‘’Cela, a-t-elle expliqué, pour une meilleure appropriation de la bonne nouvelle de l’église et montrer notre richesse dans la diversité, mais unis dans la foi pour nous donner envie devenir Jésus qui nous fait vivre en frères et sœurs dans l’Eglise’’. ‘’Elle tout doit être au service de son évêque et symboliser le bien commun’’, a estimé Eugénie Aw Ndiaye, spécialiste de la communication et des questions liées au genre. Elle exposait sur ‘’ la communication diocésaine : enjeux et défis’’ devant une dizaine de communicateurs catholiques, au centre Lebret de la paroisse universitaire Saint–Dominique. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la communication sociale dans l’église. elle s’est tenue en présence de l’abbé Roger Gomis, responsable de l’Office de communication diocésaine (OFICOM) et de Barthélémy Sène, un laïc membre de cette structure.
‘’La communication sociale diocésaine doit aussi prendre en compte le dialogue inter-religieux, car nous ne sommes pas seuls. Il y a aussi les autres religions’’, a poursuivi l’ancienne directrice du CESTI (2005-2011). ‘’Le but de la communication diocésaine est de réaliser le bien commun qui appartient à l’ensemble des communautés’’, a-t-elle souligné. ‘’La communication diocésaine doit être le véhicule du bien commun’’, a insisté Eugénie Aw Ndiaye, indiquant que celle-ci doit se faire dans la langue du plus grand nombre. D’où l’importance à accorder aux langues nationales, selon Mme Ndiaye pour qui c’est la raison pour laquelle, la communication diocésaine doit relever d’une réflexion stratégique. Pour sa part, Barthélémy Sène, membre de l’OFICOM a constaté que la communication diocésaine fait face à ’’deux contraintes majeures d’ordre humain et financier’’. ‘’L’essentiel des personnes qui s’occupent de la communication diocésaine le font sur la base du volontariat puisse qu’elles sont engagées ailleurs.
Ce qui fait qu’elles ne peuvent pas se libérer tout le temps’’, a justifié M. Sène.
De son côté, l’abbé Roger Gomis, responsable d’OFICOM, a indiqué qu’il a bon espoir qu’il y aura des changements positifs dans la communication diocésaine.
Il s’est basé sur le fait que l’actuel archevêque de Dakar, Benjamin Ndiaye, s’est toujours occupé de la communication dans son parcours aussi bien au niveau de l’église qu’à la Conférence épiscopale.
Aussi, la création d’une structure crédible regroupant les journalistes et communicateurs catholiques a
été suggérée par les intervenants.
’’ll faut une structure de base crédible regroupant tous les journalistes et communicateurs catholiques pour assurer la pérennité de la communication diocésaine’’, a exhorté préconisé Eugénie Aw Ndiaye.
Elle a souligné que ‘’la communication diocésaine vise la visibilité de l’église qui passe forcément par la prise de parole de l’archevêque dans l’espace publique’’.
De son côté, l’abbé Roger Gomis, responsable d’OFICOM, a indiqué qu’il a bon espoir qu’il y aura des changements positifs dans la communication diocésaine.
Il s’est basé sur le fait que l’actuel archevêque de Dakar, Benjamin Ndiaye, s’est toujours occupé de la communication dans son parcours aussi bien au niveau de l’église qu’à la Conférence épiscopale.
Aussi, la création d’une structure crédible regroupant les journalistes et communicateurs catholiques a
été suggérée par les intervenants.
’’ll faut une structure de base crédible regroupant tous les journalistes et communicateurs catholiques pour assurer la pérennité de la communication diocésaine’’, a exhorté préconisé Eugénie Aw Ndiaye.
Elle a souligné que ‘’la communication diocésaine vise la visibilité de l’église qui passe forcément par la prise de parole de l’archevêque dans l’espace publique’’.
1 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2015 (11:50 AM)Participer à la Discussion