La formation professionnelle et technique va être davantage accentuée au niveau des secteurs primaire et tertiaire afin d’encourager les jeunes à devenir les entrepreneurs de demain, a soutenu, jeudi à Dakar, le ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et l’Artisanat, Mamadou Talla.
" Nous allons présenter des formations dans le secteur primaire où le Sénégal est pauvre en terme d’offres de formations avec seulement 1%. C’est là que nous devons proposer des formations mais également dans le secteur secondaire qui n’a que 5% d’offre de formation", a-t-il dit.
S’exprimant lors de la journée de son ministère à la 24-e Foire internationale de Dakar (FIDAK), M. Talla a souligné que le Sénégal est "à l’aise dans le secteur tertiaire avec la finance, l’assurance, la banque où l’offre d’emploi est égale à 93%".
Le ministre qui a appelé à accompagner cela et encourager les jeunes à devenir les entrepreneurs de demain a estimé que "la formation professionnelle et technique demeure plus que jamais un enjeu politique et stratégique majeur pour l’émergence de notre pays".
" Si les facteurs qui influencent le développement de l’emploi sont multiples et variés, il est cependant admis que dans nos pays en développement l’absence, la faiblesse et l’inadaptation des compétences demeurent un des principaux handicaps à la promotion de l’emploi", a-t-il reconnu.
Le ministre de la Formation professionnelle a expliqué que "l’explosion des TIC, l’ouverture des marchés ainsi que les mutations généralisées ont crée un environnement concurrentiel qui nécessite l’adaptation perpétuelle des ressources humaines dans l’optique de renforcement de l’employabilité et de la compétitivité de notre économie".
Il a rappelé que ’’la philosophie et les orientations de la Formation professionnelle et technique introduisent une profonde réforme du dispositif qui reste tout entier orienté vers l’accroissement du taux de qualification professionnelle de la population, la satisfaction des besoins du secteur productif, la lutte contre le chômage et la résolution du sous emploi"".
Les pays en développement, a-t-poursuivi, sont confrontés à la problématique de la formation ou du perfectionnement des ressources humaines notamment des jeunes.
" Toute la difficulté consiste alors à mettre en place une infrastructure de formation professionnelle suffisamment active et réactive pour accompagner les besoins en compétence", a souligné Mamadou Talla.
SK/PON
" Nous allons présenter des formations dans le secteur primaire où le Sénégal est pauvre en terme d’offres de formations avec seulement 1%. C’est là que nous devons proposer des formations mais également dans le secteur secondaire qui n’a que 5% d’offre de formation", a-t-il dit.
S’exprimant lors de la journée de son ministère à la 24-e Foire internationale de Dakar (FIDAK), M. Talla a souligné que le Sénégal est "à l’aise dans le secteur tertiaire avec la finance, l’assurance, la banque où l’offre d’emploi est égale à 93%".
Le ministre qui a appelé à accompagner cela et encourager les jeunes à devenir les entrepreneurs de demain a estimé que "la formation professionnelle et technique demeure plus que jamais un enjeu politique et stratégique majeur pour l’émergence de notre pays".
" Si les facteurs qui influencent le développement de l’emploi sont multiples et variés, il est cependant admis que dans nos pays en développement l’absence, la faiblesse et l’inadaptation des compétences demeurent un des principaux handicaps à la promotion de l’emploi", a-t-il reconnu.
Le ministre de la Formation professionnelle a expliqué que "l’explosion des TIC, l’ouverture des marchés ainsi que les mutations généralisées ont crée un environnement concurrentiel qui nécessite l’adaptation perpétuelle des ressources humaines dans l’optique de renforcement de l’employabilité et de la compétitivité de notre économie".
Il a rappelé que ’’la philosophie et les orientations de la Formation professionnelle et technique introduisent une profonde réforme du dispositif qui reste tout entier orienté vers l’accroissement du taux de qualification professionnelle de la population, la satisfaction des besoins du secteur productif, la lutte contre le chômage et la résolution du sous emploi"".
Les pays en développement, a-t-poursuivi, sont confrontés à la problématique de la formation ou du perfectionnement des ressources humaines notamment des jeunes.
" Toute la difficulté consiste alors à mettre en place une infrastructure de formation professionnelle suffisamment active et réactive pour accompagner les besoins en compétence", a souligné Mamadou Talla.
SK/PON
3 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2015 (21:14 PM)Alpha
En Décembre, 2015 (09:45 AM)Cheikh Anne Cncpi
En Décembre, 2015 (11:55 AM)Participer à la Discussion