
Le sous-préfet de Ndame, la municipalité de Touba représentée par Birane Gaye, les groupements d’intérêts économiques et les transporteurs ont tenu, mercredi, une réunion au cours de laquelle une commission a été formée sur ndigeul du khalife général des mourides. Cette commission était chargée de corriger certains aspects de l’arrêté du sous-préfet qui interdisait la circulation à tous les véhicules dits « Goana » dans le périmètre sacré et qui empêchait à une pléthore de chauffeurs de travailler. Selon Serigne Birane Gaye et le sous-préfet, Modou Mbacké Fall, Serigne Sidi Mokhtar Mbacké a souhaité qu’une mesure d’assouplissement soit prise pour décrisper le climat social délétère qui polluait les relations entre transporteurs.
En effet, l’arrêté envoyait au chômage plusieurs pères de famille au profit des minibus Tata au nombre de 150, injectés dans la ville sainte dans le cadre de la modernisation du transport urbain de Touba.
Après moult-conciliabules, le sous-préfet, en collaboration avec la police et la gendarmerie avait demandé aux transporteurs de déposer leurs dossiers prouvant que leurs véhicules étaient valables. « Nous ne demandons pas à ces chauffeurs la licence de transport, mais nous exigeons le minimum. C'est-à-dire des véhicules réglementaires par rapport à la carte grise, au permis de conduire, à la visite technique, à l’assurance, parce que ce sont des êtres humains qui sont transportés et nous ne devons pas les laisser à la merci de n’importe qui. Nous avons reçu 85 dossiers et seuls 47 ont été acceptés.
Après moult-conciliabules, le sous-préfet, en collaboration avec la police et la gendarmerie avait demandé aux transporteurs de déposer leurs dossiers prouvant que leurs véhicules étaient valables. « Nous ne demandons pas à ces chauffeurs la licence de transport, mais nous exigeons le minimum. C'est-à-dire des véhicules réglementaires par rapport à la carte grise, au permis de conduire, à la visite technique, à l’assurance, parce que ce sont des êtres humains qui sont transportés et nous ne devons pas les laisser à la merci de n’importe qui. Nous avons reçu 85 dossiers et seuls 47 ont été acceptés.
Ces 47 véhicules vont rejoindre les 150 minibus Tata dans la circulation », a déclaré Modou Mbacké Fall, le sous-préfet de Ndame.Du côté des transporteurs, un quiproquo a néanmoins surgi. En effet, pendant qu’Idy Kâ, représentant les minibus Tata soutient que l’autorisation accordée aux nouveaux 47 véhicules ne concerne pas les 10 lignes réservées à ces genres de véhicules, Pape Mbaye précise qu’une voiture légale a le droit de circuler partout et à n’importe quelle heure. De nouveaux tiraillements s’annoncent.
12 Commentaires
Atypico
En Juillet, 2015 (12:34 PM)Anonyme Mbacke Baol
En Juillet, 2015 (12:52 PM)-donner les bus tata a d'autres regions ,les vieilles carcasses qui circules a touba appertiennent aux marabouts qui ne payent aucunes taxes.
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:45 PM)Gyskar
En Juillet, 2015 (13:47 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:18 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:19 PM)Al Capone
En Juillet, 2015 (16:34 PM)L'etat doit prendre ses responsabilité
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:58 PM)Le Sénégal est un pays de loi et de droit.
Les ministres de l"interieur et le Ministre des Transporteurs qui doivent prendre des decisions.
Anonyme
En Juillet, 2015 (17:19 PM)Verite Oblige
En Juillet, 2015 (17:34 PM)Goor
En Juillet, 2015 (18:03 PM)Anonymetempon
En Juillet, 2015 (08:30 AM)Participer à la Discussion