qui regroupe 180 pays, sont les suivants : France, Sénégal, Japon, Finlande, Hongrie, suisse, Espagne, Indonésie, Nouvelle Zélande, Italie et Russie.



3 Commentaires
- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter plainte quel que soit le traitement infligé.
- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tous droit des entrailles de l'enfer. Ils me rappellent le capitaine Domato dans Kunta-Kinté. C'était à eux d'aller mendier sils étaient convaincus de leur mission.
- Nous sénégalais lambda, nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les "nawétanes" et entre autres les pratiques mystiques de la lutte. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh".
Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chef religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ?
Je suis encore désolé de le souligner mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en terme de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu
Idrissa
il y a 6 jours (11:04 AM)Son manque de courage politique le freinera ...
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