La Cellule d’appui à la protection de l’enfance (Cape) estime que les contenus médiatiques à l’endroit des enfants violentés ne respectent pas, le plus souvent, les droits de l’enfant. Une situation qu’elle ampute à l’absence de module sur les droits de l’enfant dans les programmes de formation initiale et continue des journalistes.
C’est pourquoi, suite aux réflexions et échanges qui ont été exposés lors du séminaire de sensibilisation qu’elle avait organisé à l’intention des acteurs des médias, le mois de février dernier, à Dakar, la Cape, en partenariat avec l’Unicef, a décidé d’élaborer un outil susceptible d’apporter aux professionnels des médias, les informations qui leur seraient nécessaires. Il s’agit d’un guide sur l’éthique journalistique et droit de l’enfant, dont la cérémonie de validation a eu lieu ce jeudi 2 juin, à Dakar.
À l’occasion, Mme Ramatoulaye Ndao Diouf, coordonnatrice de la Cape, par ailleurs, conseillère spéciale du Président de la République, a invité tous les acteurs des médias, particulièrement aux directeurs des écoles de journalisme, à soutenir l’intégration d’un module sur les droits de l’enfant dans les programmes de formation initiale de leur établissement.
Selon elle, ce document constitue la première étape d’un processus d’introduction d’un module sur les droits de l’enfant dans les écoles de formation des journalistes.
2 Commentaires
Allo Stop
En Juin, 2016 (17:41 PM)Ah un club Sénégal émergent arrive bientôt ..rappel : cul nations développement de Djibo Kâ , club...de Der....des endroits pour réseauter, bouffer, se gargariser de discours creux sans aucune prise sur la réalité des sénégalais..Rien n'a changé rien ne changera...Le SAUVE QUI PEUT CONTINUE chacun cherche à se caser et à caser sa famille au détriment du pays
QUE DIEU SAUVE LE SÉNÉGAL ET L'AFRIQUE des penseurs à grande vitesse......et des politiciens inutiles
Hoff !
En Juin, 2016 (19:41 PM)C'est le respect des droits et des engagements?
Les journalistes ont besoin d'être formés à dire la VERITE. A faire des investigations et de ne pas finir comme Abdoul Latif COULIBALY, la honte, le traître, le salaud...
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