comme le montre le prix Ahmadou-Kourouma, remis à ce jeune auteur sénégalais, vendredi 1er mai, à l'occasion du Salon africain, organisé dans le cadre du Salon du livre de Genève.
Le pitch : Kalep, une ville du Sahel, est prise en otage par des islamistes. Interdictions, lapidations, exécutions rythment la vie de ses habitants, tandis qu'une poignée d'entre eux organisent la résistance.
S'est-il inspiré de Timbuktu, d'Abderrahmane Sissako ? "Non, j'ai terminé Terre Ceinte bien avant qu'on ne parle de ce film." Christiane Diop, son éditrice, aura ces mots : "Ton livre aurait fait un excellent scénario ; malheureusement, le film existe déjà."
Qui se cache derrière ce grand Sénégalais longiligne ? "Je suis né à Dakar, mais j'ai vécu à Diourbel", explique ce fils de médecin. Aîné d'une fratrie de sept, Mbougar a dévoré très tôt tout ce qu'il trouvait à lire. Ses auteurs favoris : Sembène Ousmane, Felwine Sarr, Malick Fall ("La Plaie reste l'un de mes romans préférés"), Albert Camus, Jean-Paul Sartre... mais aussi Léopold Sédar Senghor, une référence qu'il assume, alors que le poète président est souvent décrié dans son pays.
Négrier
À l'école, il commence à écrire. "De très mauvais poèmes", se souvient-il.
Ce n'est qu'à l'âge de 16 ans qu'il se lance sérieusement dans l'écriture, tandis qu'il étudie au prestigieux Prytanée militaire de Saint-Louis. Bac en poche, il rejoint Paris et intègre l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), où il étudie toujours aujourd'hui.
Fin 2011, il crée son blog (chosesrevues.over-blog.com) et, en 2014, participe au prix de la jeune écriture francophone Stéphane-Hessel, qu'il remporte dans la catégorie nouvelles grâce à La Cale, qui relate les confidences d'un médecin embarqué sur un négrier. Journaliste, professeur ou écrivain, son choix n'est pas
Jeuneafrique
15 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2015 (17:37 PM)Fdf
En Mai, 2015 (17:40 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (17:47 PM)Outlow
En Mai, 2015 (18:15 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (19:04 PM)Goudiry
En Mai, 2015 (20:47 PM)Je suis un citoyen et qui aime mon pays rien que mon pays que sa soit vous président de la République du Sénégal ou un autre.
Des Tensions sont en cours dans le Boundou plus précisement à Goudiry car Le Préfet et le Médecin du Centre de Santé rien ne vas entre ces derniers et la population Goudiroise et un soulévement et en cours de préparation qui risque d'entrainer des morts d'hommes.
Donc; je ne sais pas si vous vous êtes informés de cette situation par le Gouverneur de Tambacounda ou pas.le Prèfet de Goudiry, Le Médecin du Centre de Santé et le Commandant ne peuvent plus rester dans le département de Goudiry.
Le boundou ne doit pas être comme la Casamance et je confirme ce que je dis à cause d'une histoire entre le Prèfet et le Maire depuis des années ainsi que Le Médecins et les habitants de la ville et le commandant de la Gendarmerie de Goudiry qui est dans la ville pour faire favoriste à son ami le Médecin de Goudiry Docteur KABA qui a dit Ouvertement il fait tout ce qu'il veut et personne ne peut le frainer. Le Sénégal entrain de régler l'Histoire de la Casamance nous n'avont pas besoin d'autres Histoires donc.
Vive le sénégal.
Anonyme
En Mai, 2015 (20:58 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (22:50 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (23:13 PM)Anonymous25
En Mai, 2015 (23:41 PM)Seneweb, ayez l'honnêteté de citer la véritable source de cet article:
JEUNE AFRIQUE!!! Et non, SENEWEB NEWS!
Anonyme
En Mai, 2015 (11:20 AM)Diakhé
En Mai, 2015 (14:07 PM)Ce jeune mérite d'être célébré
Assez De Litteraires
En Mai, 2015 (14:48 PM)A bas la Littéramerde et vive la Science.
aka
ln2
Anonyme
En Mai, 2015 (15:18 PM)Lens
En Mai, 2015 (16:35 PM)Participer à la Discussion