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Les marabouts Ousmane Sy Ibn Dabakh et Ahmet Tidiane Tall exigent la démission de Me Ousmane Ngom

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Les marabouts Ousmane Sy Ibn Dabakh et Ahmet Tidiane Tall exigent la démission de Me Ousmane Ngom

Les réactions fusent de partout après la "profanation" de la Zawiya d’El Hadji Malick Sy à Dakar. Si certains continuent de dénoncer, d’autres, par contre, à l’image des marabouts Ousmane Sy Ibn Abdoul Aziz Sy Dabakh et Ahmet Tidiane Tall veulent la démission du ministre de l’Intérieur, Me Ousmane Ngom, après avoir regretté cet acte.

 

Ousmane Sy et Ahmet Tidiane Tall font chorus : "C’est toute la communauté islamique qui doit se lever et dénoncer ledit acte de profanation d’un lieu de culte puisque c’est le coeur de l’islam, le coeur de la Tidjaniya qui a été touché".

 

Mieux, ils demandent la démission du ministre d’Etat et ministre de l’Intérieur. "C’est le minimum que nous pouvons attendre de Me Ousmane Ngom", exigent-ils. Serigne Ahmet Tidiane Tall va plus loin en exigeant la démission de Me Abdoulaye Wade qui est à la base de cette situation.

 

"C’est toute la communauté musulmane qui doit se lever pour dire à Me Wade que ce qui se passe actuellement est anormal et lui demander de partir", soutient Ahmet Tidiane Tall, avant d’annoncer qu’une séance de prières sera organisée, dans les prochains jours, pour le départ de Wade du pouvoir.



35 Commentaires

  1. Auteur

    Serigne Mansour

    En Février, 2012 (07:15 AM)
    Encore ces marabounes politichiens............. Qu'est ce que les Senegalais ont fais au Bon Dieu pour meriter ces ecerveles comme guides religieux
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  2. Auteur

    Misse

    En Février, 2012 (07:19 AM)
    moi exige la démissione de wade
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    Auteur

    Sheik Osama

    En Février, 2012 (07:26 AM)
    Ils don't pareils que Wade. Ils ne ont que des tartuffes. Idrissa seckba vole l'argent du contribuable Senegalais, Macky Sall mélé avec le détournement du fond Taïwanais, Tanor Dieng avec les licences de pêche...please shut up. Pourquoi cette violence aveugle? Les policiers ont le droit de se défendre, ils ont aussi des familles. Vous êtes irresponsables comme Wade et cette opposition pourrie.   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Tyus

    En Février, 2012 (07:31 AM)
    vous les marabouts et les politiciens ou étiez vous lorsque en moin de deux mois lorsque des sois disant talibes mouride saccageaient et bruler la mosquée que dirige imam ndour a diourbel qui est une maison de dieu comme le zawiya vous êtes des nafekhs qui veulent utiliser une bêtise d un policier irresponsable pour en faire un combat politique et religieux pouvant mettre le feu au senegal vous ne defendez pas l islam
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    Auteur

    Un Senegalais

    En Février, 2012 (07:39 AM)
    Sénégal, comme toi, comme tous nos héros,

    Nous serons durs sans haine et des deux bras ouverts.

    L'épée, nous la mettrons dans la paix du fourreau,

    Car le travail sera notre arme et la parole.

    Le Bantou est un frère, et l'Arabe et le Blanc.



    Mais que si l'ennemi incendie nos frontières

    Nous serons tous dressés et les armes au poing :

    Un peuple dans sa foi défiant tous les malheurs,

    Les jeunes et les vieux, les hommes et les femmes.

    La mort, oui ! Nous disons la mort, mais pas la honte.
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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (07:44 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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    Euhllu

    En Février, 2012 (08:04 AM)
    ils ont déconné nak c'est le Zawyaa 5 étoiles des mes cousins Tijaane Dég na Pa yi bi lacrymogène yi dugé c'était du AALAAHUMA OOHOOOOOO !!!! AAATCHHUUUM WUUUHA HOHO !!!! GNAAANE Lééénnne lol c'est du cousinage bu léne saga
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    Ama

    En Février, 2012 (08:52 AM)
    LES MARABOUTS BOY DAKAR SONT POUR LA PLUPART CONTRE LES REGIMES AU POUVOIR C ETAIT COMME CA SOUS SENGHOR,DIOUF ET MAINTENANT WADE.C EST JUSTE DU AU FAIT QU ILS ONT PREFERÉ LA VOIE LA PLUS FACILE A SAVOIR PROFITER DE L HERITAGE DE LEUR PERE ET GRAND PERE POUR RECEVOIR LEUR PART DU GATEAU CONTRAIREEMENT A LEUR PARENT QUI NE S OCCUPAIT QUE DE LA SOUNNA ET DE L ISLAM.

    oN SAIT QUE DANS TOUTE MANIFESTATION IL Y A SOUVENT DES DEBORDEMENTS MAIS VOULOIR IMPUTER CA AAU PRESIDENT OU MINISTRE N EST PAS DIGNE D UN RESPONSABLE.
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    Boorba

    En Février, 2012 (09:09 AM)
    Tey amna manif place de l indepandence a15h
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    Auteur

    Ousmane 2

    En Février, 2012 (09:41 AM)
    ce qui me révolte c'est que j'ai pas encore vu un ministre démissionner du gouvernement ils ne sont pas sérieux.



    si c'était en FRANCE aux USA en EGYPTE ou ailleurs, ils commencent à quitter le gouvernement .



    regarder le président de l'Allemagne il a quitter sa poste papandréo le gréc et autres ils sont dignes et



    respectueux

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    Second

    En Février, 2012 (09:44 AM)
    G envi de vomir kan j voi ousmane ngom a la télé, ce gard la est un vrai traite un vau rien. Mai com le sénégal est un pays de satan tou est deal avc wade, wade deal mêm avc les diables pour avoir s kil veu. Pa fier d'être sénégalais :haha: 
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    Auteur

    Wayene

    En Février, 2012 (09:44 AM)
    wayene khana yane ndiaar yena mome oussmane ngome vala yanako diende lem len sene koy te gene tok si
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    Auteur

    Honneur

    En Février, 2012 (09:50 AM)
    le traite ousmane ngom doit etre pendu a la place de l independance
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    Auteur

    Aida

    En Février, 2012 (10:01 AM)
    wade dégage le conard ousmane ngom démissionne
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    Auteur

    Dopo Poro

    En Février, 2012 (10:02 AM)
    ousmane ak sa lékh yi nguéye nourok mbamou première communion
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    Auteur

    Farba Senghor

    En Février, 2012 (10:21 AM)
    Notre pays est à la croisée des chemins avec Wade le dernier des humains le plus grand mécréant que la terre ait connu
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    Auteur

    Prof

    En Février, 2012 (10:29 AM)
    ceryains qui crtiquent les marabouts tidianes sont rrès malhônnètes.ces marabouts ont soutennus les autres confréries ,et même l'église quand ils étaient offensées.mais cette fois on sait qui roule pourqui.de ttes façons on ne touche pas à cheickh amet tidiane cherif ra.on verra .7jours 7vendredis 7mois.
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    Auteur

    Mbacké

    En Février, 2012 (10:32 AM)
    mon frére serigne sy dabakh ,ousmane ngom doit demissionner je suis dériere toi sy malick
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    Auteur

    Diaman

    En Février, 2012 (10:32 AM)
    vrais pas un ministre qui a démissionner voila les problème en Afrique noirs manque de démocratie ces nous

    hier farba face a diaby comme il ne pas rèsponstables un image pas joli pour un ministre
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    Auteur

    D.

    En Février, 2012 (10:38 AM)
    ABDOULAYE WADE EST EN TRAIN DE TUER DES SENEGALAIS POUR IMPOSER SON REJETON AU POUVOIR !!!!!!!!



    AU nom de tous les Malick BA,



    au nous de toutes les victimes des Wade,

    au nom de notre cher Senegal,



    RESISTONS !!!!!!!!!!!!



    Il faut que les



    WADE DEGAGENT !!!!!!
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    Auteur

    Mama

    En Février, 2012 (10:42 AM)
    WADE TU ES UN MECHANT PARCEQUE TU SAIS QUE TU NE VAS PAS GAGNER LES ELECTIONS, SACHANT A QUEL POINT ON TE DETESTE. JE T·AVAIS DIT QUE LE SANG DE CEUX QUE TU AS TUE ,COULE ENCORE DANS TES SALES MAINS C·EST POUQU3OI TU NE VAS PAS PARTIR VIVANT DU SENEGAL.

    TU ES UN VRAI BADOLA, TU FINIRAS COMME KHADAFFI TRAITRE, VEMPIRE, FRANC MASSON.
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    Auteur

    Doum

    En Février, 2012 (10:49 AM)
    C'est ce que le M23 cherchait et ces marabouts Tidianes sont tombés dans le piège.Un coup monté par IBRAHIMA FALL,IDRISSA SECK,CHEIKH BAMBA DIEYE,ALIOUNE TINE.Ce sont les seuls responsables.
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    Auteur

    Diop

    En Février, 2012 (10:54 AM)
    On a des marabout qui sont totalement inconscients. Au lieu d'éclairer le peuple et de travailler pour la paix, ils se comportent comme de vrais gamins irresponsables; Le rôle d'un chef religieux c'est de tout faire pour que règne la paix et la cohésion nationale. Mais ces religieux sont incapables de comprendre que si le pays entre dans une guerre il y aura des centaines de milliers de morts. Et ils doivent savoir que Dieu ne le leur pardonnera jamais. C'est aux opposants politique d'attiser le feu mais c'est aux chefs religieux de veiller à la paix nationale. On est dans un pays à 90% musulman. Donc on ne peut pas parler de guerre religieuse puisque dans ce cas ce sera des musulmans qui vont tuer d'autres musulmans. Si vous voulez faire de la politique, alors descendez dans l'arène mais n'utilisez pas le nom de votre Tarikha qui appartient à tout les sénégalais
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    Auteur

    Omar

    En Février, 2012 (10:58 AM)
    ce porc devrait démissionner des vendredi soir il ne devait meme pas être reçu à tivaoune :dedet: 
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    Auteur

    Taf

    En Février, 2012 (11:13 AM)
    Mais je me demande ce que les Sénégalais attendent pour aller trouver ce criminel et vagabond d’Abdoulaye Wade ou qu’il se trouve et l’arrêter. Comment peut on t on laisser un criminel de cette envergure se promener sur le territoire national et mener librement sa campagne alors que des sénégalais se font tuer tous les jours ? Cet homme fait pire que Mubarak, Ben Ali et tous les autres et on le laisse trimballer comme si de rien n’était.
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    Auteur

    Pape

    En Février, 2012 (11:46 AM)
    mane mbacké je suis deriére serigne ousmane sy dabakh , ousmane ngom diot demissionner
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    Auteur

    Fall

    En Février, 2012 (12:13 PM)
    ousmane nogom va finir trés mal
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    Auteur

    Mame Youkou

    En Février, 2012 (12:20 PM)
    Le 27 février après la défaite des Wade, les "marabouts corrompus" sortiront les premiers sur les médias pour dire k'il avaient prédit sa perte. Mais je vous assure kil yaura un avant et après 26 février 2012.

    Plus jamais de faveurs fiscales pour les corrompus d'enturbannés

    Plus jamais de considération pour eux

    Plus jamais de support médiatique gratuit pour leurs campagnes de détournement de conscience

    Plus jamais

    Plus jamais

    Plus jamais
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    Auteur

    Cheikh Tidiane!

    En Février, 2012 (12:45 PM)
    wakhdji dafa barè c vous dans vous khana guissoulène bonèkarèbi ,ousmane ngom c un grand tidiane
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    Auteur

    Repugnant

    En Février, 2012 (13:17 PM)
    fa welle peule,sy peule !!.peuleement!!!!!!!!!!!!!!!!!........wade,seck nienio ballameulagne!!!!.wade reelu !!!!.idy ou karim prezi !!!.wolofeeeement!!!!!!!!!!!!!!!!.sunuggggalaiseement!!!!!!!!!!!!!!.
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    Auteur

    Ba

    En Février, 2012 (16:33 PM)
    changez de tarikha y a qu un seul guide religieux au senegal
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    Auteur

    Zo

    En Février, 2012 (16:43 PM)
    Tarikha Wade dou tarikha nda mom wakhna franc maçon la
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    Auteur

    Talibe Cheikh

    En Février, 2012 (18:50 PM)
    Monsieur le Président du Conseil constiyutionnel

    Messieurs les autres sages, vous devez avoir honte. Voila votre travail. vous répondrez devant l'histoire. Vous avez mis le pays à feu et à sang. Ceci restera gravé dans votre conscience. Vous avez tué des personnes oui vous êtes responsable de leur mort. vous avez été averti par vos collèges de AMS. Vos enfants rertiendront que leurs papas ont été corompus. Ils ont vendu leur dignité. Je viens juste d'apprendre qu'un enfant de 18 ans a été abattu par votre faute. Alors que vous êtes payés par le contribuable sénégalis qui n'ont cessé de serrer la ceinture pour que le président de la rue publique puisse vous corrompre. Oui vous n'étes qu'une bande de corompus. DIEU VOUS JUGERA. OUI VOUS ALLEZ REPONDRE DEVANT VOTRE SEIGNEUR.
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    Auteur

    Seydou

    En Février, 2012 (19:49 PM)
    Il faut tuer ce commissaire avec les cinq singes des qu'on a accés sur eux. Karim et Madické sont allez chercher des minutions en France. Attention Mr Sarkozy, vous avez des citoyens français dans notre pays. Ne nous créer pas les évenement 89 avec la mauritanie
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    Auteur

    Traitre En Chef

    En Février, 2012 (01:15 AM)
    C'EST PAS LA PEINE QU'IL DEMISSIONE.PARCEQU'ON VA LE TUER DANS 5 JOURS.OUSMANE NGOM MALHEUR SOIT LE JOUR QUE TU ES NE.WADE C'EST VENGE DE TA TRAITISE ENVERS LUI DEPUIS QU'IL T'A MIS A CE POSTE.LE FEU QUI BRULERA WADE,TE BRULERA AUSSI.EN ENFER VOUS ALLEZ VOUS RETROUVEZ TOUS LES DEUX!
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