Le monde de la lutte a perdu une ancienne gloire qui aura non seulement marqué son temps, mais également la génération suivante, comme le montre ce témoignage du chef de file de l'écurie Tay Shinger dans les colonnes de L'As.« Je suis très triste de perdre un être cher comme Père Falaye. Il était mon ami et il m'a beaucoup aidé au début de ma carrière.
Il m'a formé et a joué un grand rôle. Je lui dois en partie ce que je suis aujourd'hui. J'ai grandi chez lui et il n'a jamais cessé de me soutenir dans ma jeune carrière. Pour tout cela, je tenais à lui dire merci », dit indique Eumeu Sène, qui se considérait comme le propre fils de Falaye Baldé.
1 Commentaires
Rip
En Octobre, 2013 (11:26 AM)mais la mort de célébrités devient de plus en plus choux gras pour une presse peu crédible.
entre photos, peoples, dépouilles sur brancards...un voleur par ci, un escroc par là...
c'est comme on nous imposait la mort comme routine assez drôle, très surmontable et peu douloureuse finalement...avec des doses de "adouna dou dara"...
et les soirs de funérailles, à côté des prières, se forment toujours une foule de "wéraneté katt lamb ou foot".
trop d'activisme.
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