Le ministère de l’Environnement et du Développement durable (Medd) a procédé, hier, au lancement du Projet 35 sur la gestion des déchets chimiques et biologiques dangereux
. La cérémonie a été présidée par Ramatoulaye Dieng Ndiaye, secrétaire générale du ministère. Ce projet entre dans le cadre de l’initiative européenne de mise en place de centres d’excellence pour la réduction des risques et menaces liés aux substances chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (Cbrn).
Ce projet, explique Andrew Proudlove, chef d’équipe des experts de l’Ue, a pour objectif de développer ou améliorer la gestion des produits chimiques dangereux et des déchets biologiques dans la région de la façade africaine et en Tunisie. Selon lui, le programme a commencé en janvier 2014 et devrait s’achever en juillet 2017. Il comporte deux phases. Une phase d’inventaire destinée à dresser l’état des lieux et une autre de sensibilisation et de formation pour le grand public, les personnes concernées par la gestion de ces déchets, les scientifiques et techniciens de laboratoire. Ce projet est en relation avec 14 autres programmes de l’initiative des centres d’excellence Cbrn et est coordonné avec d’autres acteurs actifs dans le domaine, à savoir le Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) et l’Organisation mondiale de la santé (Oms).
Ce projet, explique Andrew Proudlove, chef d’équipe des experts de l’Ue, a pour objectif de développer ou améliorer la gestion des produits chimiques dangereux et des déchets biologiques dans la région de la façade africaine et en Tunisie. Selon lui, le programme a commencé en janvier 2014 et devrait s’achever en juillet 2017. Il comporte deux phases. Une phase d’inventaire destinée à dresser l’état des lieux et une autre de sensibilisation et de formation pour le grand public, les personnes concernées par la gestion de ces déchets, les scientifiques et techniciens de laboratoire. Ce projet est en relation avec 14 autres programmes de l’initiative des centres d’excellence Cbrn et est coordonné avec d’autres acteurs actifs dans le domaine, à savoir le Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) et l’Organisation mondiale de la santé (Oms).
Selon la secrétaire générale du ministère de l’Environnement et du Développement durable, les autorités du Sénégal, au plus haut sommet, saluent l’initiative européenne de centres d’excellence qui appuie nos pays dans les efforts de prévention, de préparation et d’atténuation des menaces et risques liés aux substances nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques. Ramatoulaye Dieng Ndiaye a rappelé que le lancement de ce projet intervient après une première phase pour diagnostiquer l’état des lieux de ces substances à hauts risque. D’après elle, les résultats de cette analyse qui ont démontré certaines faiblesses et manquements dans ce domaine ont suscité un intérêt certain pour le présent projet visant, entre autres, à renforcer les efforts du gouvernement pour le développement des capacités, la sensibilisation, la formation et l’évaluation des risques.
Les travaux vont se poursuivre aujourd’hui et demain avec des ateliers et des visites de laboratoires nationaux et de projets et programmes sur le développement durable.
Les travaux vont se poursuivre aujourd’hui et demain avec des ateliers et des visites de laboratoires nationaux et de projets et programmes sur le développement durable.
4 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:55 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (18:15 PM)Ben
En Juillet, 2015 (20:36 PM)il ne faufdrait pas qu'on se retrouve contractuellement en dépotoir des des poubeLLes nucléaires, chimiques ou autre de l'Europe qui a de grosses difficultés à caser ses dechets radioactifs , ses propres citoyens s'y opposant .
QUE LES JOURNALISTES NOUS EXPLIQUENT ET SURTOUT ,QUE LE GOUVERNEMENT Sénégalais lui même nous édidie.
Abdou Koro Kebe
En Juillet, 2015 (07:25 AM)Courage et bonne chance
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